Déjà garé, ah… Que le temps passe vite, pense ilan, il n’a pas assez profité des secondes dans la voiture, Il n’a pas assez profité de votre présence à ses côtés, en silence, le parfum délicat qui fait parti de vous il ne l’a pas assez savouré, Il a peur que tout ce passe si rapidement parfois il rêve de figer le temps avec vous mais ce n’est qu’un fantasme parmi tant d’autre, Il a accepté votre invitation, (Mais pas par erreur.) Car il sait qu’il n’a rien à perdre, à tenter sa chance avec vous, vous lui faites perdre ses moyens, sa haine, vous lui faites tourner la tête, c’est tellement différent de d’habitude, cette attraction n’a rien de naturelle, elle est magique, sublime, douce et dans ce manège qui tourne, tourne, Ilan est un peu perdu, Il vous suit lentement, (Il vous suivra jusqu’au bout.) Jusqu’à l’ascenseur, il ne dit rien il est juste calme, un peu tendu mais il ne se l’avouera jamais, parce qu’il est comme ça Ilan, il refoule beaucoup trop de chose, ça fait de lui ce qu’il déteste le plus, ça fait de lui, Un homme. Puis vous dites ce qu’Ilan craignait mais il étouffe un petit rire, les yeux rivés profondément sur les vôtres.
- cela ne me dérange pas, Il m’en faudra beaucoup plus pour m’arrêter.
Ilan est un peu sur son petit nuage, même si personne ne pourrait s’en douter, trop habituer à être fermé, sans expression sincère sur le visage, Vide de plein de choses. Et même si vous avouez que votre compagnon appartient à l’union, il fera mine que cela ne le dérange en rien, Très peu de gens l’apprécie là bas, c’est un éternel habitué et cela l’encouragera certainement plus à continuer ainsi, Vous le savez, qu’il est fourbe même si sa première motivation c’est bien évidement, Vous, Philomène et même, (Uniquement.)
Il se penche vers vous avec délicatesse, Sans hésitation.
- Et n’est-ce pas indiscret d’avoir un prénom ou un nom ? Puis… c’est tout de même dangereux tout cela, pour votre couple, je veux dire par là, Vous tenez à cette personne ou j’imagine que vous aviez un doute ?
Aucunes raisons de se laisser faire, c’est ce qu’il pense, il l’espère toujours, Que l’oiseau se posera éternellement sur les bois du cerf.
hrp:
zizi.
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Jeu 16 Mar 2017 - 22:32
J'écraserai mon corps sous vos repères Comme un tocsin sonne la guerre
cela ne vous dérange pas ; bien sûr que cela ne vous dérange pas ((vous êtes tellement comme moi)) et de toute manière que vous soyez complice ou non, cela sera toujours la femme la salope c'est ainsi une sorte de loi dans la loyauté j'étouffe un sourire car je suis heureuse ; raffermie d'une sorte de fierté d'avoir su atteindre votre coeur d'une manière ou d'une autre une sorte de satisfaction féminine, oui vous vous penchez et demandez un nom que je vous donnerai avec plaisir je n'ai rien à cacher rien à dissimuler et vous avez raison, mais est-ce vraiment un couple je vois plutôt cela comme une doucereuse illusion qu'on caresse dans le sens du poil, elle est si douce après tout on ne veut pas s'en détacher elle est détestablement confortable et je n'ai pas ce frisson, pas celui que je possède avec vous celui qui crie passion et qui fait taire la raison les portes de l'ascenseur s'ouvre et je baisse d'un ton pour ne pas réveiller les voisins cherchant mes clefs dans mes poches eh bien... c'est un peu creux, comme couple. je ne l'aime pas et il le sait ; enfin si mais pas de cette manière. je l'avais prévenu que je lui ferai du mal à force ! je suis une personne franche vous savez, je lui dirai tout sans pour autant dire que c'était avec vous. sourire en coin un peu déplacé un peu malicieux dans cette conversation j'ouvre la porte et puis c'est vous, ma principale source d'intérêt depuis quelques temps. je vous invite à entrer et j'allume la lumière ; on me dit souvent que ça fait vieillot mais j'aime les meubles anciens en bois trop lourd et des fleurs un peu partout c'est kyosuke. un peu plus jeune, grand brun photographe. vous voyez de qui je parle ?
