ashenberner ian rodriguez
feat genji shimada - overwatch
every inch of me is charred
Surnom ♦ /// Âge ♦ 28 y.o Date de naissance ♦ 24 mai. Lieu de naissance ♦ kanagawa - japon. Nationalité ♦ américain - allemand - japonais. Occupation ♦ cobaye médicale - designer de mode / tailleur. Pouvoir ♦ prédiction. Symbole ♦ les lapins. | |
mental
Ton esprit est déchiré entre ton passé, ton présent et ton futur. Tu vis au jour le jour, tout en ressassant un toi qui n'est plus. Tu prend note d'une vie qui s'est éteinte depuis quelques années et qui te fascine, tout en profitant amplement de la tienne- ou tout du moins, au maximum des capacités fixées par ce corps robotisé qu'est le tien. Tu le vis bien, tu es heureux. Malgré les quelques problèmes de système occurents, tu ne semble pas affecté plus que nécessaire par la négativité.
Tu arbore autant de bons côtés que de mauvais, toi qui semble si aimant. Si serviable. Tu apprécie la compagnie d'autrui tout autant que tu la déteste et ce, pour diverse raison. Parfois ils te soulagent, comme parfois ils te pousse à montrer les crocs. Aujourd'hui, tu a développer ce qu'on appel plus communément l'haptophobie, A.K.A la peur du toucher. Ton corps ne te permet plus énormément de rapprochement et tu t'en désole grandement. Au fond, tu ne cherche qu'à être aimé et apprécier malgré ce que tu es devenu; mais ce n'est pas tout le monde qui porte une admiration sans borne envers ce corps étrange, tel que toi tu en as. Mais sous tes aires de jeune homme ambitieux, gentleman et tendre se cache également quelques petits côtés insoupçonner, d'avantage cruel. Une part de toi est également égoiste. Il t'arrive souvent de te voir avant autrui.
Beaucoup te traite parfois comme un enfant, aussi. Il t'arrive de faire des crises. Tu boude, également. Et tout ça, c'es sans compter tes goûts. Tu n'avale rien d'amer, que ce sois café ou toutes autres substances arborant un goût qui déplaît à ton palais capricieux. Mais le sucré, c'est une autre histoire. Romance de longue date, il est facile de te gagner et ce, en passant par cette dent sucré qu'est la tienne. Tu refuse rarement un petit bout qui te sera offert. Mais t'es caprices, niveaux goûts, ne s'arrêtent point à ce niveau. Vestimentaire aussi, tu grogne. Tailleur et designer, tu peux aisément levé le nez sur une personne qui ne se vêtit par selon tes normes- et toi-même pourrait faire une crise si l'ont osait se présenter à toi mal vêtu. Mais il t'arrive aussi de faire preuve de paresse. Parfois, tu traînes les pieds. Tu ramasses la première chose à porté de mains et l'enfile, ne réalisant que bien plus tard ton erreur vestimentaire; ce sont les petites anecdotes de ta vie.
Mais tes mauvais côtés ne s'arrêtent point là, bien au contraire. Au-delà de tes caprices Ô combien enfantin, se cache une part beaucoup plus adulte. Une perversion qui t'es propre, une jalousie qui peut s'avérer sauvage. Toi qui t'attache si facilement, laisse aller très difficilement. Tu considère ton entourage comme tien, refusant de le partagé. Et de part ta cruauté, tu n'hésiterais point à apposé ta marque sur ta propriété.
nota bene; Ian étant né au Japon et y aillant grandis, il parle aujourd'hui avec un fort accent japonais. Donc il peut être difficile de le comprendre, par moment. Il essai de faire de son mieux, car son anglais n'est pas des meilleurs. Parfois, il lui manque même quelques mots.
physique
Toi qui était autrefois de beauté et de grâce, tu n'es plus que l'ombre d'un passé resplendissant. Arborant toujours cet éternel sourire charmeur, il est aujourd'hui marqué par une mâchoire synthétique. Tes sourire ne se font toutefois point rare; ta vie est toujours aussi belle, à tes yeux. Tu te trouves beau, mais tu sais que peu de gens partagent ton avis. Partant de ces mèches vertes, coiffé à la vite vers l'arrière, parfois broussailleuses, jusqu'à ce regard si tendre qu'est le tien, portant cette douce couleur noisette, penchant graduellement sur un brun foncé. En amande, ces derniers témoignent parfaitement de ton ethnie principale, alors que ta peau mâte, d'un blanc laiteux, ne fait qu'accentué cette évidence.
