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Tag 1 sur   6uNRDqqSujet: THE WHISTLE MAKES ME THEIR GOD
Lucifer

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Rechercher dans: Fiches refusées   Tag 1 sur   I_icon_minipostSujet: THE WHISTLE MAKES ME THEIR GOD    Tag 1 sur   EmptyJeu 14 Déc 2017 - 0:33
Validation

Hey & bienvenue Coach ♥️ kemit
Un perso qui trouve déjà ses fans au sein des membres, un bon prof d'EPS qui suit son petit traintrain, mais que va-t-il se passer par la suite ? Quel évolution, il aura ?? Peut-on changer le fait d'être aussi MachoMen et d'aimer les shorts ? 8DD

En tout cas, on semble tous avoir hâte de voir ce que tu en fera hihi. poce en l'air
Reste pipou en tout cas, jeune fangirl #1 du "best actor ever". ♥️

Bref, je te valide ! ♥️

Tu peux faire ta fiche de lien, ton portable pour spamme tes potes et même un petit journal pour te faire plaisir. Pas besoin de recenser ton ou tes avatar(s) mais si tu le souhaites, tu peux te choisir un (ou deux) visuel réel et le rajouter dans le bottin irl. Si tu recherches des partenaires de rp, n'hésite pas à faire une demande.

Et pour conclure, fais bien mumuse sur le forum avec nous tous ! AH OUI et surtout (comme toujours) "Stay bbchat & Carry on RP !"
Tag 1 sur   6uNRDqqSujet: THE WHISTLE MAKES ME THEIR GOD
Invité

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Rechercher dans: Fiches refusées   Tag 1 sur   I_icon_minipostSujet: THE WHISTLE MAKES ME THEIR GOD    Tag 1 sur   EmptyLun 11 Déc 2017 - 19:04
Theodore J. Parish
Avatar James T. Kirk - STAR TREK.
Surnom  Coach - Coach P.
Âge 27 ans.
Date de naissance 2 Juin.
Lieu de naissance Hood River - Oregon.
Nationalité Americaine.
Occupation Professeur d'EPS - Coach.
caractère
Spécimen d'une vingtaine d'année, adulte bien portant à la condition physique irréprochable, visage toujours placardé d'un smile, professeur conciliant, soucieux du bon rapport entretenu avec ses élèves au point d'apparaître comme la bonne poire de service, il est surtout animé d'une bienveillance naturelle qui lui fera gober toutes vos excuses, même celles en cartons tant qu'elles sont accompagnées d'un joli sourire : L'individu dont il est question se nomme Théodore qu'on appelle plutôt Coach T. et son existence est une preuve que la plupart des clichés sur les profs de GYM qu'ont propulsés diverses séries pour minettes ne sont pas infondés.

Des shorts rouges trop courts qui viennent accentuer si ce n'est souligner une virilté déjà parfaitement assumée par un regard d'acier imperturbable, jusqu'à la voix grave dont le timbre surplombe les bavardages adolescents et n'interpelle que par le nom de famille, Théodore Parish est à un gymnase ce qu'un prêtre est à une église. Si ce n'est qu'au lieu de distribuer la bonne parole à une assemblée silencieuse de chrétiens, il le fait à une foule de gamins mécontents pour qui jouer au ball-trap constitue une forme insoutenable de torture, presque équivalente à l'écoute en boucle des premiers tubes de Justin Bieber. Alors pour tenter d'alléger la peine des âmes souffrantes dont il est le tortionnaire involontaire et dont il comprend les peines, Mr. Parish prêche l'amour du corps et du bien être physique dans l'espoir d'en faire des fidèles, distillant avec ferveur son évangile à grand coups de sifflets ou à l'orgue de sa voix. Homme d'une grande tolérance, il tend continuellement sa main au prochain comme aux hérétiques et dans cette obstination religieuse, assure qu'il y a du bon dans la douleur : Arguant qu'au bout du chemin n'attend pas une promesse de paradis dont l'existence est discutable mais le résultat immanquable d'un corps de rêve qui en fera saliver plus d'un.