C’est si doux, si apaisant, Votre parfum Philomène, il emporte Ilan dans un voyage sans fin, il aimerait gouter à une parcelle de votre peau, Mais il préfère garder ce plaisir là pour plus tard, Toucher avec le regard, comme pour une œuvre d’art. Mais lui il n’a qu’une seule pupille pour ainsi vous dévorer timidement. Il ne trouve pas que vous êtes une mauvaise fille, au contraire, vous êtes cette femme courageuse, qui sait ce qu’elle veut, Et votre franchise, il la savoure tellement, vous êtes parfaite selon lui et l’amour ne le rend pas aveugle, non, Il l’est déjà presque pour de vrai. Une mine réfléchie mélangée par de la malice, il rit un peu car il trouve cela si audacieux.
- Et cela ne le dérange pas de vivre une telle illusion, Il est fou de vous.
(Comme je le suis aussi.) Lorsqu’il entre dans votre doux foyer, (Votre nid d’oiseau.) Il ne s’étonne pas de cette atmosphère et même si cela peu paraître démodé pour certains, ilan s’y sent presque comme chez lui. Notamment grâce à toutes ces plantes beaucoup présentes, les meubles en bois, ça lui rappelle simplement, (La forêt, son ancien habitat.)
- C’est très charmant chez vous.
Et puis lorsque vous donniez enfin le nom de votre (faux) compagnon, il se fige un instant, trop peu étonné pourtant, Il est d’autant plus satisfait, (Si seulement vous saviez.)
- Ah oui. Je vois bien de qui vous parlez. C’est un peu de sa faute si je suis toujours autant accro à la nicotine. Donc Kyosuke, votre soit-disant petit ami. C’est plutôt curieux.
Ilan n’a absolument pas envie d’en rajouter plus il est un peu ironique sur le coup, La vengeance n’engendre rien de bon et ce n’est pas en s’en servant de vous qu’il compte régler des histoires du passé. Il se retourne, face à vous, se rapproche peu à peu, Le cœur battant, Lui il n’a pas envie de fermer ce pauvre petit rouge gorge dans cette cage en or, Car ilan le sait, il se lassera si rapidement de cette vie.
-Enfin, cela ne va plus durer, je suppose.
hrp:
zizi.
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Lun 20 Mar 2017 - 22:54
J'écraserai mon corps sous vos repères Comme un tocsin sonne la guerre
j'hausse un peu des épaules et je me demande si c'était moi et si c'était vous ; pour votre beau visage est-ce que j'accepterai de vivre dans une illusion constante vous le connaissez un sourcil se hausse mais je n'en demande pas plus une addiction n'est-ce pas qu'est-ce qu'il a pu vous faire lui qui paraît si inoffensif si lui tout sur le cœur je concède que j'ai peut-être, un avis, légèrement biaisé par sa présence familière qui ne m'hante pas non qui m'apaise comme une mélodie constante et monotone un rien qui oui qui nous fait somnoler avec un peu de plaisir vous vous rapprochez et je me mordille un peu joueuse la lèvre inférieure et vous prenez la peine d'ajouter alors c'est à mon tour en haussant deux sourcils ma foi fort suggestifs n'est-ce pas non, car il y'a vous. laissons ces problèmes d'adultes de côté ! je retire les deux écharpes excessivement lentement le manteau aussi dans le même mouvement lascif sans cesser de vous fixer comme comme une provocation sans fin qui j'espère saisi votre attention votre tout je laisse le besoin dépasser la raison ; pas besoin qu'ils se battent non j'ai juste besoin de vous encore et encore alors je tente de retirer votre manteau d'un geste calme bien que nerveux un peu tremblant de vous le retirer avec langueur et de le jeter sur le fauteuil avec le reste des vêtements et puis voilà ; abandonnons les problèmes d'adultes pour s'adonner à des jeux de grands d'enfants de grandes personnes mes bras qui entourent votre cou et mon nez qui vient choir dans votre nuque, mes lèvres qui se baladent sans gêne dans une trace invisible quoique peut-être un peu marquée par le gloss
ce n'est plus si difficile, avec vous, de se laisser aller, laisser tomber, oublier un peu tout, l'angoisse de chaque journée, la peur d'être sans arrêt, observé, jugé, pour un simple mode de vie, de penser, pour un œil en moins, un sourire un peu trop forcé. ilan se retrouve libéré maintenant, il n'a plus besoin de s'inquiéter, et comme vous le dîtes si bien avec ses risettes ludiques dans vous pupilles, il en est enchanté ilan, vous êtes un peu une magicienne à ses yeux vous l'avez si facilement charmé, ensorcelé parce que dans le fond peut-être que vous êtes cette espiègle sorcière, bien-aimée.
