C'est un pincement de levres Et la peur qui perle d'un front La faune et la flore a cran en haillons Et l'éclat de nos palpitants Dans l'ombre du marteau pilon----
dans l'ombre du sinistré
c'est au vilain petit canard à qui on a confié une mission frappe de tes poings tom hurle de tes mots toi qui a la genèse boursouflée dans tes doigts toi aux allures de jeune garçon qui règne sur une cours de sujets naissants tom qui a le cœur gonflé d'un nouvel ego et de responsabilités primordiales c'est vraiment important il tient la balance et les avantages qu'auront les hellébores si tu es trop crédule si tu tombes dans les songes de lénore ou d'autres que tu fréquentes il ne préfère pas y penser à tout ça ça lui provoque des frissons sans retour il ne doit pas rater- il n'a pas le droit à l'erreur lui qui ne cesse d'en commettre jaakoppi qui ne vient plus si souvent en cours, que fais-tu dis-moi à part te perdre loin du bon chemin ((loin de moi)) qu'il dirait il a le besoin pressant de te garder tout contre lui tu viens assez cependant pour qu'il fasse glisser cet ordre de venir c'est incompréhensible et pour toi il ouvrira des plaies bien dissimuler sous le minois de son enfance il t'a donné rendez-vous dans une antre tarie d'innocence dans l'ombre du sinistré moulin ça a bien changé qu'il pense en ouvrant avec précaution le bois mal vieilli cela fait longtemps qu'il n'était pas revenu dans les vestiges d'un instant saissisant d'un instant qui n'est pas fait pour disparaître il les ouvre grand les portes pour illuminer l'obscurité frémissante du soleil de mai- investiguer dans ses remous ça lui paraît si lointain pourtant tout semble identique même s'il y'a quelques secondes il a constaté les pierres pleines de poussière l'eau qui a cessé de couler peut-être qu'ainsi il pourra effacer la noirceur d'ici- panser ses stigmates en accomplissant comme un héros l'acquisition d'un précieux par les mots ou par la force il l'aura ce bien que tu chéris comme un nouveau-né jaakoppi il t'attend s'adosse contre un mur puisque tout le monde connaît le vieux moulin il ne sait pas pourquoi il a ressenti le besoin au fond de t'emmener ici au-delà des bonnes excuses c'est comme quand vous avez joué- c'est comme quand il a détourné les yeux oui c'est l'instinct primaire et sauvage, le canidé édenté qui cherche une revanche qu'il ne saurait exprimer dès que tu apparais il tend une main le visage splendide de gravité sous sa casquette sans soleil on est bien à l'abri des seize heures du samedi, dans les bras immenses du moulin file-moi le livre, me force pas à le récupérer autrement qu'ainsi.
Jaakoppi
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Dim 11 Fév 2018 - 23:56
Tom, Si je t'écris aujourd'hui c'est pour te dire... (un jour une histoire)
Tom sans Léa sans Pastel (un roi sans sujet) sur quoi cherches-tu toujours à régner ? Jaakoppi est depuis plusieurs mois à présent un exilé à ta cause.
plusieurs mois oui on pourrait croire que l'eau a coulé sous les ponts mais comme le démontre si bien le lieu de l'invitation elle ne fait que tourner en rond
même eau même émotion même temps même moulin qui bien que tombé en désuétude reste debout (l'endroit l'a toujours mis mal à l'aise, il n'y a jamais mis les pieds malgré sa curiosité) Juste un peu en avance c'est le printemps, pas encore l'été. pas encore le soleil cuisant Sa lumière est douce pendant que Jaak bat le chemin jusqu'au rendez-vous, à l'heure. (il n'a pas prévu le retard il n'attend qu'une chose et tu le sais bien ce n'est rien d'autre que ton excuse)
Il veut Avoir une raison de compatir face à ton règne de terreur, face aux mensonges couleur magnolia. Tom, Si je viens aujourd'hui c'est par compassion (il a entendu dire que ceux qui crie le plus fort ont besoin qu'on leur tende la main) Il n'a pas envie de t'aider et en même temps tu sais c'est difficile de se savoir rejeté par un si puissant soleil. (dans ton songe tu as inversé le temps)
Si je viens aujourd'hui c'est parce que je t'ai admiré autant que je t'ai hais c'est parce que j'ai toujours au fond espéré un jour, être aimé par ta bande être pardonné de n'être qu'un gamin sans grande force, un enfant à sourire puis à pleure pour enfin n'être plus que colère.
Si je viens aujourd'hui qu'il pense en resserrant sa prise sur le livre, ses pieds rivés au sol à deux millimètres de la vieille porte Il ne sait plus vraiment la raison de sa venue il préfère ne pas la savoir s'il sait...s'il sait vraiment pourquoi serait-il venu ?
Expire encore une fois encore une fois encore une dernière fois oui c'est la dernière confrontation le dernier combat et après la liberté s'offre à toi Oh l'enfant ne peut pas savoir le triste sort Tom auquel tu le condamne en ta compagnie.
(la porte s'ouvre) Il fait froid soudain, dans son cœur, lorsqu'il te voit lorsqu'il t'entend, contre le mur. Nous somme en mai et en fin d'après-midi mais contre sa peau git les congères d'une autre époques qui ont eut le temps de congeler avec les années. La chair de poule ses dents se serrent en delà de sa conscience. C'est le dernier combat le dernier le dernier Jaak le dernier lorsqu'il se donne le courage pour faire un premier pas, puis le dernier (la porte claque derrière lui l'enferme dans la semi-clarté de l'endroit, qui n'est que l'obscurité portant son masque de jour)
(ça bourdonne ça bourdonne ça va venir mais ça ne vient pas c'est sur le bord de lèvres c'est prêt dans les recoins de pierre c'est là ça attend ça observe c'est là ça noue le ventre compresse les côtes ça donnes des sueurs froides ça patiente mais c'est ici ça te donne des avertissements Jaak Jaakoppi pourquoi tu restes pourquoi tu es buté pourquoi tu essaie de te rassurer ce n'est pas du stress ce n'est pas de l'angoisse ce n'est pas de l'adrénaline ce n'est pas de la colère ce n'est pas de l'impatience ce n'est pas de la déception c'est sur le bord des lèvres et c'est beaucoup plus sombres beaucoup plus noir et même noir sur noir écrit dans de l'encre invisible respirable dans l'air sans le voir le goût du fer qui s’amoncelle dans tes papilles et cette odeurs de larmes chaudes cette sensation oui de chaleur gelée au bout de tes doigts mais surtout toujours au bout de tes lèvres au bout de ta langue le mot qui se casse qui pique et qui n'est pas du aux fourmilles de ta soudaine immobilité ça coupe ça tranche tes mots jusqu'à n'en faire que des confettis alors te voilà muet tout ce que tu pourrais lui vomir dessus tout ce que tu pourrais assouvir en injures il n'y en a qu'une et c'est elle qui t'observe en chasseuse tu es en proie à son traquenard elle est là elle a toujours été là elle est là elle n'a jamais pu être là elle est là elle s'est enfuit elle est elle mais en réalité c'est un nom commun masculin auquel ça va bien d'être un homme parce que lorsqu'elle claque contre ton palais en silence elle arrache ta peau assez pour que ce mutisme perdure et qu'il ne sorte pas se révéler bien qu'il ne demande que ça ce n'est pas de toi ce n'est pas de toi non Jaak tu fais semblant de ne pas comprendre de qui c'est mais tu sais cette violence qui fleurit dans cet endroit qui t'asphyxie c'est son amour.)