Mais aujourd'hui, l'ont te regarde fréquemment de travers, alors que toi, tu tournes un oeil aveugle sur ces regards de dédain qu'on te lance. Tu es gigantesque, ta taille semble presque anormale aux yeux de certains. 2m11 de composants cybernétiques font de toi l'être que tu es aujourd'hui. Tes bras n'ont plus rien d'humain, ni ton torse et ce, jusqu'à la limite de ton bassin. Toi qui a perdu l'usage de ton corps dans presque toute sa superficie, la technologie désormais incrustée en toi semble faire des miracles. Sous cette cage qu'est ton torse reposent encore des organes on ne peut plus vivant, à l'exception près de quelques artères maintenant synthétiques. Mais l'ont ne peu en dire autant pour tes bras. Les veines ont laissées places à des circuits, ta peau à de multiple plaques en carbone. Ayant été tout simplement arrachés lors de ton «accident», tu avais failli y laisser ta peau, faute d'une perte de sang trop conséquente. Les parties humaines de ton corps semblent se faire rare- mais l'ont peu toujours admiré ton bassin, jusqu'aux genoux. Tes tibias, eux, sont également synthétiques, recouvert de carbone servant de prothèses, alors que tes pieds, eux, sont tout à fait humain. Si on oublie la présence de circuits qui courrent sous ta peau.
Mais encore, dur de considérer qu'il te reste une partie humaine, outre ton visage. Ce dernier semble réellement avoir perdu sa beauté d'antan, désormais traverser par de multiple cicatrices. Plus qu'on ne puisse en compter. Mais toi, tu te considère encore beau. Ton sourire est toujours aussi charmant et ton regard, toujours aussi doux.
histoire
Tu ne t'es jamais vraiment plaint, tu t'es toujours contenté du minimum jugé nécessaire. Lorsqu'on t'offrais, tu refusais poliment. Et tout cela ta valut une enfance douloureuse, embêté, martyrisé. Ta mère et ton père n'en savait rien, trop occupés à travailler. Tes mensonges, ils les croyaient. Ils détournaient le regard sur les blessures que tu avais en revenant de l'école, posant le tout sur le compte du ''maladroit''. Ce mot-là, tu l'as entendu trop souvent.
Tu étais si petit, si chétif. Relativement renfermé, on te jugais comme la victime parfaite. Les plus grands t'embêtaient sans arrêt et ce, même si tu pleurais. La petite école n'avait pas été des plus amusantes, mais le manque de support niveau familial n'avait pas aidé. Lorsque tu voulais de l'attention, on te lançais de l'argent, te disant d'aller «jouer avec tes copains et aller t'acheter des bonbons.»... Mais ce n'était pas ce que tu voulais. Malgré tout, tu avais toujours obéis, te retrouvant seul. Mais ça, c'était ta rengaine et ce, jusqu'à tes quinze ans, au jour où tu étais entré au lycée. Cet été là, tu avais souffert. Ta poussé de croissance ne t'avais pas fais de cadeau, tes articulations avaient été douloureuses. Tu avais maintes fois maudis ce corps qui était tien, n'ayant pas eu l'occasion de profiter d'un moment de répis avant de retourner dans l'enfer de la société.
Société qui semblait avoir changé d'avis à ton retour à l'école. Tu marchais le dos courbé, tête basse, mais tu réalisais bien vite qu'on te regardais différement. Et que toi-même, tu voyais le monde sous un autre angle. Si grand, tu admirais de haut tes anciens agresseurs, alors qu'eux détournaient le regard, t'esquivant. Bien vite, tu avais changé d'attitude, tu t'ouvrais, telle une fleur au printemps. Tu te sentais vivre pour la première fois- et ta vie ne pu que mieux s'en portée.
Lorsque vinrent tes dix-huit ans, tu te tournas vers la branche de la mode. Tes études se déroulaient comme un charme, tu y excélais. À vingt-trois ans, c'est avec une bourse d'étude américaine dans les poches que tu prenais l'avion pour ce riche pays, sans même un aurevoir pour ta famille. Mais jamais tu ne quittas l'air du Japon. Dans le ciel, loin de l'aéroport, c'est un déréglage dans le système de pilotage qui causa une chute à l'appareil, s'écrasant sur la bordure de ce pays tant connu. Tu avais manqué perdre la vie sous le choc, mais le malheur était tien. Unique survivant, ton corps démembrer et incapacité, on te trouva rapidement, alors que de tes lèvres ne provenaient que de faibles gémissements d'une souffrance sans nom.