- oui, oublions tout pour ce soir...
absolument tout, (sauf vous.) il vous voit défaire ces couches de tissues maintenant sans aucune importance, si docilement, il vous laisse faire, le sourire d’un renard en coin des lèvres, (n'était-il pas un sage cerf ?) les gestes lents, doux, donnent un coup sur son éternel patience, ilan n'en peut plus, il va s’enflammer, il aimerait tant vous embrasser, sans dire un mot, après tout pas besoin de mots pour dire, vous savez. dans son cœur il est un peu timide parfois, il a un peu peur d'aller trop vite et de ressembler à tous les autres hommes. ilan brûle, il reste fermé, figé le temps que vous fassiez ce premier pas, intensément, avec toujours la tendresse de vos gestes, mais ilan désire tellement plus, il a si hâte de goûter à votre bouche, qu'il se précipite un peu trop, maladroitement, les lèvres qui cherchent les vôtres, puis désormais liés, son cœur s'emballe, explose dans une image étrange, chimérique, mélangeant l'odeur du bois d'acajou et des roses sauvages, peut-être le parfum d'un sentiment bien connue, qui évolue. toute la chaleur fait, chavirer son âme, il se sent léger et à la fois oppressé par des tels sensations, retenant ainsi de douces et vives couleurs dans son esprit, peut-être celles de l'amour qui nait. ses mains parcourt le doux tissu en coton de votre chemisette, ses doigts s'empresse sur les boutons, un peu tremblants, un peu trop impatient, il les défait un à un, les lèvres encore collées avec passion sur les vôtres. restant cette fois plut délicat, il entoure de ses bras, votre taille, les mains qui parcourent, hésitant encore, vos courbes, il veut la sentir la toucher, votre chair. la gouter avec fermeté, mais ilan se perd, dans cet incontrôlable élan de plaisir, après qu'il ait retrouvé la raison, il s'assagit doucement pour savourer la fin, et la magie, de ce baiser.
hrp:
zizi dur d'ilan.
