j'ai l'impression que je pourrai t'attendre des heures et des heures dehors malgré le froid (ça je peux y résister j'ai un châle sur les épaules) malgré les regards (ils m'indiffèrent à force) malgré son absence, à elle (qui me fait mal) il s'est passé tant de choses (elle a disparu) j'ai changé de côté d'opinions et j'ai l'impression d'aller encore mieux pour toi pour moi pour nous tout est beau entre nous, c'est toujours quelques sms des discussions qui ne s'éternisent pas car ((je demande à te voir)) je préfère t'avoir à mes côtés te parler glissermes doigts le long de tes bras et là je t'ai juste demandé de venir au manoir, si tu pouvais car je dois t'expliquer, te montrer aussi avant qu'il ne soit trop tard et j'attends, le ronronnement de ta moto et j'attends, la tendresse de ton sourire le ciel est légèrement couvert un peu gris et je frissonne ((te voilà et tu portes un casque)) je suis persuadée que c'est pour me faire plaisir et ne pas m'inquiéter je souris et je sais que ce sourire n'est pas tout à fait approprier en vue de ce que je vais te dire je m'approche à grands de ta moto sûrement stationnée n'importe comment (je ne peux pas juger je n'y connais rien) pour venir t'agresser d'une chaste étreinte et saisir tes doigts les croiser avec les miens dépêche-toi de retirer ton casque, j'ai des choses à te dire et à te montrer. je ne te lâche pas et j'effectue un léger sourire un peu provocateur un peu charmeur mystérieux aussi je l'espère ça ne me dérange pas qu'on reste un peu plus comme ça aussi. j'aimerai juste voir ton charmant visage.
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Harland
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Dim 26 Fév 2017 - 23:09
La Chambre des SecretsFt. Amélia ❆
Bouquet d’étoiles, pétales de ciel.
Des impressions du monde défilent sur tes rétines – saisissements monochromes d’un paysage aux lignes floues Le rythme lancinant de cette nuit se décompose en battements de cœur Quand Harland retrouve Amélia c’est toujours une nouvelle « première fois » Premier regard (premier vertige) premier contact (premier printemps) premier baiser (premier amour) Elle se tient Amélia sur le seuil des Souvenirs – une silhouette en clair-obscur à la lucarne lunaire, un délicat reflet de vie en fuite sur la toile nocturne Cette obscurité brisée ravit le cœur de Harland (première nuit).
Le lys pousse à l’ombre d’attirants mystères – d’aventureuses rencontres et de secrets tendres chuchotés au creux de l’oreille Le lys fleurit dans la lumière de l’affection sincère – d’enivrantes étreintes et de baisers sensibles Le lys, pense Harland – est une fleur magnifique
Ravissante Amélia – son doux regard immémorial, son envoûtant sourire incolore Toutes les fois où je te vois sont une première fois J’enlève mon casque – vos désirs sont des ordres – ce casque que j’ai mis exprès pour toi, pour pas que tu t’inquiètes, et même que j’ai bien galéré à en trouver un (ça ne fait rien, vraiment rien) et sans lâcher ta main je dépose sur ton front un baiser (rien qu’un) (mais c’est parce que je me retiens)
« T’es vraiment… » Y’a-t’il des mots assez forts assez beaux pour exprimer Amélia tout ce que je voudrais te dire tout ce que j’aimerais te répéter chaque jour à chaque instant à chaque seconde de mon existence - y’a-t-il des mots Amélia assez vivants assez humains pour rendre compte sans faillir de la beauté du lys de la pureté de son aura de l’élégance de ses courbes – l’écho du silence pour toute réplique – bien sûr ces mots-là me manquent mais je ne suis pas triste – je suis enivré et perdu et fou aussi – mais ça ne fait rien, vraiment rien
Je te soulève doucement et je te fais tourner – spirale de l’ivresse – l’engrenage de la passion – tu n’es pas une poupée Amélia – tu es trop délicate trop claire trop humaine - trop trop –
« … toute, toute légère !» (éclats de rire, attendrissement, amour)
Tout ce qu’on dit sur toi est faux – tout ce que j’ai entendu sur toi est faux – c’est un secret que je ne répèterai pas (pour une fois) – c’est une histoire entre toi et moi – (souvent je pense à tous ceux qui ne –re-connaîtront jamais les paumes de tes petites mains je pense à tous ceux qui ont peur injustement du noir qui détournent les yeux de l’éclipse - et ça me fait sourire)
Tes doigts entre les miens ton front contre mon épaule - l’union heureuse d’un duo de souffles aux formes hivernales.
