g supprimé ce post sans faire exprès.........................................................................
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Mar 14 Fév 2017 - 17:02
Grace & Kye
Tes désirs sont désordres.
Kye parle en #330066
HRP: J'ai ri au jeu de mots lmao t'es nulle je te jure. J'ai déjà tellement mal au coeur et je suis une dramaqueen quand j'écris un truc alors c'est drama puissance 100000000. DSL si c'est cringy mais t'écris tellement bien que j'essaye de me mettre à ton niveau m'en veux pas stp jtm.
Pour l'anniversaire de Molly, il avait fait des efforts; il avait fait le ménage complet lui-même (et Dieu sait que ce n'était pas dans ses habitudes) il avait décoré le tout d'une jolie décoration bien kitch que Molly adorait tout particulièrement, et il avait même fait des Khaonom mokeng. (une appellation compliqué pour des flans au coco délicieux venant du Laos) Mais malgré ça, elle avait toujours quelque chose à lui reprocher, et ça avait le don de l'agacer. L'agacer terriblement. Parce que même en faisant les plus grands efforts du monde, ça finissait toujours en vain.
-"Toujours aussi agréable dis-moi. C'est fou ce que tu m'as manqué." il lâcha, le ton sarcastique alors qu'il reprit une gorgée d'un grand cru de son whisky préféré du moment. Tout droit venu du Japon, 8 ans d'âge, au goût boiser et un peu amer. Un délice. Si seulement le fond sonore n'était pas gâché par sa terrible voix. Pas que son timbre était désagréable mais son ton et le poison qui pouvaient se déverser d'une si belle bouche qu'il avait adoré embrasser (fût un temps qu'il regrettait) lui donnait la nausée. Il reposa son verre et vint se masser les tempes en fermant les yeux, l'alcool lui brûlant encore la gorge. Pourquoi fait-elle qu'elle ait autant changé?Surtout pour devenir cette peste qu'il détestait tant.
"Oh Kye, si tu étais courageux, tu l'aurais attrapé par sa petite mâchoire de salope et d'un baiser, effacé ses souvenirs. Et en deux deux elle redevient celle que t'as toujours aimé. Ça te changera que de bander seul en pensant à elle."
La ferme.
Cette petite voix dans sa tête. Il la détestait. Penser de telles choses...il se le refusait et pourtant, il devait bien avouer que ça le tentait terriblement. Mais il était trop tard, tout le monde savait qu'ils s'étaient séparés qu'elle n'en avait bien rien à faire de lui et qu'elle était devenue une grande actrice avec un long avenir; mais plus que tout ça, une chose l'empêchait d'utiliser son pouvoir sur elle.
Il l'aimait. Malgré tout, il continuait d'aimer la Grace dont il était tombé éperdument amoureux il y a des années de ça. La Grace à qui il avait donné ses plus tendres baisers, qu'il avait chéri et câliné des heures durant, à qui il avait fait l'amour sans concession, celle à qui il avait accepté de créer la vie...Oh non. Cette Grace là avait disparu longtemps et il devait l'oublier. (son psy ne cessait de le lui répéter.)
Un soupir et il s'était mis à reparler, tout à fait calme et diplomate. "Je comprends ton point de vue Grace, mais je pense pas non plus que fumer dans le même appartement que notre fille soit une bonne idée. C'est pas parce que toi tu as envie de t'enfumer les poumons que notre fille doit aussi subir le même sort. Et pour ce qui est de la tenue; elle n'a pas cessé de me la demander. Ce n'est pas parce qu'elle est passionnée par un métier tout à fait respectable et plein de bon sens qu'elle va devenir une souillon, au contraire. C'est en la bridant comme tu le fais qu'elle va vouloir tester les limites quand elle en aurait l'occasion. Laisse-la respirer Grace. Tu ne peux pas toujours tout contrôler, surtout pas les humains."
Pourquoi lui avait-il dit ça déjà? Il s'adressait certainement à la bête la plus têtue de cette Terre.
