Sur un beau soleil Qui filtre par de petites lucarnes. Se bruit de fond sa vue est trouble Qui piaille à n'en plus finir il n'entend pas les paroles de l'ombre Les oiseaux Les oiseaux crient si fort Le grillage goute. Plic Ploc Le sol est grumeleux Sous ses baskets il sent. Il sent soudain l'odeur qui remonte prend ses tripes Il cligne des yeux La vue qui se dégage. p l u m e t i s par ci p l u m e t i s par là
on se moque pas de ma voix et j'ai pas trois ans merci mais dix-huit ^^" si elle est aussi aiguë c'est le micro okay
avril mon bébé chat a écrit:
- tu ressembles juste à un pd qui a enfilé des gants là. (si je savais si je savais). essaie d'être plus méchant. c'est con hein, mais ça te fait frapper plus fort. ce que je fais moi, c'est que je pense à quelqu'un que j'aime pas. genre vraiment pas et que s'il était en face de moi j'aurai aucune autre envie que de lui casser la gueule. et là, bah tu fais autre chose que de taper l'air en espérant frôler quelque chose. c'est psychologique c'est con mais ça marche beaucoup mieux que-... c'que tu fais j'imagine.
je me relaisse tomber et je sanglote rien qu’en me rappelant c’est dur mais j’en ai parlé peut-être deux ou trois fois de cette histoire le pire c’est de ressentir la douleur de revoir son sourire d’imaginer que peut-être un jour il reviendra sous un nouveau corps il me donnait des surnoms il je renifle il était gentil, tendre. je sais pas si tu vas comprendre ce que je te dis il m’a- m’a appris quelque chose plus que tous les autres gens et il me fait peur avril- avril il me fait peur c’est horrible c’était qu’un gosse- je dépose mes mains sur mes lèvres souvenir du baiser de cet horrible baiser je ne peux pas te le dire je suis théâtral je sais avril mais comment je peux faire autrement alors que lui l’était alors que lui mettait tout en scène
tom c'est un bébé j'ai une voix de bébé alors ça marche ok
harland c mon bébé a écrit:
« Salut Ludmilla. »
Il sent glissant sur sa peau les rayons ardents de cette lune d’onyx sur le point de sourire mais refuse caprice d’enfant de se confronter à sa selène affection
– tu nous présentes, gattino ?
– HEINQUOINONMAIS – LUDMILLA bordel Arrête de m’appeler gattino comme si j’avais quatre an là ça va j’suis plus un bébé non plus….…
Et cette espièglerie aux accents teintés d’italien ravive en lui l’absurde énergie ardente que la nuit passée a gentiment atténué – il pose une main sur l’épaule de sa bien-aimée une autre contre son cœur et déclame en sincère acteur :
« Ludmilla voici Amélia, c’est ma petite amie. Je sais qu’elle est belle, mais tu sais elle est aussi super gentille et intelligente et stylée et enfin bref elle est parfaite. Et Amélia voici Ludmilla. C’est ma mère. Et elle m’appelle plus gattino depuis l’an 1673 mais elle fait juste ça pour me foutre la tehon devant toi – d’ailleurs tout ce qu’elle te dira sur moi c’est faux ok – genre elle va te raconter que j’ai fait un caprice pour avoir un lama quand j’avais 6 ans mais c’est FAUX d’accord tu l’écoutes pas !! »
C'est le rôle des enfants – de faire semblant d'être grand.
Johan Heisenberg
myosotis
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cole le plus bo le plus chou le plus sweet le plus sexy le plus joli a écrit:
Un coup de tête. Je stoppe la voiture, garée sur ce parking bien trop vide. et sort en claquant la porte:
"Je te jure Leila, Dieu je vais l'enculer, et SANS préparation!Bordel pas nos vacances de besta quoi!"
Je te jure, je prends ma batte, je suis à deux doigts de tout péter. T'AS INTÉRÊT A ME RETENIR OU DÉJOUER MON ATTENTION!!! :srs:
Johan Heisenberg
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Mar 13 Juin 2017 - 12:23
BONJOUR DOUBLE POST POUR RELANCER CE SUJET. c'est important.
(enfin je crois.) (svp.)
Invité
Invité
Mar 13 Juin 2017 - 12:26
pask joy est démoniaque. j'ai poussé le vice du loli dans la voix quasi à fond, j'avoue, mais heu voilà j'ai plus du tout de crédibilité ici maintenant déjà que j'étais une victime en puissance rip j'vais aller m'enterrer slt bye adios
Un unique sourire en guise de bonjour, il connait son petit effet, ça l'attendri toujours tu sais De te voir ouvrir en grand tes paupières, retrousser tes lèvres, et non pas à cause d'un ego démesuré C'est juste... Rassurant de retrouver sa sœur de cœur. (et de se sentir autant aimé) Dans ta voix qui l'appelle il y a assez d'admiration pour panser ses plaies en désamours (et en ouvrir de nouvelles de peur de te peiner) (l'inévitable peine) S'approche sans répondre sous tes questions, tes impératifs, ta curiosité de l'extérieure. Il comprend bien se besoin d'échapper, de pouvoir dévoiler ses ailes. Mais avant toute chose. Jack te prend dans ses bras, te serre fort contre lui, ton petit cœur si fragile. Il aime juste T'avoir contre lui Et sentir ta mécanique battre à tout rompre sous l'excitation Encore une fois de pouvoir être toi, de te battre toujours, de ne pas perdre de vue Malgré tout ce qui pleut dans le nid dans lequel tu grandis. (et ça le rend tellement fier de toi, cela réaffirme ses convictions et son envie de te protéger de ce monde si dur pour les oisillons comme toi aux ailes atrophiées.)