« Moi aussi tu sais je pourrais rester comme ça, avec toi, pour toute, touuuute ma vie. Mais après tu vas attraper froid alors ce serait peut-être mieux qu’on se fasse des câlins à l’intérieur. Enfin ça c’est si tu veux pas me parler de ce dont tu voulais me parler à la base. Tant qu’on est ensemble moi tout me va.»
quand tu me fais tournoyer c'est naturel et je souris jusqu'aux oreilles, je ris avec toi et c'est innocent c'est pur c'est terriblement niais mais ça fait du bien tellement du bien de réfléchir à rien à toi à nous j'aime me sentir tout contre toi, sentir chaque parcelle de ton être (que je ne peux pas recouvrir je suis bien trop petite) vibrée autant que moi je frissonne ; j'aime la tendresse de tes doigts qui enserrent les miens tu me dis des tendresses qui mettent du baume à mon coeur déjà guéri (par ta présence par l'oubli par cette personne aux longs cheveux bruns qui n'est plus qu'une trace) et doucement je viens laisser échapper quelques éclats de rire silencieux avant de rétorquer tu commences à me faire douter : est-ce que je te garde rien que pour moi ou je te montre ma chambre ? un sourire un peu mystérieux et je te décolle de moi je t'emporte de ma main à l'intérieur à petits pas je grimpe les escaliers deux par deux avant de stationner devant ma chambre fermée à clef et de récupérer autour de mon cou ce qui va me permettre de l'ouvrir (clic) j'ouvre la porte il fait noir et je t'invite à entrer à la suite le mystère dissimulé par les ténèbres je referme et j'appuie sur l'interrupteur un immense sourire fier aux lèvres et sur les murs s'étendent les peintures, les photographies d'un autre temps : tout ce que j'ai récolté de l'ancienne famille qui habitait ces lieux des hellébores pour la plupart tu sais et les poupées sur la commode représentant chacun d'eux. pour certains c’est effrayant l’idée de dormir avec autant de regards autant de présences invisibles indivisibles je tente de prendre ta main dans la mienne parlant tout bas bienvenue chez moi. enfin- voilà je voulais te présenter l’ancienne famille qui habitait ici et toutes mes recherches jalousement gardées par moi-même. dans plusieurs journaux intimes ils parlent d’un livre sur la réincarnation et d’autres étrangetés mais- mais j'ai rejoins un autre groupe qui sont les traqueurs des réincarnés - tu sais je t’avais expliqué avec lia et du coup elle a disparu (je ne me rappelle que de son prénom et de sa silhouette) et- et je vais plus pouvoir rester ici et je n’ai pas envie de retourner chez ma mère. je t’avoue que je ne sais pas comment je vais faire. je suis persuadée que le livre n’est pas dans le grenier, j'ai passé des heures à le chercher mais rien du tout. tu es le premier à voir ça. j’observe le sol un peu gênée désolée de t’avoir dérangé pour ça. si tu veux des câlins ou autres en compensation je suis là.
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Harland
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Lun 27 Mar 2017 - 19:25
La Chambre des secretsAméland
Tu commences à me faire douter : est-ce que je te garde rien que pour moi ou je te montre ma chambre ?
Il se contente de rire – d’attraper au vol ces fragments bruissant de mystères et d’affection – Grâce d’une parole déliée sous les doigts rosés de la tendresse – des doigts si tenus qu’à leur contact on a l’impression de perdre l’équilibre – chute euphorique – qu’importe la fraîcheur de sa paume car elle emporte comme l’hiver ; elle a la douceur des flocons en floraison sur la peau ; elle se répand dans tout le corps (jusqu’au fond du cœur) frisson d'innocence grave – Amélia mon hivernale, heureusement hivernale ; ta voix en écho poétique fait gentiment taire les chants fiévreux du tumultueux brasier qui s'écoule dans mes veines – d'habitude j’ai peur de souffler sur les bougies (au fond j’ai peur du néant) mais puisque tu me guides je ne crains rien (car il n'y a rien à craindre) – je te suis – nos deux mains jointes – l’enchanteresse rencontre du gel et de la canicule – harmonie d’un chant gracieusement disjoint – on gravit les escaliers comme on se perd (ça me donne envie de rire) je connais bien le labyrinthes des souvenirs et pourtant j’ai l’impression de tout redécouvrir à la lumière de ton aura (je ris) « J’ai hâte Amélia, je suis sûre que ça va être la chambre la plus bizarre et la plus charmante de toutes celles que j’ai pu voir dans ma vie ♥ » jolie étrangeté et fascinant mystère – voilà les couleurs de ton ombre Amélia, qui au seuil de la porte ondoie silencieuse silhouette à la surface d’un nouvel horizon – attrayantes attirantes excitantes perspectives illuminées d’obscurité.
