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Ghostbusters || Spray & Cosmo
Cosmo Müller
 
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Cosmo Müller
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Jeu 21 Sep 2017 - 9:45

  
Ghostbusters || Spray & Cosmo LjwFsRMGhostbusters || Spray & Cosmo Sprayp12

Le voile de la nuit déjà recouvrait toute la ville, l’enveloppant dans le calme et cette odeur ténue de fraicheur et d’humidité, de béton qui se repose après avoir été piétiné tout le jour durant. C’était une scène banale, nocturne et calme, des grésillement de lampadaires, des voitures qui filent de temps à autre sur les routes. Cosmo aimait bien la nuit, parfois lorsqu’il voyait une voiture passer il se surprenait à se demander où pouvait bien aller les gens à une heure si tardive; terrain de jeu des marginaux et des enfants de la nuit.


Adossé contre un mur il remonte son blouson près de son cou. Il fait frais ce soir, la brise sur son visage comme une centaine de petites mains griffues qui tantôt lacèrent, tantôt caressent avec cruauté. Le pauvre lampadaire peine à éclairer le bitume brillant et dans la pénombre c’est l’écran bleuté de son téléphone qui creuses les traits du visage de Cosmo. D’un geste las et sans quitter l’appareil des yeux il jette le cul de sa cigarette qui roule sur le sol avant de s’asphyxier et mourrir dans ses dernière vapes fumeuses. Sa jambe droite agitée de spasmes nerveux bondit contre le mur tandis que ses doigts tapent avec rapidité sur l’écran.

To ÜberSpray :
« Heeeey Sprühmittel rendez-vous derrière l’hôpital. Oublie pas ta lampe torche. » Send 01:40

C’est un mélange d’excitation (réponse normale de son organisme survolté à l’appel de l’aventure) et d’inquiétude, plus petite, cachée, insidieuse. Il check les derniers messages de son site, quelques oiseaux anonyme -de mauvaise augure peut être?- ont attiré son attention traitant de quelques phénomènes étranges dans les rues de foxglove valley, des sons et des lumières dans les ruines d’une ancienne usine  au sud-est de la ville, dont il ne reste rien si ce n’est quatre murs condamnés qui entourent un lieu en perdition; dépotoir de taule et de des vieilleries, recouverts de quelques ordure ménagère, vieux meubles abandonnés ici, tags de jeunes lycéens qui viennent chercher entre ces murs squat et aventure.

Cosmo enfonce sa main dans la poche de son jean pour retrouver son paquet de cigarettes mais suspend ses gestes, cigarette entre les doigts pour la ranger aussitôt. Il sait que Spray n’aime pas le voir fumer et il est prêt à se passer de nicotine pour ne pas peiner et fâcher. Fâcher surtout car s’il aime débattre avec elle, sur ce point là il sait juste grommeler quelque chose et faire comme s’il n’avait pas entendu. À l’approche de pas il sort de sa reverie et un sourire vient déchirer sa drôle de face :  traits ciselés, peau mate qui semble plus sombre dans la nuit contrastant avec ses cheveux blancs tombent sur tignasse brune et traits encore enfantin relevés par des yeux forgés de remous de curiosités et de science. Mains dans les poches et sourire aux lèvres il se détache du mur :

« Salut Dr Venkman, prête pour partir à la chasse aux fantômes ? »
Spray
 
hellébore
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Spray
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Ven 6 Oct 2017 - 21:13
GHOSTBUSTERS

La p'tite jupe essaye vainement de s'emmêler dans les rouages pas très compliqués du vélo, mais les jambes plissent le vêtement, écartent le tissu du danger.

Accroché à l'arrière de la selle, le sac bondi à chaque secousse, on entend le tintement des clefs, les pages qui se froissent. Le vent siffle dans ses oreilles, comme s'il lui racontait des histoires. Ce que SPRAY entend, c'est qu'elle doit vite rentrer. 

Ce qu'elle entend, c'est son cœur qui bat la chamade. Pas sous le coup de l'effort, les pédales ne résistent pas, les roues glissent d'elles-mêmes : c'est que SPRAY a hâte. Alors elle va vite, fend l'air, le sent s'infiltrer dans sa bouche entre-ouverte en un sourire excité.

A la maison, elle s'active, elle sautille à droite, à gauche, engouffrant toute sorte de petits objets dans un sac à dos davantage pratique que joli. Quand on part en mission, l'esthétique n'a que peu d'importance, le pratique avant tout. Des fioles, des petits gadgets électriques bidouillés à l'aide de scotch et de fils colorés. Ses petits machins qui font du bruit, de vibrent pour dévoiler des secrets invisibles.