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Jeu 6 Avr 2017 - 23:32
J'écraserai mon corps sous vos repères Comme un tocsin sonne la guerre
je n'ai pas besoin de grandes déclarations d'amour que vous déclamiez des sonnets ou la plus belle des mélodies ressentez pour moi vivez même si c'est éphémère (ce que je doute mais l'amour me rend idiote) même si les malheurs nous frappent encore et encore on s'en fout on est là tout va bien vos mains se baladent et je les laisse faire je les laisse me dénuder et je ne coupe pas le contact de votre bouche contre la mienne ces bouches qui se cherchent un peu joueuses sans (aucun) doute un sourire gagne mes lèvres et vos doigts contre ma peau me font frémir les regards se croisent le mien pour sûr chargé de désir je me recule un peu vous guide dans un silence haletant jusqu'à la chambre j'ouvre la porte connaissant par coeur où se trouve le lit (j'y suis tant de fois tombée de fatigue) vous guidant jusqu'à ce dernier vais pour vous faire choir dessus avec moi entreprenant à l'aveugle à mon tour l'ouverture de chemise à califourchon et quand j'y arrive seulement quand j'y arrive je fais descendre mon visage embrasse la peau de votre torse la goûte à nouveau il n'y'a pas besoin de mots et vais pour dégager complètement le tissu encombrant
tout va si vite, si frénétique et tendre dans les gestes, philomène vous l’amener dans votre nid secret, là où le petit oiseau libre, dépose quelques brindilles, et s'endort paisiblement, sans un bruit. les pas un peu maladroit d'ilan, il fait attention de ne pas vous faire tomber, prend soin de ne pas, vous abîmer. il succombe à vos côtés, le corps évanouit contre le lit, un frisson dangereusement agréable, parcourt d’entièrement de sa peau que vous ayez minutieusement dévêtu, que vous dégustez avec délicatesse. ilan se mord la lèvre inférieure, les yeux clos et ses mains s'aventurent contre votre chevelure de feu, il défait d'un seul doigt l’élastique qui la tenait prisonnière et soupire au touché de ses quelques mèches contre sa chair nue, son âme est bercée par toutes vos caresses, un sourire dessiné tendrement sur ses lèvres, il vous regarde, te fixe, avec cette profondeur, (d'amoureux transi.) il ne veut pas te voir s'envoler à nouveau, avec les ailes brisées, tu es merveilleuse, radieuse, une lumière qui rajoute de la chaleur à ses pensées grisées. il n'a pas besoin de mot pour te l'avouer et colle directement sa bouche contre ton front, ses doigts qui frôlent ta hanche un instant, se baladent encore, plus haut, plus bas. et d'un murmure, il prononce lentement ton prénom. (p h i l o m è n e.) comme pour avoir une réponse de ta part, une autorisation et même s'il n'en a pas besoin, il veut simplement s'assurer que tout va bien.
hrp:
zizi ohlalalallalalla.
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Mer 3 Mai 2017 - 23:39
J'écraserai mon corps sous vos repères Comme un tocsin sonne la guerre
les cheveux cascadent et je les agite pour les faire retomber correctement mon prénom dans votre bouche me donne le droit d’accéder à l’ivresse folle ça enclenche la machine et je ne me retiens vous embarque dans cette drôle de valse (d’amour) cette drôle de danse (de sexe) qui dure seulement quelques instants j’ai l’impression alors que c’est bien plus long je ne vois pas le temps passer avec vous, sur l’oreiller je reprends mon souffle c’était tellement plus que que que juste du sexe tellement plus que deux adultes qui s’amusent et j’espère que vous le ressentez de la même manière que je ne suis pas la folle dans l’histoire enfin c’était tout de même fou de faire ça tout en étant avec sick mais pas le temps au regret demain je lui dirai coûte que coûte remonte la couverture sur nos corps dénudés et d’un autre côté ça se passe pas comme j’avais prévu j’ai tellement peur d’avoir raté quelque chose ce quelque chose qui permettrait d’aboutir sur des moments futurs communs je vous regarde encore toute chamboulée un sourire omniprésent dans la pénombre de ma chambre ilan. comprenez que je souhaiterai plus que tout ça mais je présume- que chaque chose en son temps. mais après tout ne nous sommes donc pas des ermites des cas à part qui ne respectent pas les codes sociaux ((c’est ma doctrine)) vivre comme je le sens sans me soucier de cette fichue société dictate
+ tag ilan + notes zizi censuré comme dans un mauvais porno :///
sauvage, cette flamboyante danse, ce boléro d'un autre temps, où des échanges de baisers, de caresses en tout genre, de rythmes, de souffles, parfois bruyants parfois délicieux. c'est bien plus qu'un rapport, entre deux corps. c'est bien plus beau, bien plus explosif, ilan le sait, que c'est bien meilleur qu'une première fois, qu'on a simplement envie d'effacer, ilan te dévore, profite encore, et encore. ilan te savoure et l'aiguille avance sans se faire remarquer, c'était long pas trop précipité, pas trop lent, juste parfait, pas un simple partage au creux d'un lit, c'est le début d'une histoire, (romantiquement compliquée.) peu importe avec qui tu es, philomène tu es celle, que le rend confus, quand il te voit, ilan a le cœur qui s'élance, qui devient léger. puis quand tout cela est terminé, son visage se dissimule sur la courbe de ton cou, pour y déposer ses lèvres, sentir ce parfum là, qu'il reconnaît si bien.