ton sarcasme ne me fait plus rien et je sais qu'il est présent pour combler ton amertume oh tu poses un verre où il reste un fond et je te fixe impitoyable attendant cette réponse que tu dois en train de faire éclore dans ton esprit ; une fleur venimeuse en espérant que je m'y pique pour que je retombe dans tes bras ((n'est-ce pas)) un léger soupir qui me décroche un petit sourire et tu parles et tu effaces bien vite ma satisfaction je vais te faire regretter ton ton calme qui sonne affreusement condescendant à mes oreilles je vais te faire regretter ton audace de me contredire, te faire souffrir jusqu'au dernier moment et te retourner chacune des horreurs alors je passe devant toi en silence ; je t'effleure (non tu ne me toucheras pas) je prends ton verre avec un regard suggestif ; je pose mes lèvres et je bois l'alcool (non tu n'y goûteras plus) souffre de ce baiser indirect je prends mon iphone posé et je vais m'installer sans un mot dans le fauteuil, en biais et les jambes pendantes dans le vide je pianote et je parle prépare-toi mon a m o u r ((car tu ne fais plus parti de ceux que je me dois de protéger)) et peut-être qu'il y'a là un morceau de grace l'avocate, celle sans pitié qui écrasait les remords jusqu'à les tuer pour ne plus les entendre gémir sous sa semelle (dommage, elle n'est plus à toi celle-ci) ou alors juste un peu cette remarque est inutile, car je sais que tu vas aérer ensuite de toute manière. je me trompe ? et puis, autant qu'elle s'habitue. tout le monde n'aura pas la délicatesse de sortir pour fumer une clope. je relève mes yeux vers toi un sourire que je veux innocent gravé sur mon minois (tu sais celui que tu as laissé partir) je ne veux juste pas qu'elle fréquente les animaux qui te servent de collègues, surtout s'ils sont tous comme toi... je trouve ça tout de même amusant, que tu me reproches de vouloir contrôler les humains surtout que ce n'est pas une personne lambda kye, c'est ma fille. je relève mon téléphone en l'agitant en élargissant mon sourire demandons à mes milliers d'abonnés, dont pas mal de foxglove valley si pour eux c'est plus grave et davantage du contrôle d'individus d'avoir peur pour sa fille et refuser qu'elle devienne policière ou être chef de police et hellébore d'une ville - foxglove valley il ne faut pas oublier de préciser - donc sous-entendre qu'il efface des souvenirs d'innocents contre son gré. tu en penses quoi, kye ? je suis per-sua-dée qu'ils seraient ravis de donner leur avis !
coded by blair of shine & ooc
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Dim 26 Fév 2017 - 3:45
Grace & Kye
Tes désirs sont désordres.
Kye parle en #330066
HRP: Je te déteste pour avoir effacé le premier message mdr et voilà ton caprice tu l'as ta rep :'( je suis trop ton esclave jpp
Il ne sait pas vraiment pourquoi mais il a toujours su garder son calme. Oh oui un calme olympien même. Malgré ses remarques de vipère, son ton brûlant de haine, et ses yeux mesquins. C'est grâce aux images du passé, où elle avait été si douce avec lui qu'il lui donnait encore la force d'effacer cette image du présent, de la Marilyn moderne et insupportable.
Mais pour une raison qu'il ignorait...ça avait été la goutte de trop. Enfin de compte, il ne l'ignorait pas. Non, il savait exactement ce qui l'avait mis en rogne. Ce qui avait fait monté en lui cette puissante vague d'adrénaline, ce qui avait fait soulevé son coeur et plus encore ce qui avait déclenché ce regard noir, effrayant qu'il n'avait jamais l'habitude d'afficher, surtout pas pour Grace.
Mais là, ça en était trop. Il voulait lui faire du mal. Comme elle venait de le faire. Comme elle venait de lui déchirer le cœur. Le lui transpercer sans aucune rancune.
Et il allait la pourrir tout autant qu'elle venait de le menacer.
Brutalement. Non sauvagement, tel un animal affamé, un chien ayant la rage, il se jeta hors de son canapé, laissant son verre s'exploser en un dangereux fracas. Une seconde de répit alors que les yeux de Kye brulaient de haine. Ses mains agrippèrent son aimée à la gorge alors que leur visage se touchait presque. L'un pouvait désormais sentir le souffle de l'autre et le brun était étrangement haletant.
D'une voix grave, trop grave pour être celle de l'adorable policier plein de volonté, ses yeux se mirent à devenir blancs, luminescents, signe qu'il était prêt à utiliser ses pouvoirs:
-"Grace. Essaye juste de faire ça et je te jure que je te pourrirai la vie plus que tu ne sauras jamais le faire. Tu joues les dures, mais au fond tu n'es rien. Tu es inoffensive Grace. Pourquoi tu es toujours obligée de chercher les limites des gens hein...?Tu es folle Grace. Tu as perdu la tête. Oh mais ne t'en fais pas. Je vais te faire oublier ta Marilyn et plus encore. Parce que c'est ce que j'aurais dû faire depuis le début hein? Tu vois Grace, tu vois ce que ça fait de pousser les gens à bout? Ca te fait plaisir? Voila ce que tu gagnes. Ce que tu mérites depuis le début et c'est pas ton joli minois qui va te sauver cette fois-ci oh non...tu vas voir Grace. Tu vas payer. Et tu me remercieras."