Avant de s'enfuir, d'échapper aux regards bienveillants de ses parents, sortir de la chaleur du foyer, SPRAY englouti son repas pour mieux affronter ensuite la nuit épaisse et froide, envahie de milles dangers que la gamine crève d'envie de dévorer.

Un pull, la longue blouse blanche colorée de badges improbables, le sac sur les épaules, lunettes fièrement portée en haut de son front, emmêlées dans ses cheveux, SPRAY s'apprête enfin à s'éclipser. Elle s'évapore, ne laissant derrière sa fenêtre ouverte qu'un lit légèrement bombé, pour lui donner forme vaguement humaine.

Sur le sol sombre, les roues du vélo grince, la petite sonnette grésille, mais le son est étouffé sous un doigt fin. Dans sa poche, le téléphone vibre. [je sais, je sais, j'arrive]. Alors qu'elle dévale la pente à toute allure, laissant ses pieds quitter les pédales et flotter. Sans ralentir, elle saute pour poser pieds à terre dans une rue adjacente à celle du rendez-vous.

« B'soir, Professeur Cosmique, j'suis prête à en bouffer, de la matière éctoplasmique, je suis affamée ! » S'exclame-t-elle en faisant glisser ses lunettes colorées sur son nez.

Elle délaisse son vélo, là, contre un poteau perdu à la lueur incertaine, entourant sa roue d'une chaîne minable. SPRAY, on ne lui a jamais rien volé -peut-être qu'elle a oublié- alors on ne lui volera jamais rien.

« J'ai ramené du matos ! » Dit-elle en s'approchant, sautillant pour soulever son sac sur ses épaules, dans lequel s'embrouillent des mécaniques qui tintent. « Tu sais quoi, on sait pas ce qu'on va trouver, mais j'ai pris de quoi enfermer l'univers entier dans mon sac ! Compresser la matière, c'est pas si extraordinaire. C'est ce qu'on fait tout les jours pour aller au lycée !  »
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Cosmo Müller
 
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Cosmo Müller
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Mar 10 Oct 2017 - 10:35

  
Ghostbusters || Spray & Cosmo LjwFsRMGhostbusters || Spray & Cosmo Sprayp12



C’est une petite boule de lumière dans le noir de la nuit. Souvent, Cosmo compare les gens aux étoiles mais, dans ses nuits à lui elles ne sont que peu nombreuses. Une étoile c’est une étincelle d’une vivacité sans pareils. Condensé de chaos, presque aussi chaotique que lui, elle brule les doigts, et la peau, et le corps; jusqu’au fond de l’âme elle brûle. C’est une plaie fraiche qui fait tellement de bien, qui réchauffe, qui embrase tout jusqu’à calciner la douleur et ne laisser qu’un petit tas de cendres. C’est doux les cendres, as-tu déjà passé tes doigts dedans ? C’est ce que laissent les étoiles derrière elles, du rien qui se touche tout de même : une traine de cendre douce dans une mer de feu qui t’aveugle. Spray est une étoile sans aucun doute. Et il ne peut detacher ses yeux de cette vison affectueuse qui brule ses rétines.

La bonhomie et l’ingénue excitation de la chasse au fantôme, cette faim dévorante d’ectoplasmes et de mystères ne peut que ravir l’allumé donc la face se fend d’un sourire carnassier. Dents de requin qui déchirent la nuit, cette petite Alice qui n’a pas froid aux yeux s’allie au chat du Cheshire dans sa recherche de l’insensé. 
Et l’Alice est venue armée, son sac de merveilles tinte comme des grelots de métal et de cables, Cosmo les yeux brillant tente d’y approcher ses doigts mais se retient au dernier moment pour les enfoncer dans les poches de son blouson. Il ne voudrait pas y perdre un doigt ou froisser sa petite Scully. Dansant sur ses pieds, jamais immobiles et toujours agité de spasmes, il sort de sa poche une lampe torche «  Fabuleux ! Il nous faudra au moins ça, »  geste large du bras, il ne sait pas ce à quoi sert la moitié des objets du sac, mais sa confiance (chose assez rare) en Spray est inébranlable  « on sait pas sur quoi on peut tomber. »  et l’allume sous son visage, la lumière blanche et crue creusant des ombres dans ses orbites, émaciant son visage et acérant ses dents. «  Des fantômes ? Des aliens ? Un monstre qui ère dans les ruines de l’usine ? C’est excitant tu trouves pas ? » . Il ricane comme un pauvre fou dans le silence et le froid, ivre d’aventure, son corps piquant de toutes parts réclamant du mouvement, comme une fourmilière au bout de ses doigts. Le derme sombre de ses mains saisi avec précaution celui ivoirin des phalanges de spray, çà et là peint par des rougeurs, des marques et des striures; cicatrices témoins d’expériences surement passionnantes. Il l’entraine à sa suite dans le dédales des rues ses jambes s’abattant en des pas trop grand surement. Les virages sont serrés, le rythme nerveux d’anticipation; Cosmos ne peut se contrôler quand on lui agite des expeditions sous le nez. « La vieille usine tu connais ? Quand j’étais gosse elle était deja abandonnée. Je crois qu’ils y fabriquaient des télés, des écrans, ce genre de trucs quoi. Quelques personnes m’ont dit qu’ils y avaient vu des phénomènes étranges, des lumières, des bruits… »  C’est en deux temps et trois mouvement qu’ils se retrouvent devant un mur, haut, pas assez pour être enjambé, trop bancal pour témoigner d’un usage recent ou d’un entretien, pas assez pour s’écrouler sous leur poids. Lâchant la main de Spray il bondit et se hisse sur le mur, juste assez pour faire dépasser sa tête et inspecter les alentours.
« R.A.S »  lance t’il en se laissant retomber et s’accroupissant « C’est pas l’endroit le plus facile pour rentrer, mais il est plus discret que les autres brèches entre les murs. Attends j’vais te faire la courte échelle »  