RESPIRE RESPIRE RESPIRE AVANT DE... la bouche de Jaakoppi s'ouvre en grand tout son buste se soulève dans un son sonore (enfin !) lorsqu'il tremble de toutes part et ébroue son corps tétanisé un instant plus tôt, avant de faillir mais la porte derrière lui est là pour le retenir. Il porte le livre contre son cœur comme pour le protéger de ton mauvais sort (qu'est-ce que c'était que ça ?! c'est différent, si c'est différent il ne veut pas y croire alors il pense oui que c'est toi et ta nature bizarre qui essaie de le déstabiliser pour gagner) C'est le il expire fébrilement dernier combat
Je . te . le . donnerai . jamais . sa voix il a du mal ses dents sont toujours serrées il a peur si il les laisse se reposer que ça revienne ce qui observe ce qui est là en étau autour de lui que ça vienne et que ça s'engouffre pour mieux s'échapper mais ce n'est pas lui c'est le mauvais sort et il te laissera pas faire Tom il te laissera pas non gagner avec un tel coup bas. Tu dois, le mériter. EXCUSES-TOI !
Sommez les trompettes, levez la bannière parce que cet après-midi nous partons en guerre.
bjr c la pls:
BUT IN THE EEEENDDDDDDDDDDDDDDD
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Lun 12 Fév 2018 - 0:45
C'est un pincement de levres Et la peur qui perle d'un front La faune et la flore a cran en haillons Et l'éclat de nos palpitants Dans l'ombre du marteau pilon----
dans l'ombre du sinistré
il plisse les yeux et grogne ton affront tu t'épingles tout seul au mur et ça a toujours des relents de passé il regrette en à peine quelques minutes d'avoir pris ce lieu où il est maître que de la poussière ça le fait chier et ça lui retourne les tripes il veut que ça se termine vite il a pas le goût du spectacle il veut s'éclipser vite en une ombre oui il veut disparaître en ayant accompli sa mission il ne sait pas pourquoi mais il a envie de te frapper de te mettre à genoux et à l'agonie il veut te faire regretter ((mais regretter de quoi jaak toi qui n'as rien fait)) il ne sait pas- enfin si en profondeur mais ça fait longtemps que tom ne plonge plus dans son soi pour chercher quoique ce soit les ténèbres lui font bien trop peur tu passes de jamais à excuses tu n'es que caprices jaak il veut vraiment te frapper il ne s'excuse plus pour rien tom ça le fatigue de faire ça il l'a vraiment fait ici en plus les excuses dans le vent ces murs ont été tachés de son sang victimes de ses cris il s'approche de toi pour se donner des airs t'intimider il n'aura jamais la même prestance que lui la même quiétude morte il aura toujours les doigts tremblants et les poings serrés mais il essaye tout de même des s'accaparer l'air pour que tu ne regardes que lui et dans un élan silencieux il envoie son poing qui s'arrête juste avant ta joue dans un gémissement de frustration notre chère mère la force au-dessus le rappelle à l'ordre ainsi (ce n'est pas à cause de son autre lui même si tu ne le sais pas tom que jaak est jack) il a un râle presque animal et une injonction trop adulte putain ! ne laisse pas exploser tes émotions tom son visage se crispe sous la frustration de ce jamais lié au moulin et il tente de poser ses deux mains en haut et en bas du livre et de tirer vers lui avec hargne se pliant un peu pour se donner de la force LÂCHE
Jaakoppi
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Lun 12 Fév 2018 - 1:53
L'assaut arrive, face à ton faciès contrarié et ton approche il ne peut que se replier sur lui-même, serrer le livres aussi fort que possible contre lui les épaules remontées il chercher à se transformer en bouclier tout entier. Il retient son souffle face à ton poing qui attaque mais ne fait que projeter un vent de calomnies contre ses joues, arrêté avec rage à deux pas de sa trogne livide. ça tremble et ton visage Tom ne devient que Rage, transmet celle-ci dans l'exclamation qui la pimente, avant, sans détour, d'essayer de prendre le même chemin d'une autre façon.
Lui, sent encore la brise qui est passée par la lucarne, celle qui a effleuré ses pommettes tout comme la vague d'air que tu as envoyé du bout de tes doigts. Son bouclier, Son bouclier a fonctionné, le livre l'a protégé. Jaakoppi n'a rien dit parce qu'il s'est souvenu de la formule secrète, terrible magie, incantation de protection contre vous contre toi Il ouvre en grand les yeux non. Le livre failli lui échapper des mains pendant cet instant de flottement en lui alors que tu lui crie dessus et tente de lui arracher. non non non non non !! (il clos un instant ses paupières mais c'est pire encore il peut sentir les perles de pluies rouler le long de son minois même si elles ne sont pas vraiment là) Telles des serres même si tu parviens à tendre ses bras d'un coup ses ongles ras se plantent dans la couverture et la tranche, il a fait un pas en avant sous ta force mais il tire à présent de toutes les maigres mais déterminées siennes pour le ramener à lui en essayant de se tourner et l'arracher à ton emprise.