- alors revenez car... je vous aime. ce n'est pas je pense ou je crois bien, non, soyons franc...
soyons moins enfants, cacher les sentiments ce n'est pas une bonne chose et même s'il le sait, qu'il n'était pas censé, savoir aimer, il faut surtout s'inquiéter de comment tout cela pourrait évoluer, avec l'homme le plus incompris du monde. un souffle contre ta peau, un murmure à ton oreille.
- je t'aime philomène, et je veux de tout cela. alors je serais sage et patient.
hrp:
zizi panpan censuré olala.
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Lun 22 Mai 2017 - 23:11
J'écraserai mon corps sous vos repères Comme un tocsin sonne la guerre
place aux adultes place aux adultes qui se disent les choses aussi simplement qu’elles sont qui laissent les faux-semblants de côté et embrassent la vie sans retenue oh qu’on va devenir fort à ce jeu ilan si on continue sur cette lancée tes je t’aime me font délicieusement frémir et un sourire te nargue doucement tandis que je te garde tout près de moi près du coeur nous ne sommes des incompris c’est forcément pour ça que ça marche on se tait pour mieux rugir n’est-ce pas ilan on se comprend si bien je t’aime aussi, ilan. car je n’ai plus peur car l’entendre de ta bouche m’a permis de dégager ses peurs d’adolescente celles qui me disaient ((tu vas te faire recaler philo bouuuuuh)) et pour toi ilan pour toi j’abandonnerais tout je laisserais tout tomber pour ce nous que je cherche depuis si longtemps désolée kyosuke ((merci pour ton amour)) désolée jean ((merci pour les moments sous les draps)) désolée kye ((merci pour ta compréhensivité)) je viens me lover contre vous et pour l’instant clôturons ce moment trop beau pour être beau par un bonne nuit ilan.
+ tag ilan + notes zizi sentimental< (je crois que c la fin mdr)/div>
vous deux nus, l'un à côté de l'autre, c'est un beau tableau, ilan l'a peint dans sa mémoire, parce que avec toi philomène, c'est bien plus que des souvenirs, et bien plus que de simples désirs. la franchise et l'honnêteté sont bien là et c'est si merveilleux tout cela, aucun de vous ne tourne en rond, autour du pot, vous allez droit, vous marchez sur ce chemin là, qui semble être le bon, la route d'un amour un peu trop agité comme des enfants, un peu trop sincère comme des adultes, ilan le sait, qu'il est bien à tes côtés, il ne pense plus à jouer un rôle tu sais il est si doué avec des sourires en coin, pour éviter d'être trop ferme avec les plus malins, oh mais rappelle-toi, petit rouge gorge, c'est bien comme cela, qu'il t'a sauvé des griffes, d'un méchant loup. maintenant que l'oiseau est prêt à s'endormir contre le bois de ce majestueux cerf, des choses sérieuses vont se passer à votre rythme, surtout au sien, il est si confus qu'il entend tes trois mots qui fait palpiter son cœur, tellement que sur ses lippes trop crispées d'habitude, se forment ce doux sourire et peut-être un peu trop pour toi, parce qu'il traduit tout simplement, qu'il est amoureux. alors il ferme les yeux tout contre toi avant de te souhaiter une douce nuit, une paisible nuit et de beaux rêves, c'est important, surtout lorsque vous êtes bercez ensemble, par vos battements de cœur, votre respiration, parce que vous vivez et vous profitez, de chaque instant.