Spray
 
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Jeu 18 Jan 2018 - 17:01
GHOSTBUSTERS

Coco joue avec la lumière. Coco s'amuse et vole un rire cristallin à sa coéquipière. Ce n'est pas bien difficile c'est vrai, mais comment Spray pourrait-elle avoir peur ? Coco est une ombre qui sort des décombres d'un monde où l'apocalypse a dévoré la lumière, mais il y survit et Spray sait allumer l'étincelle qui n'a pas encore été mangée pour la transformée en allogène doux et sûr. Son mentor connait les parcelles des dessous du monde, il sait comment s'y glisser et en revenir. Spray apprendra elle aussi.

« Dément, professeur ! Terrifiant même !  » S'exclame-t-elle, le regard baignant dans un océan d'étoile et soudain, elle bombe le torse, levant son index vers le ciel « Bêtes gluantes et démoniaque, tremblez, la troupe des cocospray arrive !  »

Ensemble, ils commencent la marche, main dans la main. Les petits pas de spray poursuivent ceux de Cosmos qui paraissent si immenses. Si sûrs et fiévreux. Elle lève les yeux pour le regarder lorsqu'il parle d'avant. D'un monde dont Spray ne pourra plus voir que les ruines éparses.

« Aujourd'hui, toutes les entreprises sont exportées dans des pays du tiers-monde... Mais ça a des bons côtés, on peut l'explorer ! »

Les élucubrations politiques et économiques sont ainsi balayées par la vague destructrices d'optimisme —et toujours égo-centrée— de Spray. Annuler les problèmes, les soustractions, n'ont pas de secret pour elle, et fière de son résultat, un sourire satisfait élargi ses lèvres déjà si grandes. L'obscurité s'écarte sous ses pas, comme apeurée par l'écran lumineux qui entoure la jeune fille. Accompagnée de son némesis et pourtant compagnon d'aventure, le duo est invincible.

Les remparts de la vieille usine se dessinent et avec attention et sérieux, Spray écoute les instructions de son accompagnateur, hochant la tête avec conviction, sans jamais que son regard ne vacille face à l'univers de peur qui se cache derrière le monde. Les points de l'adolescente se serrent sous le coup de l'impatience. Elle va escalader le mur, elle va escalader un mur ! Mais un sursaut la rappelle à la réalité.

« Oh ! Mais d'abord... »

Accroupie, elle fouille de nouveau dans son sac, et en sors deux grosses paires de gants en plastique, deux lunettes de plongée et des cagoules avant de les tendre à Coco. Spray n'a jamais fait ça, alors elle a préparé de quoi prendre des précautions... On ne sait jamais, si la police traine dans le coin, la jeune fille ne veut même pas imaginer le genre de soucis que Kye lui poserait...

« Prend ça. Il ne faudrait pas être infectés par des ectoplasmes... On ne sait pas ce que ça peut nous faire ! On ne sait pas s'ils sont vraiment physiques ou non... »

Méticuleuse, elle enfila les gants avant de se mettre en position pour la courte échelle...

« Je n'aurais peut-être pas dû mettre de jupe... Ne regarde pas, hein ! » Gronde-t-elle avant de se hisser au dessus du mur, à la force de ses petits bras, sans trop de difficulté grâce à l'aide de coco.

Du haut de son perchoir, semblable à un chat, Spray admire les courbes irrégulières des ombres de l'usine, imposantes et presque invisible (il faut dire que les lunettes de plongée d'augmentent pas la visibilité).

« Je descends ! Banzai ! » Chuchote-t-elle avant de se laisser tomber sur le sol inconnu. Un tremblement s'empare d'elle lorsque ses pieds s'écrasent maladroitement par terre.