pourquoi c'est toi qui crie c'est lui qui devrait HURLER parce qu'il ne veut pas croire à la coïncidence c'est une très très mauvaise blague dit Tom dit toi dit la vérité arrête de mentir atone toi de tout vos mensonges La sensation froide et violacée s'est effacée en lui il ne reste que la chaleur qui a tout fait fondre pour remplacer la blanche neige d'un cadavre par une chaleur écrasante de celle d'un Juin qui se prend pour un Août mais nous sommes en Mai, il transpire c'est la fièvre qui le prend à bras le corps, ses yeux rouges sans larmes et ses cheveux qui se collent à ton non son front alors qu'il l'échappe enfin, ce crie tire toujours il est moins fort que toi non il ne veut plus subir la perte non La sueur fait glisser ses doigts il ne veut pas supporter ce qui n'est pas de son fait (ne veut pas savoir ce qu'il a fait pour mériter ça) Il faut oui que tu le mérites Tom (bien que tu le mérites déjà ) c'est entre les degrés qui grimpent, la culpabilité qui s'enrobe dans son crâne lui donne mal à la tête. c'est dans les petites lignes du contrat ça l’assomme ça lui fait assez peur pour qu'il une seconde hésite lâche lâche lâche oui il en est un non n'est ce pas il ne sait pas peut être oui mais ce n'était pas fait exprès ?
Lâche échappe le bouquin une micro-seconde mais il ne peut pas abandonner son dernier rempart alors il se jette dessus pour le récupérer comme on se jette du haut d'une falaise s'étale contre toi au sol, c'est la seule clé qu'on lui a jamais confié si tu crois, si tu crois que l'imposture que tu es a le droit de lui voler plutôt crever que te laisser être vainqueur de cette guerre
CE N'EST PAS A TOI !
Tu ne peux pas le frapper mais LUI te gifle avec une satisfaction hors norme le temps de réaliser que sa colère a portée son geste, le monstre amoureux dégouline sur lui. Non, tu n'as pas le droit de faire ça. Ce n'est pas vrai, il ne veut être qu'IRE DAMNATION CONDAMNATION ! quand cette infection le conjure à n'être qu'amertume regret et _ _ _ _ _ dans le linceul de la culpabilité d'un garçon mort il y a de cela des années. Tu n'as... La voix tremblante, son faciès exprime tout le dégoût qu'il ressent pour toi en cet instant pas le droit de faire ça !
Ses mains crochues et pleines de poisons agrippent tes joues tirent et tordent, essaient de déformer ce visage que tu as fais tiens. Il ne veut plus le voir ce visage, il ne l'a pas vu encore mais il le devine et rien que ceci suffit pour le terrifier de la vérité qu'il recèle, ce doux visage qu'il a un jour _ _ _ _. Jaakoppi ne pense pas avoir mérité pareil enfer. J'ai dis excuses toi !! arrête de mentir, excuses toi maintenant !! TOUT DE SUITE, MAINTENANT !
mais toutes ses grimaces qu'il te fais subir ne suffisent point à rendre grossier tout ce qu'il ressent tout ce qu'il a ressenti tout ce qui ne vient pas de lui mais du monstre qui habite ces murs. Alors Jaak clos ses paupières et souhaite à une bonne étoile que ce n'est qu'un mauvais rêve tout ça qu'un terrible cauchemar il étend ses paumes pour camoufler ton visage ce dit qu'il va disparaitre disparaitre de cette réalité disparaitre de ces souvenirs (une fois les yeux à nouveau ouvert) effacer le bouclier qui est au final l'épée de Damoclès venue guillotiner sa détresse pour la remplacer par une bien plus funeste nouvelle.
MERCI TOM D AVOIR RECUP MON RP MDR:
TU ROX DU PONEY
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Jeu 15 Fév 2018 - 23:52
C'est un pincement de levres Et la peur qui perle d'un front La faune et la flore a cran en haillons Et l'éclat de nos palpitants Dans l'ombre du marteau pilon----
dans l'ombre du sinistré
la lutte le tient là dans un souffle qui ne s'expire pas- c'est ainsi tom n'ose même plus respirer ses poumons se coincent en même temps que ses muscles forcent la prise lâchent- son corps recule dans un râle déjà un poids supplémentaire lui pèse celui de ton toi qui l'écrase qui l'écrase et qui l'enfonce dans une terre qui a son propre goût il tient le livre bien haut bien loin de toi le minois à découvert pour tes cruautés il se reçoit la gifle qui rougit sa joue- qui fait brûler un feu qu'il ne peut pas consumer ça chauffe ça chauffe et il reste enfermer dans les flammes, il n'a pas le droit de te menacer avec il est pétrifié face à tes cris il ne peut plus bouger tout reste coincé et il sent encore tes six doigts tes six putain de doigts lui caresser la joue mais il ne lâche pas il ne lâchera pas et il criera plus fort s'il le faut il ferme les yeux et RESPIRE lui aussi il RESPIRE de tout son être il prend sur lui pour cecil pour tous ses frères qui ne doivent pas subir- il subit pour le précieux qu'il a crocheté et qu'il ne compte pas relâcher RESPIRE comme toi tout en majuscule pour ne pas oublier ses prunelles n'ont pas les tiennes pour l'instant il est dans un silence plein de charbon et de saleté un silence de noir sur noir et il ne comprend pas pourquoi même s'il a la fureur et l'envie, la boule au ventre et une à la gorge aussi il ne peut pas t'asséner un bon coup sur la tête il est toujours coincé RESPIRE tom qui attend que tu réouvres tes paupières d'enfant cruel (tiens donc ça a une drôle impression de vécu) les nerfs à bout il ne veut pas se confronter à toi il veut juster il veut juste cecil un peu fier il des larmes qui se bordent un peu là sous la pression puisqu'il ne peut toujours pas s'extirper de cette situation DÉGAGE ! je mens de que dalle ! et je ne m'excuserai PLUS ! je ne m'excuserai plus JAMAIS ! dégage, c'est pas loyal comme combat- c'est vraiment bas. de toute manière t'en as pas besoin de ce livre, ça sert à rien de t'acharner sur moi. RESPIRE reprend ton souffle ne te noie pas il essaye vainement de se tortiller pour te faire dégager- tournant son visage sur le côté
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Ven 16 Fév 2018 - 0:48
toctoctoc c'est _ _ _ _ qui te parle, au creux de l'oreille, susurre la mélodie de plaques de bois qui craquent lorsqu'on les empile pour condamner une tombe, du bruit de l'eau qui s'enfuit en cercle non loin, toujours en avant, se déverse et se renverse, pleut et s'évapore, n'est plus que brouillard dans les pensées avant de tomber à nouveau en averse, s'infiltre dans le sol pour enfin, complètement, s'échapper. Jusqu'à la prochaine sécheresse. Jusqu'à la prochaine moisson. Jusqu'aux prochains extrêmes de nos deux sentiments. Tango danse contre sa peau sensible au raz de marée, là, s'enroule de bas en haut et de haut en bas en frissons intempestifs. Ouvre les yeux avant que l'eau ne s'évapore, encore une fois d'entre tes doigts. (file file pour mieux s'écraser)
Le long de ses doigts deviennent humides alors qu'il a entrebâillé ses paupières après avoir prié à la fleur de flétrir. Jaakoppi te souhaite rabougris, méconnaissable, le début de tes pleurs est un bon début pour parvenir à cette fin oui mais elle assèche en même temps son propre cœur déjà trop meurtrit. Tu es toujours Tom (Toujours) Ta voix étouffée par dessous ses paumes ne dément pas ceci, elle est agressive, brisée, comme tu l'as toujours été, gonflée d'une vile assurance dont il veut bien le secret Jaakoppi. Tu dégobilles pour t'échapper de son emprise, il ne t'empêche pas, ses paumes sont sales de ta salive et tes salines, il ne veut pas avoir les mains sales de celles-ci, il préfère se dire que ça le dégoûte plutôt que d'avouer que ça le fait culpabiliser pour deux. (si encore il avait été seul) Jaak s'essuient les mains rapidement sur son pantalon puis sans perdre un instant, sans cesser de te surplomber, se redresse sur les genoux pour tenter de prendre de l'ampleur par rapport à toi.