En dehors de ces heures où il se fait un ardent homme de foi, Ted est un mec à qui on fera souvent le reproche d'être bien trop mec. C'est que dépourvu d'un intêret pour les grands combats sociaux du XXIè siècle et ayant été le bénéfacteur d'une éducation à la vision des choses simplistes, il possède un regard étriqué où les nuances n'existent pas : Il y a le noir et le blanc. Les hommes à la guerre et les femmes en cuisine. Puis lorsque survient un problème il suffit de montrer les dents, rouler les mécaniques puis prier le bon dieu. Normal quoi. A l'inverse c'est toutes ces traditions dont les médias déplorent peu à peu les pertes que Ted perpétue avec naturel : Le sourire et la confiance aveugle en l'étranger avec autant de naïveté que Forrest Gump, laisser sa place aux petits vieux dans le bus, ouvrir et tenir la porte pour l'individu X, raccompagner les demoiselles, ces fragiles créatures, jusqu'à leur domicile parce que rentrer tard le soir c'est dangereux et aussi payer l'addition parce que c'est évidemment à l'homme de payer.

Ainsi dans un monde en évolution perpétuel, Ted appartient au clan des inamovibles et plus précisément ceux qui n'ont même pas conscience d'en faire parti. Parce qu'il est bien trop épanoui pour se poser des questions, bien trop pugnace pour se laisser abattre par les mésaventures, bien trop simple pour imaginer le monde dans son infinité de nuances.
histoire
C'est une histoire pas très intéressante et tout à fait banale qui dans les grands faits se résume à peu de choses et se confond à des milliers d'autres : Le genre d'histoire qui se doit d'abonder car sinon l'exceptionnel ne serait plus l'exceptionnel et simplement une banalité sans particularité.

Theodore Parrish jusque la n'a été ni témoin, ni acteur, ni victime de quoique ce soit de notable à reporter. Il est né au début de l'été, un jour où il ne faisait ni beau ni moche. S'il est évident qu'un écrivain aurait sans peine, pu trouver à cet évènement un détail pour le rendre insolite, ce fut surtout une naissance sans complications comme l'occident en connait des millions chaque mois.

La suite est un trajet pépère : C'est un gosse parfois turbulent qu'on a épargné de tout drame familial. Theodore qu'on surnomme plutôt Ted est un élève lambda ni brillant, ni cancre qui regarde cartoon networks en rentrant de l'école. Il grandit et découvre le collège, se tape des blagues sur Ted Mosby et se fait quelques copains. Il découvre l'amour puis peu après la tragédie de la rupture. La vie continue et c'est le lycée qui s'enchaîne sur l'université.

C'est un peu cher d'ailleurs ; Il s'est endetté pour un bachelor obtenu de justesse. Pas encore certain de savoir ce qu'il veut vraiment, Ted tâtonne un peu puis comme ça, s'engage dans l'armée où il sert sans jamais être déployé et ne fait donc jamais connaissance avec l'enfer du front.

Revenu à la vie civile il garde les mains dans les poches quelques temps puis enfin se décide à bouger. Quelques examens et l'état lui accorde une licence pour enseigner. Un entretien d'embauche et cinq mois plus tard on l'appelle désormais Coach quand il se trimballe aux bords du terrain, sifflet en bouche.
HAN

fangirl {#}1{/#} d'Harrison Ford, ce forum est rempli de jolies têtes c'était impossible de résister au pitch qu'on m'a fait ♥️ Je suis une limace atm donc je fais dans le laconique et j'assume hinhin.
Tag 1 sur   6uNRDqqSujet: DIGITALIS
Cosmo Müller

Réponses: 4
Vues: 4363

Rechercher dans: Outils de communication   Tag 1 sur   I_icon_minipostSujet: DIGITALIS    Tag 1 sur   EmptyMar 14 Nov 2017 - 11:02






#1 - Ne prenez pas le bus.