Il fait tout à coup bien plus froid, l'air est humide et solitaire. Il mordille la peau pourtant bien recouverte de Spray, et introduit la peur en elle, pendant ces quelques secondes où coco n'est pas tout près. Dans un frisson elle se retourne pour attendre son complice dont la tête se dévoile enfin au-dessus du mur. Elle fera mine de rien, mais son corps fin se contracte. Pour s'occuper, elle fouille de nouveau dans son sac, et sort un appareil photo. Elle est fin prête.
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Lun 12 Mar 2018 - 23:09

  
Ghostbusters || Spray & Cosmo LjwFsRMGhostbusters || Spray & Cosmo Sprayp12




C’est qu’a la manière des cambrioleur
des acrobates des interdits
et des chasseurs de fantômes,
il leur faut leurs artifices et leurs parures et leurs VRAIS déguisement de VRAIS experts.

Cosmo attrape entre ses mains les quelques outils que lui tend son acolyte, accrochant fièrement les lunettes autour de son cou et rangeant le reste dans son sac à dos.
La ferveur enfantine avec laquelle Spray élucubre et se prépare à la chasse aux monstres n’est pas sans l’attendrir.

Car même si elle est fille de science et lui de chimères, ils courent tous deux après les réponses.

« Merci… Allez, en piste, et non berk une fille » lance t’il en tirant la langue amusé par le commentaire.
Attrapant le pied entre ses mains il hisse la forme fine de spray tant qu’il peut, s’assurant à chaque fois que la prise est bonne et qu’elle ne risque pas de tomber.

Il guette avec attention le bruit sourd du corps qui tombe, celui de la funambule qui enfin decide à se laisser choir dans les ténèbres. Peu désireux de la laisser seule au mystère, il jette un dernier regard d’un côté et de l’autre de la rue
ici
il n’y a pas de caméras
parce que la ville est petite
et endormie

Alors il prend son élan et d’un bond, d’un appui il se hisse à son tour au dessus des murs.
S’ils sont là c’est bien pour les dépasser et les franchir
car on ne sait jamais quelle merveille se cache en leur sein.

A son tour la gravité le rappelle, mais il connait bien ces danses funambules dans les endroits interdits,
craque, pli, les jambes et se relève.

« Ça va ? »

Une main sur l’épaule plus petite, plus fragile,
une main qui se veut rassurante (il cherche à la rassurer, mais à se rassurer lui, aussi)
(car on sait bien comment elles finissent tes escapades Cosmo.)
(TOUT LE MONDE LE SAIT)

Il ne faut pas avoir peur, alors il lui offre un grand sourire, ceux là qui plissent les yeux et découvrent un peu les dents.
Un sourire de grand qui sait ce qu’il fait
parce que parfois il faut entretenir les illusions.

Même si à la chasse aux fantômes il n’y a pas plus expérimenté que lui.

Dans la pénombre il plisse les yeux, car ici rien ne se distingue. Si les nuits en ville ne sont jamais totalement noires, il reste ne aucune considération pour les ruines sombres de cette usine délaissée.
Pressant son doigt sur la gâchette, il arose leurs alentours d’une lumière crue, dévoilant les déchet et les rouilles.
Il avance un petit peu et donne un généreux coup de pied dans un morceau de taule qui s’en va voler parmi les décombres dans fracas qui pêche au milieu du silence.
« ça fera fuir les rats » il tire sur un pan de sa blouse, tout blanche et pâle dans l’ombre «  On va passer par les fenêtre de derrière, fait attention où tu mets les pieds. »

Attention aux choses serpentines, aux herbes qui viennent lecher les jambes parmi la rouille. On sait pas quel fantôme se cache ici.
Arrivé près de leur sésame, il bénie la jeunette d’avoir penser à fournir tant de materiel.
Oh, Spray que ferait-on sans ta sainte tête ?

Il attrape l’épaisse cagoule et la pause sur la vitre noire de crasse, enfin le poing ganté de cette armure de tissu, il bande le muscle
et choque le verre.
Clingclingcling.

Font les bruits cristallins, tandis qu’il passe son bras dans la blessure du carreau. L’armature rouillée cède facilement.
Et les passages secrets s’ouvrent pour les passes-murailles.
Mais avant plus d’aventures dans les entrailles de la ruine, il tombe un genou a terre et une main sur l’épaule de Spray.
Enfin plié à sa taille il la fixe dans les yeux, et peut être qu’il y a de la peine ou un peu de peur quelque part dans le globe.
« Si jamais il y a quoique ce soit, que tu veux sortir, partir, tu me le dis et on s’en va. Je dis pas que t’es une froussarde ou quoique ce soit. Juste… Dis moi s’il te plait.»
Je laisserai rien t’arriver.
Plus jamais ça.

@spray
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