Qui des deux fous sera la fin de l'autre? La suite dans le prochaine épisode.
cela faisait longtemps que je n'avais pas entendu le bruit du verre qui brise entre nous et avant, c'était moi qui les éclatais au sol et toi tu restais calme toujours tout le temps (et je crois que les rôles s'échangent) car ça me fait sursauter, car j'écarquille un peu les yeux et les tiens oh, je ne les avais jamais vu brisés ainsi cassés dans leur haine, dans leur dégoût et je sais très bien très bien que tout ça ça m'est adressé et je crois que la peine se mêle à la peur ((je suis sûre que marilyn n'avait jamais peur)) et pourtant je crois que grace reprend le dessus c'est difficile je sais pas vraiment si je joue un rôle si elle est moi ou je suis elle dans ce genre de situation et un hoquet m'échappe quand ta main se cale là où avant tu déposais tes lèvres il y'a des années auparavant est-ce que je suis devenue elle, par ta faute où es-tu devenu lui, par la mienne tout est trouble et je ne vois plus clair nos souffles s'entremêlent et il n'y'a rien d'amoureux ; rien d'admirable non rien de tout ça juste le retour à l'état sauvage et les sentiments trop forts trop puissants qui font pulser nos cœurs tu halètes et je ne t'ai jamais vu comme ça non tu as toujours été correct avec moi même quand j'étais la pire même quand je tentais de te faire regretter regretter d'avoir voulu changer le cours du destin en me demandant d'effacer mes souvenirs quand tu l'as fait je suis effrayée car je ne connaissais pas ça de toi car je n'ai pas pu prévoir car je ne sais pas comment réagir et je crois que je suis devenue pâle ta voix change et tes pupilles aussi t'es dans un état second est-ce que tu veux vraiment me faire du mal kye tu commences à parler et ma respiration aussi s'agite car il y'a une intensité que je n'aurai pas deviné une férocité qui te va bien au fond mais qui n'aurait jamais eu lieu d'être si elle n'avait pas été moi je lâche le téléphone sur le fauteuil et tremble d'un tas d'émotions à cause de tout ça je tu m'aimes trop pour faire ça kye. c'est bas et presque provocateur mais je reprends en hurlant moi aussi je perds mon calme et je pense que que je vais réveiller molly la décevoir peut-être aussi car oui tout n'est pas rose entre papa et maman j'essaye pas de te mettre à bout, j'essaye de te faire comprendre que y'a personne pour dicter mes gestes et l'éducation de ma fille bordel ! rentre-toi dans la tête que je suis grace, et que je resterai comme ça. j'ai changé mais c'est de ta faute si je me comporte comme une pute avec toi, si tu avais accepté marilyn on en serait pas là. ma main se pose sur la tienne et ce contact suffit à te faire tomber ; car l'interruption des souvenirs ça passe par l'évanouissement même quelques minutes le temps de me mettre quelque part de respirer à nouveau ce n'est pas mon genre de fuir non mais là j'ai juste juste besoin d'un temps alors je pense que vu la rapidité du contact je serai tranquille pour une deux minutes (le temps de fuir) je m'éloigne à grands pas et je rentre dans la chambre de ma de notre fille je ne referme pas et je vois son visage inquiet grâce à la veilleuse ((un enfant met du temps à s'endormir)) et c'est seulement là où je m'en veux d'avoir crié je viens m'asseoir sur son lit et je la prends sur mes genoux je l'assis à califourchon et je la berce sans doute plus pour me rassurer que pour la rassurer elle je ferme les yeux un moment et je redoute le moment où je te verrai apparaître dans l'encadrement de la porte
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Lun 27 Fév 2017 - 20:31
Grace & Kye
Tes désirs sont désordres.
Kye parle en #330066
HRP: ....j'ai fait une bêtise mais je contrôle pas mon perso je te jure je-
Il était allé trop loin, il le savait. Et Grace aussi. Et alors que cette réalisation était soudainement tombée, aussi beau le sort soit-il, il tomba à genoux, sonné par le pouvoir de sa bien-aimée. Il ne saurait dire combien de minutes était-il resté comme ça, l'esprit ailleurs, mais quand il se réveilla, des larmes coulaient sur ses joues et elle s'en était allée. Ou pas exactement. Il se concentra et put l'entendre dans la chambre de la petite. Seulement, il n'eut pas le courage, pas tout de suite de faire quoique ce soit. C'est son chien, presque inquiet qui vient pousser son visage de son museau en couinant. Il avait l'air tout aussi terrifié que lui et c'est d'une tendre caresse entre les deux oreilles qui le rassura, séchant ses larmes du revers de sa manche. Lui-même ne savait pas ce qui l'avait fait pleurer pendant son malaise et pas qu'il ne veuille savoir non plus, il en garda un silence de mort. Même son propre souffle semblait inexistant.
Alors fier, droit et fort, il se releva, comme si rien de tout ça n'était arrivé. Calmement, il ramassa les débris de verre à la pelle, les yeux livides de toute émotion, de toute vie, de tout....individu. Kye, l'espace d'un instant, n'était plus. Il n'était plus qu'un fantôme, un corps sans âme, qui s’exécutait par automatisme. Ses pas sonnaient creux sur le par terre. Soudainement, il faisait froid, sec ou peut-être avait-il été toujours ainsi?La joie et l'innocence s'étaient envolées avec leur hypocrisie habituelle pour laisser place à un climat de mort, le cœur brisé, le corps gelé par la peur et le doute. Et dans tout ça, tout ce vide, pourtant rempli d'une tristesse immorale, il y avait des pleurs. Ceux de Kye. Des larmes, lourdes de peine et pourtant si silencieuses. Il avait le cœur meurtri, il saignait, il hurlait intérieurement et pourtant rien ne sortait.