Tu sais quoi ? Je m'en fiche que tu me détestes t o m, je m'en fiche ! c'est toi qui est pas loyal à mettre toutes ses choses en moi pour essayer que ça tourne en ta faveur juste parce que t'es pas CAPABLE de t'EXCUSER, et je m'en fiche de ce que tu penses parce que J'AI besoin du livre pour parler aux autres d'à quel point vous êtes viles, à quel point vous mentez et vous jouez avec nos sentiments lorsque vous détenez toutes les clés. Tu sais quoi ? On me l'a donné ce livre, ce livre je l'ai gagné !!! et j'ai MORFLE POUR L'AVOIR. EST CE QUE TU AS MORFLE POUR L AVOIR TOM ? il s'énerve, il ne peut pas tenir, il repense aux mains ensanglantées, il repense au noir total dans lequel il a été plongé avec une inconnue dans une bibliothèque secrète, il repense à nouveau aux oiseaux, son visage devient rouge de colère pour faire passer les spasmes que la mémoire de la tragédie provoque en lui car il ne contrôle plus son ire. EST CE QUE TU LES AS VU LA ENTRE TES DOIGTS ? AS TES PIEDS ? AU DESSUS DE TOI ? EST CE QUE TU LES AS ENTENDU CRIER ET CRIER ET SE FRAPPER AU MUR EN ESSAYANT DE S ÉCHAPPER ? EST CE QUE TU AS VU AU CYPRÈS ET ET....
le reste reste bloqué dans sa gorge , il est à son tour au bord des larmes, réellement cette fois-ci, son crâne est lourd, son front le brûle. Les souvenirs du carmin et de la frayeur que ces images lui causent, tordent son ventre d'angoisse, surplombent les perturbantes sensations et émotions qui l'assaillent depuis le début de leur entrevue. Une pause, c'est tout ce dont il a besoin, d'arrêter de respirer pour souffler un peu. il clos l'espace d'un instant ses paupières le temps de secouer la tête et d'essayer de se reprendre puis, le visage maintenant fermé, tendre un bras vers le livre pour tenter de se l'accaparer à nouveau avec violence et sans compromis. pas d'excuses, pas de livre. (pas de livre, pas d'excuses non plus)
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Ven 16 Fév 2018 - 1:45
C'est un pincement de levres Et la peur qui perle d'un front La faune et la flore a cran en haillons Et l'éclat de nos palpitants Dans l'ombre du marteau pilon----
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il ne convient pas assez pour que tes mains reposent sur son visage il retrouve en toi un peu de l u i et c'est terrifiant sauf que toi c'est pas pour lui apprendre quelque chose jusqu'à preuve du contraire c'est dans cette haine viscérale qu'il comprend quand tu ouvres la bouche tu as les mêmes paroles aussi pas dans le même sens mais c'est les mêmes mots il s'en rappelle et son visage se tord dans une moue de douleur ça devrait être interdit tu m'étonnes que tu le détestes si tu penses que ça vient de lui il aimerajt bien ça serait beau tout de même qu'il puisse contrôler cette douleur tom aussi mais là il est juste pétrifié de nausée et de coups qu'il se prend dans sa face ça a toujours des relents dramatiques avec les pétales de myosotis, ils sont plein de poisons ces êtres là il te scrute au bord d'un vide imprononçable d'un néant terrifiant quand tu énonces et il a soudainement froid est-ce que ça va jaakoppi qu'il a sur la langue quand tu fermes les yeux et que tu te rappelles mais il a à peine le temps de s'acclimater à l'idée d'aller dans ton sens que tu changes de position en voulant lui arracher le livre il ne résiste pas il avale sa salive avant de te dire pas très haut la gorge serrée on n'a pas que ça à faire que vous faire du mal ALORS QUE NOTRE SEULE RAISON D'EXISTER DE BASE C'EST DE VOUS PROTÉGER. qu'est-ce que tu as pas compris dans la forêt avec lou-anne jaak sérieux ?? tu te bats du mauvais côté va leur dire à quel point on est viles ça les arrangera eux les hellébores ! il s'arrête et reprend comme vidé (jack tu ne serais pas fier de lui il s'est encore fait pousser du train, mais c'est un peu toi non) t'as pas le droit de dire des mots dont tu saisis même pas la gravité, tu peux pas dire que tu t'en fiches de moi. je suis désolé jaak que tu sois troublé comme ça mais dis pas des choses comme ça ! si tu l'as mérité garde le ton truc, de toute manière que tu sois gentil avec nous ou pas on sera obligés de t'aider. est-ce que tu trouves ça JUSTE TOI jac-jaak qui a entre les mains apparemment ce qu'on a le droit ou pas ? son cœur doute et questionne mais il refuse de voir c'est impossible il cache ses yeux de ses mains pour ne plus te voir pour que tu ne vois pas qu'il pleure encore sous tes mots désastre et il attend le dernier orage
Jaakoppi
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Ven 16 Fév 2018 - 10:31
facile, comme retirer un pacificateur à un nourrisson Jaak a le bouquin dans sa main, cueilli sans plus de combat comme il l'eut craint. Pourquoi tu ne te bats pas Tom je pensais que c'était la bagarre, tu en veux plus de cette sale guerre ? ça ne lui ressemble pas. (et quelque part ça lui ressemble trop) Une pointe de culpabilité vient étreindre le gamin tandis qu'il encercle une nouvelle fois le précieux entre ses bras. Celle-ci ne fait que s'amplifier lorsque tu parles, il aurait du s'y attendre, qui sème le vent récolte la tempête. Peut importe qui le sema en premier.