On entre tous les deux et je suis presque surpris quand s’épanouit la clarté – j’ai l’impression que c’est pas juste qu’ici le jour n’a pas sa place (la mémoire se conserve mal quand on l’expose au soleil) que la lumière et moi on est des intrus Une drôle d’angoisse enfonce ses ongles dans la chair de ma nuque – frissons – Des fresques sillonnées par des dizaines et des dizaines de regards – un tableau d’antiques mânes enchevêtrées qui se diffusent en désordre sur les reflets imagés de ces multiples histoires oubliées (sauf de toi Amélia) les murs ont des yeux et des oreilles – dans tous les coins de la chambre fleurissent densément d’innombrables éclats de vies perdues – passées – mais que toi Amélia tu as réussi à collecter – Amélia chercheuse de trésors qui a reconstitué tous ces puzzles tous ces jeux existentiels égarés dans les tortueux méandres de la noirceur historique – et il se sent fier Harland – fier du sourire hardi de sa petite copine qui affectueusement embrasse du regard ce paysage confusément tracé de réminiscences embrumées – fier des sourires figés de ces petites poupées assises en famille au-delà de leur destin – fier aussi qu’elle saisisse sa main à lui – fier de resserrer ses doigts autour de sa paume à elle – fier oh ! si fier
« C’est impressionnant tout ça woaw… Tu sais Amélia je m’imaginais des tas de trucs sur ta chambre genre, je sais pas, je pensais que y’aurait des tables de ouija ou des vieux bouquins pour invoquer Satan ou des bougies mises comme un pentagramme tu vois, pour faire venir les fantômes et causer avec (un rire sincère) mais jamais j’aurais pensé à tout ça… C’est mille fois plus cool que les bouquins de Satan en fait !!! »
Je te regarde et tu es belle comme ça drapée dans les rayons ternis par le temps qui filtrent à travers les vitres de toutes ces fenêtres ouvertes sur d’autres histoires – tu es belle au milieu de tous ces visages inconnus qu’on ne (re)connaîtra jamais plus – tu es belle Amélia belle de tout temps
« Oui, oui je me souviens, Lia… C’est mieux comme ça… Si tu penses que c’est mieux comme ça… Tu as pris la bonne décision – mais je veux juste que tu fasses attention, que tu me promettes de pas te mettre en danger, enfin… Traqueur de réincarnés ça fait un peu peur comme expression, on dirait que tu vas vraiment chasser des gens… Un peu comme des loups… Ou je sais pas… Après je connais pas grand-chose aux hellébores (je sais juste que c’est une fleur empoisonnée) mais les souvenirs des autres ils valent pas la peine que tu te blesses (ou pire) d’accord ? – enfin euh je veux pas avoir l’air de passer pour le petit copain méga lourd h24 après sa copine hein non pas du tout c’est juste que je veux pas qu’il t’arrive quoique ce soit déjà que c’est pas facile pour toi… Enfin je sais que tu feras comme tu peux et ça sera déjà vraiment bien alors… Fais attention ? D’accord ? J’espère que les autres hum… Traqueurs de réincarnés … Ils feront attention… »
Tout ça – les hellébores les myosotis et les luzernes – il n’y comprend pas grand-chose Harland – lui-même il n’a conscience d’appartenir à ce grand jardin que depuis quelques temps seulement – il se demande vaguement ce qu'il va se passer quand il se souviendra – quand il croisera le reflet de son alter ego lointain dans le miroir du temps – est-ce que ça sera douloureux ? est-ce qu'il va souffrir comme Amélia ? est-ce qu’elle va être obligée de le traquer lui aussi ?... Vertige – un sentiment désagréable qui prend racine tout contre sa poitrine – oppressant fleurissement imminent – Harland enfonce une main dans sa poche – contre la pulpe de ses doigts les angles rassurants de sa boîte d’allumettes – en cas de force majeure n'oublie pas Harland qu’un jardin ça peut se brûler que ça se brûle et que ça brûlera bien.