Il n'avait plus les mots pour expliquer, plus la force de réfléchir et le tout lui donnait une migraine incroyable. Mais tout ça n'était rien car c'est son cœur qui en souffrait le plus. Un cœur ouvert par la blessure qu'avait été leur séparation. Il avait toujours tenté de la cacher, de la panser.
Ô Kye tu es si fort mais aucun homme ne peut résister à un chagrin d'amour.
Pendant des minutes entières, des larmes partaient se cacher dans les conduits, le visage au dessus du lavabo. Et soudainement, il n'en eut plus que faire. Son esprit se mit dans une bulle, autre part que celui habituel. Il jeta de l'eau à son visage, ses yeux s'écarquillèrent et il courut jusqu'à la chambre de leur princesse pour ouvrir cette porte qui les séparaient. De ses yeux d'un noir profond, l'air perdu, il la fixait, il n'était plus l'homme qu'il osait si souvent mimer. Il était le jeune homme qui regardait amoureusement à l'entrée de la porte pour apercevoir ne serait-ce que quelques secondes la femme de sa vie. Et le voilà, dans la même situation à l'entrée de la porte, son regard plongé dans le sien.
Il n'avait plus rien à perdre alors d'un simple trop puissant, trop bruyant, trop fort, il s'élança:
"Je t'aime."
Il est fou. Oui fou d'elle. Mais il n'en peut plus.
nos yeux se croisent et je m'attends à y lire tout sauf ça la déception, la colère, l'indifférence et pourtant c'est l'amour qui fait frémir tes pupilles et j'ai ce morceau de cœur qui se pince, mes bras qui se renferment autour de notre tout ensomeillé ((c'est sans doute là le souci)) la passion ne s'est pas complètement éteinte dans les cendres oh non tu sais kye il suffit parfois d'une braise et d'un choc pour tout raviver ; pour sentir le feu lécher langoureusement nos pieds nos jambes et ronger tout notre corps pour accéder au cœur pourquoi tu anéantis tous mes efforts en trois mots, kye pourquoi tu arraches la page contre laquelle je m'acharne depuis notre rupture mon départ et la tête de ma de notre gamine repose sur ma poitrine qui saute et qui menace d'exploser à chaque seconde c'est en la voyant, que je me dis que nous n'avons pas été qu'une erreur je ne réponds pas tout de suite, je repose la trace de notre existence au pluriel en-dessous de sa couette et ferme les yeux chamboulée toujours encore plus et pourtant voilà, j'ai une partie de moi qui te réclame qui a besoin de se nourrir de se rassasier de tout ce que tu portes en trois putains de mots et je crois que c'est un peu abandonner ma fierté de me rapprocher de toi de me confronter et de rejeter une oeillade sur le corps reposé paisible et je ne me remets pas bien de ce revirement de cette haine aussitôt métamorphosée en manque (c'est ce kye que j'aime) au fond on s'aime plus on s'accroche aux illusions du passé toi à l'avocate la jeune mère l'étudiante qui te faisait languir moi à celui qui venait m'offrir des fleurs qui s'est acharné pendant un an sans rechigner à mes caprices à celui qui s'arrêtait en plein milieu du salon pour m'observer travailler sur mon ordinateur portable celui que je faisais semblant de ne pas voir je retenais un sourire en coin que tu devais quand même deviner et là il n'est pas question de retrouver ceux qu'on était mais d'effacer nos différences ouais juste pour que je puisse goûter à nouveau à ce corps contre lequel je me lovais sans réfléchir avant pas de place à l'indécence avec notre fille non je te pousse un peu pour pouvoir refermer la porte et je me retourne vers toi avec tout mon sérieux toute ma conviction (qui s'échappe de ma voix) elle est là la grace fragile la grace que je cache mais que tu connais trop trop à mon goût alors juste pour ce soir.
coded by blair of shine & ooc
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Mer 1 Mar 2017 - 1:26
Grace & Kye
Tes désirs sont désordres.
Kye parle en #330066
HRP: J'ai pas eu le courage j'espère que c'est assez imagé et à la fois tu comprends-
Sa voix résonnait presque dans la tête de Kye comme une affreuse mélodie qui l'enivrait encore et encore...Sa voix, son regard, son corps étaient une véritable drogue et il n'était plus d'humeur à retenir ses coups. Et il n'avait qu'une nuit pour l'avoir, ne serait-ce qu'une dernière fois, ses lèvres liées aux siennes, la passion ravivée l'espace d'une nuit glacée et leurs deux corps réchauffés par la chaleur de l'autre. Il en frissonnait, il en crevait, comme un drogué en manque, la moindre caresse est un supplice et à la fois la plus douce de toutes les brûlures qu'elle ne lui ait jamais fait. Ses lèvres restent paralysées devant sa beauté mais avaient-ils vraiment encore besoin de mots alors que leur langage corporel en disant long. (peut-être trop?)