C'est sur ton lit de mort, à l'hôpital, qu'on t'approchais. Et ce fut d'abord une nouvelle qui laissa ton esprit brumeux dans un silence des plus complets; t'es parents se trouvaient dans le même avion que toi, tout deux décidés à prendre des vacances bien méritées dans ce même pays où tu comptais aller poursuivre tes études. Mais ce fait ne semblait pas t'apporter plus de peine que nécessaire; après tout, tu savais que tu ne tarderais pas à les rejoindrent.
Mais les paroles de l'homme, secondant la nouvelle, ramenèrent ton esprit aux limites de la réalité. Tu te devais d'utiliser toutes tes forces pour enregistrer et analysé ce qu'il te disait. Sa voix était à demi couverte par le son des machines qui t'entouraient, te forçant à t'accrocher à la vie. Tu n'étais pas certain de sa proposition, mais tu avais tout simplement acquiescé.
Tu n'as jamais compté le nombre de fois où tu as eu des semblants de prises de conscience. La douleur t'envahissait, des voix se promenaient autour de toi. Mais c'était le noir complet- tu savais. Tu n'avais plus la capacité de voir. Ni de sentir. Tu ne pouvais rien toucher- la seule chose était la douleur. Persistante, mordante. Jusqu'au temps où elle s'arrêta, graduellement. D'abord petit à petit, tu en étais venu jusqu'au jour où tu ne sentais plus rien. Mais tu n'étais pas mort.
Tu rouvris enfin les yeux. Bonjour en enfer. On t'appris que, durant ta semi-hibernation, tu avais été déplacé dans un autre pays par avion-cargo; tu avais quitté le sol japonais pour te poser en Amérique, dans une faculté nouvellement bâtis aux abords d'une ville nommé Foxglove Valley. On ne t'avais point laissé donner ton avis, mais ce n'était pas comme si tu étais contre, de toute façon. Dès lors commença ce que tu nommas personnellement ton ''rétablissement''.
Tu as désormais 25 ans quand tu t'éveilles. Tu n'as jamais cherché à sortir de la faculté, tu as suivi docilement ceux qui s'occupaient de toi- tu leur devait ta vie, après tout. Mais ce furent deux années qui... Grugèrent tout simplement ton moral; alors vint sur la table de ces derniers une idée, posée par celui qui faisait la maintenance de ton système aujourd'hui robotisé. Pourquoi ne pas te laisser sortir, expérimenter cette technologie nouvelle dans la société, tout en restant strictement supervisé ? Bien entendu, certains s'y opposèrent, mais cette dernière fut finalement acceptée. C'est vers la fin de tes 27 ans que tu posas le pied dans l'herbe extérieure pour la première fois depuis si longtemps.
Aujourd'hui, c'est encore avec difficulté que tu essais de t'adapter; ton langage n'est pas parfait, ton anglais semble encore un peu rouillé. Bon nombre te fuis encore, alors que de rares commerçants, habitués à te voir, ont rapidement compris que tu n'étais pas nécessairement un monstre.
boîte à souvenirs
Nom ♦ ryugasaki. Prénom ♦ doumeki. Avatar ♦ sasaki haise - tokyo ghoul. Nationalité ♦ japonais. Occupation ♦scientifique en biotechnologie.
| |
Tu t'en souviens vaguement. Toute ta vie, tu a eu cet étrange sentiment qui te collait aux semelles, jusqu'au jour où tu «l'as» adopté. Aujourd'hui, tu sembles avoir énormément de souvenirs conçernant ton ancienne vie. Passant par son nom, jusqu'à son âge. Tu te souviens même de quelques-uns de ses secrets. Mais tu ignore son visage. Tu ignore encore tant de chose, ta curiosité ne peut se satisfaire de ce peu d'informations.
derrière l'écran
cc j'change de perso
j'vais vous montré c'quoi un weebs
keur sur vos tronches mes amours
♥♥♥
et ouais j'fais un cyborg passke le japon lmao