Là, au dessus de toi, il te juge d'un air inquisiteur, mais face à ta douleur ce n'est qu'une piètre façade. Il se veut aussi tyran que toi mais tu n'as plus rien d'un tyran là, sous lui, tel un animal blessé au coeur. c'est vrai que ça ne fait pas sens lorsqu'il l'a lu, mais il a toujours cru que Tom le détestait, alors c'est un peu confus dans sa tête. Un plus un ne font plus deux.
Il continue de pleuvoir en Tom, Jaak peut bien essayer de jouer à être lui, au fond, il ne l'est pas. Il est buté oui, mais pas de ces enfants sourds à la douleur d'autrui lorsqu'elle est si clairement exprimée. C'est ce qu'il voulait non ? qu'il pleure qu'il ait mal comme lui avait souffert ses derniers temps, mais une fois face à la souffrance tant désirée, il n'a qu'un goût plat sans plus aucune saveur en bouche et les regrets qui reprennent de plus bel dans le creux de son estomac.
...
Jaak se pousse sur le côté, Il a bien entendu que Tom a failis l'appeler autrement, parce qu'il y a deux monde entre Jac et Jaak, et pourtant serait-ce donc le même ? Assit à côté de l'ancienne terreur (tu ne lui fais plus peur, sa frayeur est allée voir ailleurs) il ramène ses jambes à lui et pose le bouquin dessus dans un long soupire, une main sur la couverture.
Désolé d'avoir crié, c'est ce lieux là...ça m'opresse...mais, tu sais, il inspire un bon coup, je pense pas que ça soit juste, je pense pas que tu le mérites non plus, je pense pas que tu ais le droit d'essayer de le prendre de force et de te barrer avec, je pense pas que l'on devrait fonctionner comme ça, entre toi et moi tu crois pas ? Tu dis que vous devez nous protéger, et, c'est vrai que j'ai lu ça, mais c'est triste à dire mais c'est un peu faux tu crois pas ? je veux dire, à l'école tu arrêtais pas d'être chiant avec moi, et pareil Léa et Pastel sont constamment méchantes ou lunatiques, même les adultes comme Sauge ne disent rien. On dirait plus que vous essayez de vous protéger vous-même. Il soupire à nouveau, un mal de tête entêtant est venu se nicher dans sa caboche, il n'a plus envie de crier pour se faire entendre. Tu vois lou-anne est peut-être une rouge, n'empêche qu'elle m'a jamais trainé dans la boue comme toi et ta clique vous le faites, jamais pris de haut comme Sauge le fait. Je disais pas que je voulais le dire aux rouges, ils sont viles eux aussi, je voulais le dire aux autres, pour qu'ils se rendent compte qu'on leur ment depuis le début. Laisser les gens dans le flou, les laisser avoir peur et se battre tout seul contre des images c'est pas aider, c'est de l'observation... Il tourne son visage un peu vers lui. Mais bon, nous, toi et moi, on est que des gamins non, t'es dans ta phase rebelle ou tu vas grandir pour devenir comme Sauge ?
L'émotion le rend bavard, bien sûr il a envie de se plaindre, il a envie que Tom compatisse avec lui, c'est la première fois que Jaak le fait pleurer non pas de rage, mais plus d'un genre de désespoir, il a l'impression en si peu de temps d'avoir inversé toute leur de leur relation, et il n'a pas envie de revenir en arrière. Jaak n'a jamais rien demandé de plus que d'être sur un pied d'égalité. Les sensations étranges se sont apaisées elles aussi, il faut croire que sa colère de plus tôt les a réduite pour le moment en cendre, ne reste plus que Jaakoppi et peut-être, telle une aiguille dans une botte de foin, quelques grammes de cet autre. Il n'est pas tout à fait sûr que Tom le connaisse, ça lui parait impossible, Tom est un enfant il a fait sa scolarité avec lui. S'il est étrange c'est car c'est un magnolia, pas un humain. Mais Tom sait peut-être quand même, sans l'avoir connu, de qui il s'agissait, après tout certains réincarnés ont ce genre de pouvoirs non ? de savoir.