Ils étaient faibles. Deux figures, d'habitude fiers, droits, plein de talent. L'un face à l'autre, ils étaient nus, sans défense, comme deux enfants. Oui des enfants, voilà ce qu'ils étaient. Et plus d'un savait qu'entre eux, les gosses n'étaient pas des anges.
Ses mains autour d'elle, puis ses bras, il se jouait de son corps en de tendres caresses. Le manque se faisait ressentir, alors que ses curieux doigts vinrent apprécier la douceur de ses joues. Possessif, comme pour s'assurer qu'elle n'allait pas s'enfuir, il bloqua son visage entre ses deux mains, la fixant de ses beaux yeux, doux qu'il avait tant orné pour la charmer et la coinça contre le mur. Comme dans une belle prison dorée, elle y était enfermée, la belle princesse qui ne sort jamais de sa tour. Il était fou, fou d'elle. Elle le rendait fou. Mais il n'y pensait plus. Il voulait simplement s'unir, en profiter et compenser tout l'amour qu'il avait à donner.
"Je t'aime." Une deuxième fois. Comme pour remuer. "Je hais la façon dont je t'aime." il avait envie de lui hurler au visage mais il le garda en vérité pour lui. À la place, il se penche sur elle, et s'emporte à une danse passionné qu'est leur baiser, un véritable tango à la fois si doux mais rempli de cet amour malsain, possessif, toxique.
Et il ne contentait pas s'arrêter là. Ses mains, gourmandes de chair fraiche descendirent sur le corps de la toute belle, sur ses plus belles et généreuses courbes. Mais cela ne dura que quelques secondes alors qu'il l'attrapa par les cuisses pour la porter contre lui. C'est haletant, le souffle étant le seul compagnon de leur silence qu'il l'emmena dans sa chambre, puis dans son lit, sans plus de sermons.
Plus rien n'avait d'importance. C'était eux et seulement eux et le monde et ses conventions pouvaient bien se faire foutre, même le destin était impuissant face à eux. Car ils ne s'adonnaient plus à une danse endiablée mais à une véritable cérémonie, une union pleine de douleur et d'amour instable. Il était à elle et elle à lui et qu'importe du reste. La température était beaucoup trop brûlante pour deux pauvres corps humides et tremblants, alors que ceux les draps restaient blancs, purs comme l'avait été leur amour autre fois.
Mais la musique provoquée par leur amour d'une nuit (folie plutôt), comme toutes musiques avaient une fin. Aussi doux que tout cela avait commencé, tout se termina par un tendre baiser et Kye, descella leur union si spéciale pour s'allonger à ses côtés, apprécier la sensation de son coeur panser et entoura le corps nu de sa dulcinée de ses puissants bras, le regard si faible, sans défense. Si mortel.
Il était aux anges, mais il le savait, la chute au petit matin ne serait que plus cruelle et violente. Mais pour l'instant, il n'y pensait pas, c'était juste elle et lui, comme au bon vieux temps.
j'ai dit juste pour ce soir et tu honores ta parole ; on se dit tout ce qu'on a gardé pour nous en trois ans c'est un peu comme un art déchaîné passionnel infinement entraînant tout va si v i t e tu contemples et tes doigts me laissent une chaleur qui t'appartient et ça ne me dérange pas d'être ta prisonnière si c'est pour ce genre de choses qu'on promet éphémères si c'est pour sentir tes mains se balader quand les miennes ne sachent pas quoi faire, ne sont plus habituées à être faites d'audace et d'ardeur au final tu ne me laisses pas douter car ta bouche vient chercher la mienne et je crois qie ça me me dérangerait pas d'arrêter de respirer de rester en apnée si ce baiser durait encore et encore tout va si v i t e quand tu saisis mes jambes et que je m'accroche que je m'ancre que je m'enroule, que j'en profite pour parcourir ton cou de mes lèvres pour goûter un peu à la saveur de ta peau et tu me montres ton empire bâti grâce à la tendresse et à la passion et quel bonheur de retrouver un lit à nous deux ((juste pour cette nuit)) c'est pas trop rapide c'est pas trop long, ça a le goût du passé mais celui qui est tout sucré qui fond qui crépite sur la langue et voilà je suis logée dans tes bras les jambes entremêlées et ma tête contre toi j'ai tant à dire et tant à taire ; tout à exprimer mais rien à prononcer c'est étrange comme sensation tu sais tes bras m'entourent et je tente de cacher mon sourire apaisé et je suis bien c'est comme rentrer à la maison c'est quelque chose qu'on oublie pas qu'on connaît et qui réconforte je crois que je suis sur le point de m'endormir alors je murmure car cette nuit nous appartient et jamais je ne considérerais que c'est une grossière erreur promis je ne me servirai jamais de ce moment pour te faire du mal kye, tu as ma parole. et tu sais que je tiens toujours mes paroles je sombre et il me faut huit heures pour entendre les échos de la télé que notre princesse a allumé j'avais oublié que pour elle papa maman ça sera plus papa et maman ça sera toujours séparément et ça m'angoisse un peu je prends une grande inspiration et on n'a pas vraiment bouger on est encore l'un contre l'autre je tapote un peu ton torse car j'ai vraiment une question un peu conne un peu incertaine mais tellement importante hé kye. tu penses qu'un enfant de cinq ans - enfin molly - elle va penser quoi si elle voit que je suis encore là et que je sors de la chambre de son papa ? tu penses pas qu'elle va s'imaginer des trucs ? oui c'est réellement ma première préoccupation bonjour aussi.
