Messages : 1011
Pouvoir : manipulation
Symbole : pomme.
Occupation : étudiant et casse-couille.
Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
| Jeu 8 Sep 2016 - 2:43 | | joyvalentyne Do you ever really think about the grains? Every little one’s got a million things. Every little bit’s got a billion bits, and that ain’t it, no that ain’t it. And did you know that when you really get close. Nothing really touches, bro, just kind of floats? So when you think it might just come to blows. Just so you know, it won’t, cause it can’t, bro. | avatar ♦ shintaro kisaragi - kagepro. surnom ♦ sad + betelgeuse. âge ♦ dix-huit ans. date de naissance ♦ huit décembre. lieu de naissance ♦ foxglove valley. nationalité ♦ américaine. occupation ♦ lycéen et exécuteur au sein d'euphoria. pouvoir ♦ manipulation. symbole ♦ pomme. Ennuyé, Ennuyeux, Expressif, Arrogant, Altruiste, Dépressif, Passionné, Curieux, Introverti, Amical, Pas très bavard, Mauvais à l'oral, Maladroit, Sarcastique. | Quand le doux ciel sombre de la nuit apparait après le crépuscule, que j’observe chaque soir, derrière la lentille du télescope, Je m’évade. Dans ce monde qui m’a si ennuyé depuis si longtemps, le temps, pour un adolescent est si lent, Et je suis l’adolescent qui ignore, qui s’ignore, Et qui cherche des réponses à des questions. Et qui ne se satisfait pas de son être, Que je me déteste en me regardant dans le miroir de la salle le bain, le matin, pour brosser mes quenottes, le soir, pour me passer de l’eau chaude sur le visage, Et j’aperçois les cernes de la dépression qui tracée si profondément, me donne cette apparence lugubre, C’est fou comme je suis laid.
Mon air neutre habituel n’empêche pas aux proches de me secouer, de me sourire, j’aurais voulu parfois une solitude, pour m’évader autrement que par une passion pour les étoiles, les objets volants non-identifié, la vie ailleurs que sur terre. Pour m’évader avec une lame contre mon poignet. Et parfois j’hésite, parfois, j’arrête. Parfois je me dis que la vie ne m’a pas forcément gâté, moi le timide enfant qui avec une voix coupée et bégayante n’arrive pas à m’exprimer, Moi qui avec des paroles simples à dire n’arrive pas à me faire comprendre. Car je suis, L’ennui incarné. (La réincarnation d’un monstre.)
Je suis capable de calculer rapidement et pourtant, je refuse de faire de l’effort, mon corps est lourd, Je suis rempli d’une apathie si spontanée en moi. Je me recherche sans arrêt, j’ai besoin de bras pour me réconforter, d’amis pour m’appuyer, mon pilier si précieux, si doux, Je veux rattraper mes erreurs, faire le bien et tendre la main, mais d’une douce maladresse, tout part, ça éclate et moi aussi j’éclate, En sanglot, et je laisse la faute toujours tomber sur moi comme si la solution à tout les problèmes est que je dois à tout prix. (Disparaître.) | Né dans la vallée du mystère, Vallée qui donne l’espoir que des chosent inconnues, incroyables existent ailleurs dans l’univers, Vallée qui m’a fait comprendre qu’un souvenir éblouissant dans ma vie pouvait me passionner si intensément à certaines sciences, Presque encore incertaines, encore étrangères malgré de si grandes recherches. Né dans une famille aimante, des parents un peu trop inquiets pour leur enfant. Leur seul et unique et je les ai rien que pour moi. Je les aime même si, toi, maman tu as du nous quitter, j’avais huit petites années. Et j’étais bien plus haut que trois pommes. La maladie a consumé ton corps et te voilà disparue et peut-être qu’un jour je te retrouverai, parce que tu peux être comme moi, Réincarnée.
Et moi oui, je l’ai su depuis mai dernier. Le souffle saccadé, j’ai été repéré par ceux qui effacent, ceux qui traquent sans pitié, et j’ai été sauvé, c’est comme une nouvelle mère pour moi ou peut-être la sœur que je n’ai jamais eu, avec sa chevelure de feu, son regard qui pétille. Sans elle, j’ai cru que j’allais y passer. (J’aurais du y passer.)
Alors, je fais parti des chanceux, mais, Est-ce que ça en vaut réellement la peine ? Quand je sais mon ancienne identité, qu’il flotte parfois entre les quatre murs de ma chambre, le fantôme de mon passé. Lui qui a reçu gratuitement, tellement de blessures difficiles à vivre. Et il est devenu, L’assassin qui l’a tué et qui m’a effondré, lourd, la peine si épuisante, si dure à supporter, A quoi ça sert d’avoir une deuxième chance, si c’est pour souffrir de la première ? (Réflexions faites.)
Il faut agir, en toute douceur et sécurité, ne pas laisser tomber, pardonner, Il faut laisser un peu les choses de côtés, et je retrouve le goût de l’amour et de la passion qui réchauffe mon cœur taillé par des blessures qui rongent mon âme, Qui glace mon corps et toute ma raison. Vous mes amis, mes amours, vous êtes un peu tous là pour faire fondre l’iceberg qui s’est formé en moi, J’ai décidé de tourner la page, Et c’est si difficile, surtout si mon uniquement tentation pour réussir à le faire, C’est de penser sans cesse à la mort, Et de le faire de mes propres mains. Car Il y a une cicatrice fantôme qui me chatouille le cou, une cicatrice qui m’étrangle et qui me hurle. (Égorge-toi vif.) | Le génie né, qui déçoit ses propres parents, car la perfection n’existe pas dans ce monde, Le génie qui chaque jour devait supporter, Coups, gifles, claques et blessures, Hurlements qui résonnent qui rabaissent sans s’arrêter, qui continuent. Et rebelote chaque jour, C’est ce que moi, Je devais endurer, sans me manifester, sans dire un seul, Mot. Et je pensais que la vie c’était ça et que l’amour aussi c’était ça. Que ma vie continuera d’être comme ça. Les larmes infinies ont enfin cessé de couler, Et plus jamais j’ai su pleuré, ni même le jour fatidique où tout à déraper, basculer. Et que mon envie d’offrir de l’amour, a fini par devenir, Cette boucherie sanguinaire, Qui m’a fait regretter d’être vivant encore après eux. Je l’aimais Lia, je l’aimais et elle m’a aimé aussi. Et c’était la folie qui m’a emporté, la douleur était pour moi le plus beau geste d’amour propre. J’étais devenu fou, j’étais devenu le monstre qui t’a tué, Lia, non pas avec un seul coup de couteau, avec, Un, deux, trois, Coups, Dans le cœur. Puis un net et vif contre ma gorge. Le sang s’étale et se mêle. Quelques secondes après, je renais dans un nouveau corps. Je n’en sais absolument rien. | Avatar ♦ dave strider - homestuck. Nom ♦ heisenberg. Prénom ♦ johan. Nationalité ♦ allemande. Occupation ♦ étudiant. Surdoué, Solitaire, Amical, Bizarre, Désintéressé, Malsain, Très bavard, Mauvais, Maladroit, Détruit. | evil triangle, vingt-trois ans, je suis l'admin trash qui n'est pas du tout à l'origine de ses emoticons étranges, promis. je vous fais des bisous au chocolat, à la fraise, à la framboise et à la banane. ♥ |
|
|