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Dim 4 Mar 2018 - 23:10
C'est un pincement de levres Et la peur qui perle d'un front La faune et la flore a cran en haillons Et l'éclat de nos palpitants Dans l'ombre du marteau pilon----
dans l'ombre du sinistré
ça descend tout doucement ça dévale RESPIRE tom RESPIRE- la cascade reprend son doux chemin sans débouler sans chuter juste ainsi là ça s’écoule en lui tandis que tu t’écartes enfin il ne bouge pas il est immobile car ça siffle en lui et il a peur que ça explose (il se connaît un peu fond un bruissement en trop une entaille et ça repart cette colère boursouflée en son sein) ça menace à chaque instant il a les nerfs en cavale le creux des doigts crispés encore et des larmes là- les poumons en vrac tu t’excuses tout d’abord bien et tu repars dans de longs discours qui n’ont aucun SENS des discours qui font MAL par leur véracité ça véhicule en lui des choses qu’il aurait préféré encore ignorer c'en est trop et ça repart ça repart au galop ce n’est pas faux ce n’est pas faux ce n’est pas faux ce n’est pas faux ce n’est pas faux T’AS PAS LE DROIT t’as pas le droit de dire ça de remettre en cause sans savoir d’essayer dans un élan de compassion (?) de se mettre à sa place il ne prétend pas connaître tes douleurs alors pourquoi cherches-tu à le faire jaak c’est si douloureux tu n’es plus un enfant tom et tu luttes comme tu peux mais tu luttes ne l’écoute pas ne l’écoute pas ne l’écoute pas les bras qui brassent dans le vide certes peut-être mais qui brassent quand même les grands sages n’ont pas onze ans jaak pas vingt-deux non plus alors avec tes paroles saintes qui ne (te) ressemblent pas (à lui) où comptes-tu aller tu n’es pas en âge de réfléchir à ce genre de choses ce ne sont pas des problèmes d’enfants. alors c’est normal si sous cette forme ça ne fonctionne pas- c’est normal si dans la tête de jaak ça sonne pour eux ce n’est pas pour la cour de récré il ne faut pas tout mélanger il a fait l’erreur oui de venir sous cette enveloppe qui ne convient pas en l’instant c’est déloyal c’est injuste mais avec ce qui lui reste de magie du bout des doigts- ses membres deviennent plus grands ses traits se durcissent en homme en vrai adulte ce n’est pas juste mais tu n’es pas juste jaak alors il a un peu le droit non quand il est toujours allongé mais avec gravé dans les yeux dix ans de plus il se relève un peu (tu ne regardes pas vers lui il lui semble) et d’une main d’adulte qu’il vient loger à ton cou il appuie sans pitié plus aucune les prunelles encore rougies d’innocence de désespoir il n’y’a plus de jack dans cet esprit dans tes mots ça ne lui fait plus peur d’user sa violence il appuie pour t’étrangler en essayant de te clouer au sol de te dominer pour une dernière fois essayer de t’arracher le livre cette fois sera la bonne il ne sourit pas il ne pleure plus il n’a plus de colère il est vidé il fait ce qu’il a à faire pour te prouver le contraire de tes dires ingrats, de ta non-pertinence au sujet des magnolias
Jaakoppi
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Sam 10 Mar 2018 - 19:51
Il a dit tout ce qu'il avait à dire, alors les yeux qui dérivent sur une lucarne, il t’octroie quelques secondes de répit. Jaakoppi n'est pas de ces gens voyeurs qui observent les autres pleurer en silence. La lumière qui filtre par cette niche ouverte est riche du soleil que Jaak aime tant. C'est si facile, lorsqu'on n'y prête plus attention, d'oublier l'humidité du lieu ambiant, les pierres ruissellent encore (il le sent même s'il ne l'entend) malgré que le moulin soit à présent à l'abandon, mais là il ne les subit plus. Il n'y a que le bourdonnement des beaux jours de printemps qui harmonise et fini d'apaiser son esprit remué.
La serre froide s'empare de son cou. Tes pieds qui rappent contre le sol terreux il les a entendu comme les siens en cet instant qui talonne le même terreau par panique ton corps qui se redresse il a senti le courant d'air qu'il a soulevé mais tandis que tu l'écrases de ton emprise de fer contre les barabans il n'aurait jamais imaginé, alors il ne s'est pas retourné la serre froide s'empara de son cou et par la même occasion le pare, stupéfait, d'une révélation qu'il préfère encore combattre que de ployer sous son poids.
Jaakoppi essaie de hurler mais il ne fait que crachoter sa voix hors de ses lèvres, ses pieds essayent d'administrer quelques coups bien placés contre tes genoux mais pas sûr qu'avec sa courte taille il arrive à quelque chose. Au moins a-t-il le réflexe de s'emparer à la seconde même ou le collier se referme, du livre tant convoité. mais ce n'est qu'une belle farce la panique, la peur, l'incompréhension, l'injustice, le pêle-mêle de la haine et de la trahison, ne le fait que lancer plus loin celui-ci avec l'espoir toujours ce triste connard, que Tom tu le relâche pour que tout deux vous puissiez vous jeter sur le bien en question. Il ne peut pas s'en débarrasser, il devra courir, courir plus vite, attraper plus prestement, s'enfuir plus loin. Loin des froides pierres, des froides mains, qui sont pourtant pleines de la chaleur des fureurs.
La pression s'amoindrit mais ne disparait point, il peu enfin, enfin à nouveau Respirer. une inspiration sifflante
pourquoi tu ne vas pas le chercher Tom, ce n'est pas ce que tu veux ? une expiration cabossée pourquoi tu restes là à lui intimer le sol, l’obéissance, il n'a pas envie de t'obéir même si en cet instant tu le terrifies tout autant que lui.
L'enfant renifle, dégluti, essaie de se remettre de ses émotions. Il ne te regarde pas, ton visage fait peur, il ne connait pas cette expression chez les grands et de ce fait, la trouve inhumaine. Ses yeux bordés de larmes sont toujours fixés sur le livre ouvert face contre terre. Il te préfère la violence à fleur de peau Tom, c'est une violence à laquelle il s'est accommodé. Celle silencieuse des jours de grands vents, ce n'est pas toi. ...c'...est pas toi..