coded by blair of shine & ooc
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Ven 10 Mar 2017 - 2:10
Grace & Kye
Tes désirs sont désordres.
Kye parle en #330066
HRP: Tu entends ce son?C'est mon coeur qui se brise.
La nuit avait été paisible, oui, ça faisait même si longtemps qu'il n'avait pas aussi bien dormi, leurs deux corps nus, l'un contre l'autre. Il aurait tellement voulu que cela ne s'arrête jamais mais même les meilleures choses ont une fin; il avait été prévenu.
Il avait eu une nuit pour profiter d'elle toute entière et il ne le regrettait pas une seule seconde.
La douceur de sa voix, sa beauté naturelle, rien qu'au réveil, et ses yeux...il s'y perdait et même si le brun n'était pas du matin, il se réveillait sans douleur rien qu'à ses caresses. Alors il l'écouta, éperdument amoureux, faible et vulnérable. Mais il s'en fichait, elle aussi l'était. En tendant l'oreille, il put se rendre compte que la télévision se faisait déjà entendre. Il afficha un sourire, satisfait et heureux alors qu'il vint caresser doucement l'arrière de la tête de Grace. Et de sa voix grave et rocailleuse, encore ensommeillée par le trop rapide réveil, il prit son temps pour répondre:
"Bonjour Grace..."
Il s'étira, longuement de tout son corps, quelques sons de craquements d'os accompagnant la lourde mélodie de son grognement. Il était tôt, trop tôt vu la nuit qu'il avait passé mais il était résistant, il s'en remettrait. Et puis, Grace, cette femme pleine de caractère, elle pouvait être si adorable, comment lui en vouloir, d'aimer et de s'inquiéter pour le bien de sa fille, encore trop petite pour se préoccuper des aléas de la vie. Alors qu'il la détailla longuement, il resta longuement silencieux. (avec ce même sourire qui l'avait charmé il y a des années de ça)
Il avait envie de lui dire mais son regard suffisait; Grace je t'aime. Hier ces trois mots avaient suffis pour tout changer mais pas sûr qu'à répétition, ça ait le même effet. Mais quoiqu'il fasse; son cœur avait raison de son corps, qui en un langage solide sut se faire entendre. (ses caresses, ses gestes, sa douceur ne trompaient pas)
Mais elle ne disait rien alors il continuait, sans relâche.
"Je pense que Molly s'en fiche. Elle préfère nous voir nous entendre plutôt qu'avoir une horrible tension entre ses deux parents. Elle a beau être une enfant, même les gosses ça sait quand ça va pas. Alors pour être honnête?" (une caresse dans sa nuque, trop douce, trop belle) "Non je pense qu'elle ne se posera pas trop de questions et qu'elle sera juste contente de voir qu'on s'entend bien."
La dame rassurée, il se redressa pour prendre son caleçon et un vieux débardeur pour se rhabiller rapidement. Et comme si leur ancien quotidien tranquille reprenait, les engrenages de la belle vie se remirent en marche, toujours aussi bien huilé par l'amour. "Je vais préparer le petit dej." Il lui offrit un dernier sourire avant de sortir voir Molly pour la prendre dans ses bras, la couvrir de baisers et de tout l'amour paternel possible et imaginable. Et ça, de l'amour, elle n'en manquait pas. "Ma petite princesse a bien dormi~?" La petite gazouillait de joie alors que son père vint la serrer contre, tendrement. "Allez, bouge pas, Maman arrive, moi je vais faire le petit-déjeuner. Sois gentille mon petit ange." Il la reposa dans le canapé alors que Tiki vint automatiquement s'asseoir pour poser sa tête sur les genoux de la petite, rassuré. Les deux êtres regardaient donc paisiblement la télévision sur une émission de bas âge alors que le père s'occupait de mettre la table et d'aller poser bacon, pancakes, céréales, lait, jus de fruits et œufs brouillés sur la table.