Johan Heisenberg
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Mar 13 Juin 2017 - 12:33
osekour cette voix je.
Hiro
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L'esclave a en lui une force que le maître ne soupçonne pas. Il fait nuit, et la fumée monte. Le père se réveille le premier, et regarde par la fenêtre. Les issues sont bouchées. Si il sort, ce sera un massacre. Si il reste, il périra dans les flammes. L'enfant pleure, il est plus vieux. Le père choisit. Il prend sa famille dans ses bras, il les serre, et il attend. Au loin, l'allée de chênes brûle, comme une route de feu vers l'enfer dont il n'aurait jamais du sortir.
Gerasim parle sur un ton monocorde. Peter lui disait qu’il parlait comme une machine. « On dirait que ta voix ne vit pas » disait Peter. « Tu dois vivre » disait Peter. Peter est mort. Gerasim continue à vivre comme une machine. La Moskova continue à couler. Moscou continue à se prostituer. Gerasim se penche légèrement au-dessus de la table et du borshtch que Peter aimait. Il dépose sa main droite sur l’épaule d’Ivan, il esquisse l'accolade, il dépose son regard sur le vide qui occupe son appartement.
- Ça va ?
parce que j'adore tout le rp mais ce passage m'a vraiment tué j'ai super envie de l'entendre lu.
elle se redresse, sans repères raccroche son regard à la tignasse qu'elle avait l'habitude d'effleurer sans la décoiffer c'est con comme t'as mal évolué
- écoute, je je suis pas venue ici pour me faire encore jeter comme une merde
elle inspire et pendant un instant oublie comment expirer
- tu crois que ça me fait plaisir gabriel ?
de plonger moi aussi un pied dans le passé
ouais j'aime bien me citer moi-même ouais
Hiro
myosotis
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« Kyosuke. Pas Sick. » Parce que Sick est mort, mais comment l'expliquer ? Comment s'exprimer ? Lui qui en ce domaine, n'est clairement pas doué... Un soupir long, la fumée vient entourer son visage, aveugler quelque peu sa rétine désabusée par la brise fraîche du soir ; il reprend une gorgée de sa boisson énergisante qui le rend plus amorphe qu'autre chose ; avant de se redresser un peu. « Cela faisait longtemps Vito. »
On lui a déjà trop dit, demandé, supplié. 'Kaeru fait un effort', 'Kaeru arrête de pleurer' 'Kaeru t'es pas si malheureux'. C'est peut-être vrai... C'est sûrement vrai. Sa tristesse n'est pas flatteuse, elle n'a rien de théâtrale ou de puissamment dramatique pour qu'on puisse le sacraliser comme l'un de ces martyr romantique. Kaeru n'est rien, si ce n'est qu'un rejeton balancé sur le bas côté de la route, errant maintenant entre les chiens galeux et les poubelles. Il ne recherche pas trop d'attention, juste un peu de compassion. Qu'on arrête de le pousser d'un côté ou d'un autre, qu'on ne tente pas de le tirer vers un extrême pour qu'on le laisse retomber en fracas de l'autre côté.
La véhémence de Jae fait rugir la nuit, mais siffle à peine aux oreilles de Cecil. Car il a déjà dans la poitrine le même feu qui est jeté sur la forêt, comme les pins sont calcinés de ne plus être abreuvés, comme parfois les familles s'enflamment jusqu'au charbon. Cecil lève le menton d'un air attendu. Les fils de ses paupières tombent comme une sentence ; il n'ignore pas la bonté, qui a toujours fleuri sur les lèvres de Jae en herbe sauvage, il n'ignore pas la douceur. Mais, le monde se fait de la gravité des choses - la pomme doit un jour tomber à terre, l'arbre trop vieux s'écraser dans l'humus. Alors Jae ne peut rester à tout jamais une âme en suspension, lovée dans la légèreté de la nuit. C'est son travail, Cecil, de le ramener au sol, il n'a aucune affection, aucune cruauté pour cette tâche. Tout au plus, il l'exécute comme on respire.
Cosmo Müller
freesia
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Ven 13 Oct 2017 - 19:30
Pardon je fais pas trop trop honneur à la beauté des mots de Cecil mamamiaaa
par chaque irruption roy était foudroyant tonitruante intrusion tourbillonnante comme une tempête pour balayer ses doutes l'écho de ses pas sur le pavé alors qu'il s'approchait de la librairie résonnaient en harmonie avec les battements de son coeur choeur dissonant de leur affection bancale de l'apoptose d'une amitié vouée à mourir avant même d'être née oui ses pas -- c'était comme les trois coups sur la scène de leurs vies et la porte s'ouvre (le rideau se lève) sur une nouvelle comédie (tragédie) de sophocle à shakespeare ils les avaient toutes jouées mille fois la prose les vers les mensonges les vérités amères il donnait un grand coup de ciseaux dans la dentelle de sa personnalité n a n a pièce soigneusement composée qu'il venait entacher (d'injures d'amertume aussi)