gargouille-t-il du fond de sa gorge, avec précaution. Il veut s'affranchir de ton ombre Tom il l'a toujours voulu, et il pensait avoir la solution mais il faut croire que celle-ci est comme toi, changeante, lunatique, métamorphe selon ton visage. (il n'a pas les armes pour ce combat)
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Dim 11 Mar 2018 - 1:15
C'est un pincement de levres Et la peur qui perle d'un front La faune et la flore a cran en haillons Et l'éclat de nos palpitants Dans l'ombre du marteau pilon----
dans l'ombre du sinistré
la lutte est vaine mais admirable c’est presque beau que tu te débattes alors qu’il n’y’a aucune chance de réussite qu’il relâche la pression par la force tu hurles en silence et il se veut indifférent à toute cette douleur (c’est un peu comme s’il t’avait trahi c’est ce que tu dirais si tu pouvais- mais tu ne peux pas alors reste en silence) il attend que tu relâches le livre que tu le lui donnes en fronçant ses sourcils courroucés de tristesse mais aussi de ce qu’il veut d’indifférence alors quand tu le fais il relâche un peu et te laisse reprendre ton souffle- il en profite lui aussi qui était si concentré à ne pas serrer trop longtemps (il n’aurait pas fallu te retirer la vie non non) tu ne le fixes pas c’est pas grave tu sais- ça le dérange pas d’être le monstre de ton histoire il n’aime pas te voir pleurer mais il ne lâche toujours toujours pas il t’oblige à ce que ton dos s’imprègne du sol souillé et puis tu parles il ne sait pas où tu trouves la force : il te trouve bien courageux tom. et tom ce grand gaillard ce petit garçon ce magnolia ne sait pas à quel tom que tu connais tu t’adresses ce n’est pas toi l’enfant ce n’est pas toi l’adulte ce n’est pas toi tom- qui es-tu il ne sait pas trop et il lâche un petit tch. il se râcle la gorge et appuie à peine une seconde pour appuyer ses paroles- cette voix grave qui ne lui est pas habituelle (alors qu’il se l’est appropriée) à tes côtés je te demande pas vraiment ton avis. bouge pas. il se relève prestement et se jette sur le livre pour essayer de l’attraper avant toi sans même plus t’adresser une oeillade il ne s’excuse pas se remercie pas- c’est bien moins douloureux la haine et s’il y’arrive s’il y’arrive il s’en ira t’abandonnant à des cauchemars qu’il ne peut même pas affronter en étant ce qu’on nomme un adulte
Jaakoppi
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Dim 11 Mar 2018 - 2:12
Sa peau feule sa peur à sa place lorsque tu resserres quelques peu ton emprise Lapin prit dans les phares son cœur bat à deux mille à l'heure (qu'attends-tu de plus de lui ?) Mais c'est juste pour la forme, juste pour la frime. Tu possèdes ce pouvoir là. Lui aussi en possède un mais il ne l'utilisera pas à ton encontre, la cruauté d'un tel usage le poursuivrai toute sa vie durant il s'imagine. (il se sert de cette fausse noblesse d'âme pour se flatter et tenir sa morale en place sous ta menace) bouge pas que tu dis. Son cœur bat encore plus vite il a l'impression ça cogne ça fait mal il décompte dans sa tête mais n'a pas le temps déjà tu le lâche, enfin ! mais enfin tu as de bien plus grandes jambes une ou deux enjambées et le tour est joué lui s'est a peine remis sur ses pieds et encore, a genoux est-il, chancelant. La porte s'ouvre en grand, la lumière fuse engloutie les ombres, c'est sans un regard que tu enjambes l'entrée.
Il a fait de son mieux Il ne voulait Qu'une excuse, aussi plate fut-elle. Tom il n'a jamais voulu que vous vous entendiez si mal, il n'a jamais décidé des règles de la cour de récré c'est toi qui a toujours gardé la royauté de celle-ci. Il n'en a jamais voulu de cette couronne bardée de barbelés. (pas assez adorateur peut-être pas assez franc dans ses coups de poings sûrement) Il avait toujours eut l'espoir au fond qu'un jour il comprendrait pourquoi, maintenant il croit comprendre et ça, ça aurait du le soulager. Ce n'est pas de sa faute voilà tout, tu es comme ça Tom et comme ça tu sembles vouloir rester. mais tu enjambes l'entrée sans un regard en arrière. N'est-il vraiment personne ? même plus ton camarade ? même plus Jaak a qui tu as une fois, prêté ta casquette ? Tu as choisi ce lieu sciemment ou non, tu l'as amené dans une cage, il t'en tient responsable tu sais, de cette douleur que tu lui as infligé, que tu sembles t'être infligé tout aussi consciemment. Tom... (que s'est-il passé Tom ? pourquoi ici ?) Tom... (pourquoi ça se fini toujours comme ça entre nous ?) Le soleil s'est engouffré mais il fait si froid dedans, tous ses rayons ne suffisent pas à le réchauffer ils le transpercent de toute part alors que remonte telle une symphonie émotionnelle l'impression que c'est définitif (est-ce que ça se fini vraiment comment ça ?) Dit, To- (vas-tu disparaitre ?)
Le caléidoscope émotif prend feu : la photo de papa au fond du placard, l'homme qui dort sous l'arbre, les boucles brunes qui se fondent dans l'horizon, la photo de beau papa au fond du tiroir, les boucles blondes qui s'enfoncent dans le sol, et on dira bonne nuit aux trois autres filles, les flammes des trahison des déceptions des pleurs des terreur et puis le blanc immaculé de la neige, fourbue mise en tout sens, l'envie de frapper, de faire tomber, la proie qui court de l'autre côté, l'effet boule de neige, arrête de courir, arrête de t'enfuir, si tu te retournes, mais tu ne te retournes pas alors, alors c'est Tom évanouit dans ses bras et que l'on aimerait bien voir rester là.
don't go... c'est ce qu'il aurait aimé dire. RESTE LA !!!!!!!!!!!!!!!!!!! sa voix continue dans un cris enraillé puissant à lui mettre les cordes vocales en feu avant de s'éteindre dans des sanglots boursouflés de peine. c'est ce qu'il aurait aimé entendre. Oh si il se redresse tu lui avais dis fait deux pas avant de se mettre à courir oh si tu lui avais dis si tu lui avais dis si tu lui avais dis si tu lui avais dis Si..
il te bouscule sans prendre la peine de ralentir, t'attrape à bras le corps même si tu es bien trop grand pour lui, mais ne te fais pas tomber, tu es comme un mur comparé à sa maigre force.
...il aurait regardé en arrière. Et peut-être... non, sûrement.
Les images sont en cendres, ça aurait pu défiler, mais la farandole flambée tournicotait beaucoup trop vite, beaucoup trop pressé il est aveugle à toutes ces images, seule la persistance de l'émotion, intrinsèquement ancrée en cet instant en lui, incendie tout son être. et Jaakoppi glisse le long du mur, une main toujours agrippé au tissu de son haut, le visage bafoué par sa peine. (c'est cette même émotion qui l'a assaillit lorsqu'il a repoussé Sauge pour mieux tombé toujours dans l'attente qu'elle le rattrape par le poignet mais elle ne l'a pas fait alors il s'est regardé disparaitre dans les sables mouvant et même tout ça encore ce n'était pas aussi violent) reste....reste....restez-là...
Il s’essouffle le long de l'infranchissable mur, trainasse contre. oh si tu, si tu l'avais à bras le corps...au moins essayé...il se serait retourné...s'il y avait eut quelqu'un pour l'attraper...Tom, Tom pourquoi tant de peine à te regarder partir ? Cette douleur c'est pas la sienne et pourtant elle est tellement réelle. Il sent son emprise glisser et se sent prêt à rendre les armes mais la main d'une femme qui lâche là sienne, claire, là, présente, l'image, pour une fois, le fait s'agripper plus fortement.