Bonsoir Foxglove,
Il est… 00h20, la nuit est déjà bien entamée et tu es au chaud chez toi. Seul peut être. Est ce que tu n’arrives pas dormir ?  
Est ce le remord, la peur ou les questions qui te tiennent éveillés ? Ce n’est pas mes affaires n’est-ce pas ? Mais ne t’en fais cela pourrait le devenir. Je sais que tu as vu quelque chose un soir, à l’orée de la nuit et que cette apparition te taraude et t’obsède et te tourne dans la tête sans que tu puisses en parler. Parce que tu aurais l’air fou… n’est-ce pas ? Et les gens, les autres, ils se riraient de toi, hein ? Alors tu as peur et tu te tais mais ne t’en fais pas, je suis la pour toi.

Aux nouvelles de la nuit, aux brèves effrayantes; On me murmure que qu’il se passe des choses étranges au sein du réseau de transport en commun de la ville.
Vous êtes vous déjà retrouvé à ces heures où la ville dort,  à l’ouest de l’observatoire, à l’angle de King street et Cross street ? Que feriez vous là me demandez vous. Je ne juge pas les errances de ceux qui me rapportent leurs dires. Toujours est-il que, il arrive que certains soir, toujours à la même heure et si vous vous armez de patience, vous puissiez voir le bus n°7 passer devant vous.
Jusque là rien de bien étrange, mais réfléchissez un instant. Si vous êtes un habitué des transports en communs de la ville (dont le service laisse à désirer, franchement mais que fait la mairie ? Enfin, bref, là n’est pas le sujet) vous savez pertinemment que le réseau ne comporte que 6 lignes.
Les seules occurrences d’un bus numéro 7 remontent à la création du réseau un peu après la seconde guerre mondiale, et d’après quelques recherche le service fut suspendu au debut des années 70 suite à des coupes budgétaire, nous dira-t-on… En fouillant dans les archives j’ai pu retracer le chemin suivit par cette ligne et malgré quelques trous dû au manque d’informations dans les archives municipales, il semble que cette ligne desservait l’ouest de la ville, fort foyer d’habitation entre 1940 et 1970, servant plus précisément au ramassage scolaire des élèves de la Pricefield Academy.
On raconte que le bus passe. Qu’il ne s’arrête pas. Qu’il n’allume pas ses phares mais que, pourtant, son intérieur reste illuminé d’une lumière blanchâtre comme un vieux néon. On murmure que dans ce halo se découpent quelques silhouettes qui parfois s’agitent contre les fenêtres embuées, mais restent calmes la plupart du temps. Il a toujours l’air rempli du même nombre de personne ce bus et, s’il vous passe devant sans vous voir, vous aurez beau courir après, lorsqu’il tourne l’angle de la rue : il a déjà disparu.
J’ai dernièrement trouvé un article de journal datant de l’hiver 1969, un petit fait diver qui avait secoué la ville : un accident de bus à cause du verglas. Un soir, rempli d’écoliers rentrant des cours, le bus n°7 s’est renversé sur la chaussée : très peu de morts furent à déplorer, parmi eux le chauffeur. Le bus n’a jamais atteint son prochain arrêt et terminus : King street.

Si jamais vous voyez le bus de la ligne 7 évitez peut être de trop trainer dans son sillage. Et si jamais il s’arrête ne songez pas à y monter. On ne sait pas ce qu’il pourrait vous arriver. Ne prenez plus le bus: marchez.

Encore une histoire étrange pour une ville étrange. Ne crois pas tout ce qu’on te dit; tu n’es pas obligé de me croire. Doute de moi, je te le demande, mais tu n’es plus obligé de te taire. Il est tard et la nuit s’étire, s’étend, s’étiole. Il faut bientôt rejoindre le monde des vivants.
Je suis Antinoüs, tu écoutes digitalis et en attendant d’autre brèves, j’aimerais te souhaiter une bonne nuit…Même si j’en doute.

#digitalis








©Cecil
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