Amélia fuyante ses prunelles sibyllines glissent en marge des iris bronze du garçon – Harland attire son hivernale bien-aimée contre sa poitrine – une étreinte d’infortune assiégée d’immémoriaux (immémorables) regards étrangers t’en fais pas Amélia t’en fais pas je te protégerai...
« Tu peux venir vivre chez moi si tu veux... Bon par contre je suis désolé ça sera pas aussi confortable qu’une vraie maison comme chez ta mère ou ici au manoir hu – mais au moins tu auras quelque part où dormir hein ? Et puis j’ai parlé de toi à tout le monde ; ils sont tous gentils et sympa tu verras. Ma mère t’a déjà adopté. Hm… Va falloir que je range ma chambre par contre ahah je peux même te la laisser pour toi toute seule j’irai dormir autre part si tu préfères avoir ton petit coin et tout ça. Et puis on cherchera le livre ensemble. Je suis sûr qu’il doit bien être quelque part pas vrai ? »
Il se baisse – pour déposer sur ses lèvres au goût de brume un baiser en efflorescence – aussi léger qu’un papillon.
« Je vais t’aider à rassembler tes affaires. Si tu veux passer chez ta mère aussi… Mince je suis pas du tout bien habillé là elle va me prendre pour un clochard faut que je fasse bonne impression nan ? Tu me trouves comment là ? Est-ce que j’ai l’air genre du petit copain super clean digne de confiance et tout ? Un peu genre "je ramène votre princesse à 21 heures madame" tu vois ce quoi je parle ? Au pire2peer tu lui dis que tu restes habiter au manoir – je sais que c’est pas bien de mentir à ses parents mais là c’est un cas de force majeure. »
Sourire épousant les formes insaisissables de la malice
« Bon ok je suis définitivement pas le petit copain digne de confiance... » (et je ramènerai pas la princesse avant minuit.)
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hrp : je suis trop trop désolée pour le retard ; _ ; (je voulais pas écrire beaucoup en plus et ?? quoi)
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Sam 8 Avr 2017 - 2:08
chamber of secretsaméland ((harland & amélia))
ta réaction positive me fait rire mais il en est toujours ainsi avec toi je ne vois pas pourquoi cela changerait pourquoi tu serais quelqu'un d'autre, alors que tu es parfait quand tu es toi-même avec tes tirades trop longues tes mots qui s'emmêlent trop vite et ton éternel sourire au fond je guette ta réaction concernant les hellébores ce n'est pas que je ne te fais pas confiance mais il y'a des choix qui ne sont pas compréhensibles pour tous mais la première chose que tu fais c'est de t'inquiéter de ma sécurité de si je vais me sentir bien si il n'y'a aucun risque pour moi amélia moi ta petite amie ton poussin comme tu aimes m'appeler et pour moi, et pour moi c'est la plus belle des preuves d'amour mes traits s'attendrissent et j'opine légèrement l'air de te dire que ne t'inquiètes pas tout ira bien ne t'inquiètes pas il y'a aussi des individus de confiance là-bas promis je ferai attention. tu m'attires vers toi et je me love sans gêne menton sur le torse pour pouvoir consumer ton regard (si loin tu es si si grand) ne jamais m'en décrocher alors qu'avant elles étaient fuyantes fuyardes tu dis ce que je voulais entendre tu entends mes envies et c'est pour ça que je t'aime je sais que je peux te faire confiance que je peux tout te demander sans passer pour une profiteuse (je n'ai pas l'impression de l'être non je pense que même les premiers temps ça sera difficile de s'habituer de prendre mes marques de ne pas avoir l'impression de m'incruster dans ton monde à toi) et pourtant et pourtant un sourire immense grimpe sur mes joues poudrées je- tu es sûr que ça ne dérangera personne ? puis non c'est hors de question que tu ne dormes pas dans ton lit à cause de moi ! tu vas passer des mauvaises nuits après et je vais m'en vouloir. on verra bien comment on fera. (on dormira ensemble, au pire) nos lèvres se rencontrent à nouveau promesse d'un avenir prochain certain je pouffe à tes inquiétudes tu sais tu sais ma mère est habituée à mes bizarreries mes étrangetés quotidiennes je suis un peu l'adolescente qu'elle a pas réussi à dresser exactement comme elle le voulait mutine malicieuse je suis à ta dernière phrase j'avais prévu de lui mentir de toute manière, elle ne me laissera pas aller autre part que le manoir. je te jure ma mère est grave parfois, elle avait voulu voir enzee pour lui demander des questions hyper lourdes c'était gênant. sur la pointe des pieds je tends le bras, te recoiffe d'une main tendre et non t'es parfait ! je m'en fiche de son avis de toute manière, par contre je te montrerai à ma mentor chez les hellébores. elle est- déjà importante pour moi ? c'est bizarre. et ta mère dira rien si ma mère la contacte pas. et- je claque des doigts j'ai comme une illumination je vais récupérer des vêtements plus clairs- plus fleuris aussi chez moi, des trucs que ma génitrice a acheté ça lui fera plaisir que je lui porte puis- une meilleure impression pour la tienne aussi peut-être ? je me détache de toi observe les valises posées au-dessus de l'armoire les mains sur les hanches toi qui es ma perche à moi, tu peux les récupérer s'il te plaît ? on va ranger les vêtements.
