Oui, tu ne devrais pas avoir honte de ça, il t'arrive de douter, comme n'importe lequel des hommes. Tu en reste humain. Régi par des sentiments d'affection, de peur ...
Cela faisait déjà deux jours que tu avais reçu ce fameux sms, qui avait "poper" sur ton téléphone, comme une vieille pub à des heures pas possible, tout cela, se produisit lors d'une nuit où tu dormais à poings fermés, vacant à des histoires délirantes avec de la bouffe. Mais cela n'a rien a voir avec cette histoire ...
Il fut évident qu'a ton réveil, tu souhaitais en parler avec Joy. Mais malheureusement pour toi, dés que tu pensais lui en parler, tu ratais chaque opportunités de lui évoquer. Comme si le destin ne voulait pas t'accorder ce "souhait". Comme si il était trop tôt pour en parler.
Oui, bon c'était pas le truc le plus primordial et important dont tu pensais chacune de tes journées. Mais tu te disais des fois, que non, soit ce n'était pas le moment propice. Soit t'oubliais à tort.
Mais comme on dit, quand il faut se lancer, il faut se lancer ... Alors tu trouvais enfin ce fameux "bon" moment pour l'interroger sur ce que tu avais reçu. Joy & un autre homme dans "ton" bar gay préféré, en train de se marrer, sans toi. Tes talents de détective aurait dû te mettre sur la piste, mais peut-être que tu te disais que ce n'était pas nécessaire de t'inquiéter, Sherlock peut rester au placard. Reg le confiant était désormais là. Encore une fois, peut-être à tort ... Comme si tu t'étais ramolli avec ton amour aveugle.
M'enfin, peu t'importait sur le moment, de savoir qui pouvait être l'expéditeur. Et comme il pouvait avoir eu ton numéro de tel. Mais dans tout les cas, il n'avait pas de raison de s'énerver à ce sujet, sans comprendre de quoi tout ça retourne. Tu avais confiance en Joy, il était grand, il savait ce qu'il faisait cette nuit là. Mais tu étais follement curieux de le savoir de sa bouche. Cette même bouche avec qui il t'embrasse. Cette même bouche qui t'a répéter qu'il ne trahirai plus.
Alors, tu l'attendais dans le canapé, à flâner, patientant dans l'attente de son retour dans le manoir, à jouer à Candy Crush, comme un abruti.
A te rouler les pouces, par moments, à rigoler devant des vidéos de chatons. Mais comme si chaque minute était une éternité, sans lui. Car ta curiosité ne pouvait pas être rassasié, en comparaison de ton estomac.
- Il finira bien par revenir ici. Dis moi juste que cette histoire n'est rien.
hrp : Désolé de l'attente. Cela sera plus court comme délai pour la réponse suivante.
edit de joy : oh le menteur..... :/
codage par evil triangle.
Johan Heisenberg
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regal, je ne peux plus, croiser ton regard résolu, plonger mes prunelles, dans les tiennes, sans que tu ne les maintiennes. je n’ai plus l’esprit tranquille depuis cette nuit, ((où tout cela s’est produit.)) je suis perdu, déchiré, conçu, rongé, par des remords si forts, qu’ils m’ont plongé, ((à nouveau dans la détresse, à nouveau en manque de tendresse.)) je songe, je m’isole, j’oublie le temps qui passe, j’essaye d'eviter tout le monde, et je m’efface. regal, tu ferais mieux de me laisser tomber, je suis souillé par des erreurs, elles viennent s'abîmer, le coeur, emplit de douleur, se meurt, en toute douceur.
et je finis par sortir de mon nid, je ne devrais pas succomber de nouveau à l’agoni. parce que c’est toi qui m’a sauvé, en quelques sortes, tu m’as délivré, du mal que des souvenirs peuvent provoquer, et tous ceux qu’ils peuvent évoquer. alors j’arrive, sur le canapé, pendant que toi tu sembles absorbé, par toutes tes bonnes activités.
- ’lut.
je me recroqueville, comme si j’avais froid. je regarde devant moi, en ressentant tellement d’effroi.
- t’fais quoi de beau… ?
je te le demande avec une voix qui frissonne, c’est parce que je pense toujours, je pense sans cesse à notre amour, (j’espère tant, au final, que tu me pardonnes.)