Et pour une fois, tous vivaient, la vie de famille qu'ils n'auraient plus jamais.
Car au fond, toutes les bonnes choses ont une fin.
tes mains flattent ma peau apaisent mon inquiétude ; et tu me rassures alors j'opine doucement tu te lèves et je reste allongée dans ce lit qui n'est pas le mien qui aurait pu certes je reste quelques instants, je contemple le mur ton armoire ton plafond ; j'apprends par coeur tout ce qu'on a perdu et je me lève ne sachant pas vraiment quoi enfiler il y'a trois ans, un de tes tee-shirts maintenant je renfile les vêtements éparpillés ici et là reboutonne le chemisier remet la jupe crayon me coiffe difficilement avec un de tes peignes arrange comme je peux mon maquillage effacé d'hier le mascara qui est parti ici et là aussi puis je viens dans le salon, observe molly et tiki (que ce chien peut me manquer tu sais) je souris et je viens déposer un bisous sur le front de notre petit bout et une gratouille sur le crâne du chien je murmure comme le plus terrible des secrets eh tu sais ça ferait plaisir à papa si tu venais l'aider, par contre chut. faut pas dire que c'est mon idée ! un clin d'oeil et un immense sourire et la voilà qui accourt devant moi j'observe le chien toujours allongé avant de suivre notre enfant qui porte déjà des verres elle est fantastique cette enfant pas vrai ? et ça fait plaisir de pas avoir besoin de faire semblant que tout va bien c'est léger comme discussion dis-moi kye. tu es avec quelqu'un ? que je sache si j'ai potentiellement brisé le cœur de quelqu'un cette nuit. je m'appuie au plan de travail et j'ai envie de te faire une blague pince-sans-rire même si je sais que que tu ne me croiras pas car les journaux disent tout car moi je sors avec une femme. je dis ça avec un grand sérieux mais je me retiens beaucoup de rire car j'ai tellement envie de voir ta réaction avant de te dire que tout ça était juste une mauvaise supercherie
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Mer 15 Mar 2017 - 0:24
Grace & Kye
Tes désirs sont désordres.
Kye parle en #330066
HRP: Mdr c'est quoi ce troll de Grace jpp. Le hurt confort de ce rp tho tu peux pas savoir comme j'aime.
C'est en voyant l'adorable petite Molly l'aider à mettre la table que le sourire de Kye atteignit son apogée:
"Oui elle est vraiment parfaite notre Molly...on est de bons parents."
Il était souriant, et sincèrement, comme il ne l'avait pas été depuis longtemps. L'entent était aux rires et aux chansons. Le salon était embrumé de cette bonne odeur de brunch matinal et alors qu'il terminait de cuisiner, c'est du coin de l’œil qu'il la vit s'approcher (sa beauté, sa toute belle) pour lui poser cette question complètement décalé. Il en rit, à la fois gêné et rassuré par cet humour à la Grace qui lui a tant manqué:
"Non, non, je n'ai personne...ne t'en fais pas, j'ai toujours été un homme fidèle alors toi et ce n'a pas changé."
Alors il lui sourît tendrement. Tout doux, tout beau, comme les débuts, comme ceux à quoi ils auraient toujours dû ressembler, même après leur séparation. Parce qu'au fond, il le savait; tout serait moins douloureux si ils avaient eu le temps de régler leurs différents. Mais maintenant il le savait, il le sentait, tout ça appartenait au passé. Du moins il espérait mais la douceur et la joie naturelle (et plus d'hypocrisie) dans la voix de Grace lui donnait du baume au cœur.
Cependant et à sa grande surprise, il lâcha de surpris la spatule qu'il avait entre les mains pour la détailler les yeux écarquillés. Tout gêné pour une raison qu'il n'expliquait pas, il se dépêcha à la ramasser et jeta un regard bien trop rapide à Molly (qui s'est déjà mise à manger), un peu inquiet. Tellement de questions dans sa tête si embrouillée par la nouvelle. Alors il prit la main de la belle blonde pour la rapprocher de lui et lui murmurer:
"Molly sait?!Ca fait combien de temps?!Pourquoi tu ne m'as rien dit....je t'ai déçu des hommes c'est ça-?Et...depuis quand tu aimes les femmes toi?Marilyn aimait les femmes aussi, c'est ça-?"