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Harland
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Ven 14 Avr 2017 - 2:42
La Chambre des secretsAméland
Amélia fleurie – joli imaginaire impressionniste charmants drapés des peintures à l’huile que la brise fait bruire ça fait rougir Harland – soudain il a le printemps battant au cœur au corps les teintes brouillées de futures journées ensoleillées emportées par les parfums à venir des étés bourgeonnants déjà couleurs fuyantes dorures naissantes le long des contours ondoyants des champs au loin lointains – Harland laisse divaguer son esprit le long des contours de ces fleurs artificielles qu’il s’imagine qu’il dessine en pensée sur fond d'immaculés tissus frémissants s'effaçant – et ça le fait rougir
« //// tu seras trop trop belle Amélia. Mais même avec un sac à patates tu serais belle de toute façon. Et ma mère elle le penserait aussi je suis son fils quand même elle m'a transmis son bon goût héhéhéheuuuh -- je dis pas que tu peux t’habiller avec un sac de patates enfin tu peux le faire si tu as envie hein !! Mais voilà les habits fleuris c’est bien. Les fleurs c’est joli, huu… yeah ////. »
Rêveur…
« Et… Tu sais… Je veux te dire… Non tu dérangeras pas… Ils comprendront tu sais ? Ils comprendront tout ça. Ils savent ce que ça fait. D’être perdu. On s’est tous perdu quelque part avant de se retrouver là-bas !… On aime tout ce qui est égaré. C'est ça le cirque. C'est bizarre. Je sais que ce que je dis c’est bizarre … Amélia tu sais... Je suis super heureux ! On va vraiment vraiment habiter ensemble maintenant ! Ca me rend trop heureux ! »
Sourire du rêveur... Celui qui se retourne avec joie jette au loin euphorique un sourire dans le noir lance son regard au plus profond de l’obscurité pièce en rebond sur les reflets irisés des eaux du puits – joint les mains – il faut faire un vœu dans ces moment-là c’est ce qu’on fait -- faire un voeu (Prier) Joindre nos deux mains et marcher vers la lumière
« Bien sûr … Mon petit poussin <3 »
Il sifflote – il promène ses mains parmi les fragments d’autobiographies passées amulettes en forme de clefs elles portent vers toutes ces projection en fuites de vies qu’on oublie – attrape au vol les valises à remplir de futurs heureux souvenirs
« Allez hop-là ! Tu prends ça ? Et ça ? Et ça aussi ? Ohlala comment c’est trop joli cette robe j’aime trop !!! »
Vider la chambre de tous ses secrets – laisser en paix ces rangées de silhouettes nébuleuses – paysage mélancolique de cimetière incertain Border les corps éthérés dans cet ultime linceul cousu de lointains bonheurs vaporeux
Laisser enfin en paix les morts – éteindre la lumière
« C’est bon alors on a tout ??? »
Sourire du rêveur
« Je prends les valises ! »
Ne pas se retourner Refermer la porte sur toutes les malédictions – tout ça désormais c’est une autre Histoire Deux chemins qui divergent – l’un retourne aux enfers Mais j’ai réussi – je ramène la nymphe sur terre
« Par contre faut vraiment que je range ma chambre… lol j'te jure c'est le bazar je veux pas que tu vois ça c'est trop la tehon... »
Je fais le vœu qu’on soit toujours ensemble qu’on soit toujours heureux toi et moi – à deux sur les sentiers bordés de fleurs – écarlates ou cobalts je m'en fous parce que je suis sûre que sur ta robe ça bourgeonnera joliment et ce printemps-là rien qu’à toi et à moi qu’est-ce qu’il me rendra heureux…
[LA FIN !!!]
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hrp : pardon c'est pas super mais j'étais crevée orz