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Dim 11 Mar 2018 - 3:14
C'est un pincement de levres Et la peur qui perle d'un front La faune et la flore a cran en haillons Et l'éclat de nos palpitants Dans l'ombre du marteau pilon----
dans l'ombre du sinistré
ça lui arrache sa démarche ça lui arrache tout il ne sait plus comment on aligne deux pas : l’un devant l’autre oui mais il ne voit plus la ligne invisible qui est censé le guider tout droit vers cecil il serre fermement le livre et il ne bouge plus face à ton désespoir ça résonne et quand tu t’accroches il ne te chasse pas il te laisse pleurer tout contre lui- sangloter s’il le faut oui ça ne le dérange pas c’est seulement quand tu défailles qu’il comprend que C’EST PAS NORMAL son radar s’agite et il plisse les yeux comme appelé à se retourner et à te prendre dans ses bras ((c’est ça d’avoir le coeur magnolia)) tu le subis et c’est pitoyable ça lui fait vraiment de la peine de te voir ainsi à s’accrocher à lui- pourquoi d’ailleurs c’est drôle à quel point à onze ans on peut être si différent il ne lui ressemble pas quand il avait cet âge il ne ressemble pas à jack mais mais c’est un peu étrange tout de même car absolument à la fois il ne faut pas penser aux vieux démons d’en-dessous le lit il prend une inspiration et tu es bien trop sincère jack-jaak pour le tromper ainsi pleurer pour récupérer le livre c’est plus que ça IL EN EST PERSUADE c’est un instinct inexplicable rose fleuri au pire c’est pas grave il lui dira à cecil que c’était pour le bien de l’esprit myosotis qu’il n’a pas réussi qu’il a essayé de toute manière il commence à être habitué à l’échec il garde le précédent convoité dans une de ses mains et tente de décrocher la tienne d’un coup sec sans cruauté (en s’y reprenant deux fois car tu y mets beaucoup d’énergie) il ne la lâchera pas du moins pas maintenant il la garde là et pivote hésite un instant sur comment faire alors il décide juste de te pousser à lui- de te maintenir en plaçant sa main sur ton crâne il ne faut pas que tu tombes on peut t’aider pour ce genre de peines jaak. il se reprend doucement baissant sa défense et sans te regarder crâne vers le ciel et le second bras ballant je peux t’aider moi, je pars pas. ça va juste te faire souffrir d’être avec moi, tu penses pas ? c’est un peu égoïste car c’est aussi lui que ça fait souffrir mais il veut avoir le coeur net avant de partir et ne jamais revenir
Jaakoppi
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Dim 11 Mar 2018 - 3:40
les baskets trainent contre les herbes folles, les sueurs froides s'écrasent contre son front il n'est pas sûr de sentir ta main la première fois que tu essaie de l'arracher à toi, ne serait-ce pas plutôt des griffes ? la peur pétrifie sa prise, la seconde fois sera la bonne il n'a simplement pas la force de résister. Il t'a rattrapé, tout va bien, tu ne t'es pas enfuis, tu n'es pas comme _ _ _ ...il ne sait plus...pas, pas comme Sauge en tout cas. tu es là, là pour lui. (il y a toujours du monde pour Jaakoppi) Il se laisse faire, épuisé, entre toi et ses propres démons toute son énergie a été sapée.
Il n'essaie pas de prendre le livre non, il n'y pense plus, plus du tout, il pense au fait que tu es là et c'est tout ce qui compte. Jaakoppi clos ses paupières, c'est différent, c'est maternisant, il n'avait jamais souhaité que ceci de vous, que des grands. Mais Tom toi tu es un enfant tu l'as toujours été et pourtant pour la première fois tu sembles différent, pas que physiquement non, tout. Tout ton être est autre, il ne te connait plus. t'as t-il jamais connu ? (pourquoi tant de vagues viennent s'écraser à tes pieds ?) A chaque fois qu'il essaie de se détacher, à chaque fois qu'il essaie de te haïr la marée monte et vient échanger ses émotions pour d'autres qui viennent des tréfonds. C'est un long, long soupir qu'il pousse contre toi, frotte son visage contre ton haut pour essuyer ses larmes, il renifle tout contre ta chaleur avant de prendre la parole. Est-ce que tu es un enfant Tom...? je sais plus... si tu es vraiment un enfant alors... il frotte à nouveau son nez contre toi, alors c'est juste moi....qui va pas...
Il reprend prise sur ses pieds et arrête d'être avachit contre ton torse, mais pour autant, il ne se détache pas, comme se sentant protégé dans ton emprise. Il n'en a pas besoin pourtant en soit de cette protection, il a une maman, sa maman fait les meilleurs câlins, mais son être appelle quand même sans cesse à ce contact. Il n'en est jamais repu. (c'est le manque fantôme qu'il se dit, il avait beaucoup du manquer oui, pour être aussi affamé)
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Dim 11 Mar 2018 - 3:58
C'est un pincement de levres Et la peur qui perle d'un front La faune et la flore a cran en haillons Et l'éclat de nos palpitants Dans l'ombre du marteau pilon----
dans l'ombre du sinistré
c’est brillant d’innocence comme instant et pourtant ça lui fait mal ça lui fait peur quelque part dans sa tête ça le met pas bien il est pas bien non il est pas à l’aise pas bien dans ses baskets mais aux magnolias on leur demande pas vraiment leur avis et à vous non plus les myosotis tous dans le même bateau sans savoir quelle côte longer vers où ramer est-ce qu’il est un enfant lui-même ne le sait plus il pousse un soupir pas agacé pour un sous en cherchant sa réponse coincée entre ses dents non pas vraiment. on n’a pas d'enfance tu vois. ‘fin j’ai pas ton âge, je suis plus vieux- environ le double je pense ? il croit c’est pas très net les contours d’enfance il a préféré oublier il a préféré mettre de côté le nombre d’années qui le sépare de- il renifle il se rend plus compte qu’il respirait plus jusque là pourquoi tu demandes ça ? tu te rappelles de qui tu étais, avant ? car il a des drôles d’impressions au début il voulait pas te forcer la main mais il abaisse son menton pour te regarder du haut de son perchoir de prétendu adulte sans condescendance il a si peur de la réponse comme si c’était une évidence qu’il ne veut pas admettre il ne veut pas entendre jack naître sur tes lèvres plus de lui plus du tout bien qu'il en est persuadé bien qu'il a la sale impression et c'est tellement risible tout cela sauf que tom n'a plus de force pour rire il a les traits tirés et le coeur fermé au sinistré