Pauvre Kye, Qui ne comprenait rien à la vie Qui ne comprenait rien à l'amour.
et c'était tellement tendre ; tellement un nous effacé ce moment et je parfois je me demande, si tu regrettes beaucoup cette époque je me pose beaucoup des questions tu sais que je garde pour moi ou non que j'effrite entre mes doigts pour les taire les faire disparaître le bruit de la spatule contre le sol me fait hausser les sourcils et au final je me demande ce que j'aurai pu attendre de toi un regard vers kye et je continue de te fixer poussant un soupir silencieux la bouche fermée d'habitude je m'en fous ; d'habitude ça me passe au-dessus ce genre de choses mais je crois que je suis un peu blessée que tu me penses complètement influencée par la belle blonde au final je ris et je détache ma main de la tienne, j'esquisse un sourire un peu moqueur et passe une main dans mes cheveux c'était une blague kye. j'ai élevé molly dans la tolérance, donc je ne vois pas le problème. pas besoin d'en faire toute une histoire, et puis ; ce n'est pas quelque chose qu'on choisit l'amour, kye. ma marilyn l'était mais ce n'est pas pour ça que coucher ou sortir avec une femme est pour moi tout à fait banal. tu m'as dégoûtée de rien du tout. mais tu es un grand garçon kye, je suis sûre que tout ça tu peux le comprendre tout seul non ? je vais m'asseoir à table attendant avec une impatience déplacée ta réaction et réponse
coded by blair of shine & ooc
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Lun 20 Mar 2017 - 1:02
Grace & Kye
Tes désirs sont désordres.
Kye parle en #330066
HRP: On arrive vers la fin j'en ai la larme à l’œil :'c
Certainement que jamais Kye n'avait été aussi attentif aux paroles de Grace. Accroché à ses lèvres, il gobait chaque mot, son visage s'apaisant peu à peu en apprenant que tout ceci n'était qu'une blague. (mauvaise blague) mais il n'ajouta d'abord rien d'autre qu'une moue mécontente. Se faire recaler par elle (une femme, son ancienne fiancée, mère de sa fille) oh non, bien sûr qu'il n’appréciait pas. Mais loin du genre de faire la remarque, il préféra faire abstraction et glissa plutôt une pensée toute particulière à son fessier. (t'as un beau petit cul Grace)
"Oui oui Grace, je suis un grand garçon.." un peu démotivé, un peu désabusé. Il n'avait pas envie de se lancer dans un débat existentiel, après tout, ils leur restaient peu de temps et Kye voulait savourer cette entente commune jusqu'à ce que le boulot l'appelle.
Il haussa rapidement les yeux au ciel en espérant que sa prochaine partenaire en est un de la même qualité et vint s'asseoir en face d'elle, Tiki s'allongeant à ses pieds. Alors que Molly prit la parole pour leur expliquer sa thèse de pourquoi elle était une princesse, le brun dégustait son petit-déjeuner, pensif. Pas que la théorie de sa fille n'étais pas intéressante mais il avait l'esprit occupé.
Le moment était beau, le moment était doux, le moment était tout ce dont il avait rêvé depuis leur séparation et pourtant...ça n'allait pas le goût qu'il attendait. Comme si ça lui avait fait prendre conscience qu'il pouvait désormais passé à autre chose. Il ne l'expliquait encore pas et la réalisation de cette idée était encore dure à avaler alors il préféra la mettre de côté et de profiter.
Il regarda l'heure et écarquilla les yeux avant de s'exclamer: "Bon sang, je vais être en retard au boulot!" impensable pour le chef de la police. Il se leva en sursaut et c'est une tartine entre les dents qu'il partit dans la salle de bain faire une douche rapidement et se mettre en tenue. (empêcher son esprit de trop divaguer)
Mais, il n'avait pas tord sur sa conclusion; il se sentait prêt. Car après tout, il poudrait son gun, elle poudrait sa peau. Trop différents pour vivre ensemble de nouveau. Ils ont changé, oui ce dont ils ont besoin c'est d'un renouveau.
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Mer 22 Mar 2017 - 13:21
Still our hands match Still with hearts beating
ft. QUI EST-CE MDR
molly qui parle parle parle ; les enfants sont comme ça on comprend parfois pas tout et moi ça me fait rire car c'est con c'est innocent c'est tellement loin des soucis des adultes des nôtres des leurs c'est tellement différent de chez moi tu sais, je n'ai pas encore checké mon téléphone les nouvelles du jours mes sms mes mails c'est comme des vacances qui vont se terminer trop vite mais tant pis tant pis on n'est plus jeunes on a nos vies, tous les deux et je m'en rends compte quand tu te lèves soudainement je te suis du regard avec un petit rire et c'est à mon tour de bouger mon cul je range la table préviens molly qu'on va bientôt devoir rentrer à la maison et qu'elle ferait bien de ranger ses nouveaux jouets je range tout bien dans la cuisine j'en profite même pour visiter curieusement du regard et je tire un peu sur mes vêtements m'arrange comme je peux je vérifie que molly a tout pris récupère mon sac mon iphone je viens me mettre dos à la porte de la salle de bain pour que tu m'entendes kye ? on va y'aller. merci pour l'accueil et d'avoir organisé tout ça pour molly. ça m'a fait plaisir de repasser du bon temps avec toi. bon courage pour le boulot. et je repars vers ta porte d'entrée tenant la main de molly et quand je traverse le cadran je sais que cette bulle s'est refermée derrière nous