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| | Dim 23 Avr 2017 - 2:20 | | ✨ ☾ ✨ Quatre fois huit temps. la souplesse en équilibre avec force de ses muscles le fragilisent. il souffre et sue, en silence. La musique pompe ses veines, il fermente, il respire au rythme des pas mélodieux. Ses membres s'entremêlent dans la soies des tissus qui le suspend. Le sol l'observe, la goute de sueur cède et se fond dans le vide. Il marmonne son dernier souffle, les yeux fermés, avant d'y plonger à son tour. Temps mort. Ta chute est mal calculée, essaye encore de faire mieux.On s'énerve, on y parvient pas. Plus ça va, moins ça passe, et Alice n'aimait pas ça. le bourrage de crâne. Il se défait de ses tissus et retourne dans sa loge, frustré à l'idée de ne plus savoir peaufiner un temps inanimé. Alice se regarde dans son miroir, la pointe de son doigt perce son reflet. Dire qu'il fallait un temps à tout. et il s'en ait fallu de peu, profitant de sa pause, pour se diriger vers l'homme aux hypnoses et constellations melliflues qui s'imprégnaient sur sa peau, son bien aimé. bonjour... |
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| | Lun 24 Avr 2017 - 22:48 | | souffle doux, souffle imaginé, carmin est concentré dans ses idées, un peu fou, des tours de passe-passe pour vous brouiller l'esprit chers spectateurs, il est peut-être temps, pour lui de s’échauffer, cela serait si palpitant. carmin chuchote quand il écrit son texte aux milles et unes manipulations, et de votre part, des inattentions. il n'en retiendra qu'une petite poignée et gardera le reste pour plus tard. et il se tourne puis te voit, toi, la sueur au front, après avoir exercé ton art.
- bonjour roza.
si doucereusement prononcé, comme s'il t'avait tendrement caressé. puis il s'approche, avec ce petit sourire en coin, qui se veut conciliant, ses mains saisissent tes tendre épaules, fulgurant. il les voit les traits durs, crispés, épuisés, de ton visage clair, et avance à quelques centimètres le sien à la peau stellaire.
- tu es tendu... tu as besoin de repos, n'est-ce pas ?
puis ses doigts souples effectuent quelques mouvements ronds, contre ta chair, sans être brusque, sans être trop non plus comme du coton. carmin prolonge ses iris dans les tiens un peu abattu, il aimerait pouvoir goûter (à nouveau) au fruit défendu... |
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