| Jeu 9 Fév 2017 - 1:27 | | grace hamilton Avatar mercy - overwatch Surnom ne lui en donnez pas. Âge vingt-huit ans. Date de naissance quatre avril. Lieu de naissance los angeles. Nationalité américaine. Occupation actrice (étoile montante), ancienne avocate, mère à plein temps. Pouvoir interruption. Symbole texte. | caractère (un miroir) elle s'aime. oui elle s'aime car les doigts parcourent sur son propre corps elle est sans doute un peu imbue d'elle-même et elle ne le cache pas ça non non elle n'hésite pas à rouler des hanches à sourire à charmer oh oui qu'elle s'aime grace et il y'a là un léger égocentrisme sans extravagance elle s'aime sans les artifices elle s’idolâtre car elle est elle-même car elle est elle elle elle qui a tout brisé tout changé elle fume. elle fume car elle le faisait car elle est accrochée à cette actrice qui était elle car elle doit lui ressembler car elle doit être parfaite à sa hauteur car la jolie marilyn était la plus belle la plus chatoyante la plus lumineuse et elle doit être comme elle oui oui alors elle est influencée par cette image par tous les extraits des journaux d'antan et même par les photos son maquillage et ses goûts elle est une sale obsession. tangible et passionnelle ; elle est une obsession oui un rien fougueuse on tourne son regard vers elle on la reconnaît dans la rue depuis peu et elle aime tellement ça, grace d'être le centre de l'attention, de ne pas s'être battue pour rien de faire honneur à son idole son idole (qui est elle-même) grace est belle grace elle brille, elle est de ces femmes qu'on siffle dans la rue (elle sait elle sait qu'elle est charmante) elle a l'assurance l'aura tout pour être une grande dame elle est sa justice. personne lui dicte ce qu'elle doit faire, personne lui pose des interdits car c'est trop dangereux trop dangereux oui (plaisir malsain de les survoler de les braver) elle est curieusement courageuse curieusement rebelle curieusement indépendante ((insupportablement intenable)) grace va au-dessus de tout ça, elle rit de votre audace elle rit de votre affront elle est charmante non tout en politesse tout en finesse grace c'est sans doute pour ça qu'elle était une bonne avocate une avocate prestigieuse car elle y croyait tellement car elle tenait tellement tête car elle n'avait pas peur de se mouiller elle a les yeux bandés. elle est aveugle elle ne voit pas elle ne voit pas qu'elle est obnubilée par ses objectifs trop entêtée trop occupée par sa fille et tellement pas par les répercussions et ça fait d'elle une parfaite insouciante elle agit elle ne réfléchit pas elle est audacieuse mais elle ne l'assume pas par la suite courageuse oui mais seulement pour un temps seulement pour se draper de robes soyeuses et pas pour payer les factures ensuite tellement d'ambitions sans réfléchir à l'avenir oh non concept abstrait pour elle pourtant pourtant avant c'était tout le temps ça tout le temps prévoir jamais au hasard avant elle était agréable attentionnée et elle est une femme. avec ses courbes avec son maquillage avec son indépendance qu'elle chérit autant que son propre enfant ((tellement important)) grace est une grande fille elle déteste déteste profondément être maternée elle fuit les gens comme ça les enfoirés qui la prennent pour une assistée (qui prennent les femmes pour des assistées) grace elle est grace elle est tellement de choses elle est entêtée courageuse superficielle têtue ambitieuse audacieuse égocentrique menteuse aveuglée courageuse un instant polie séduisante un poil moqueuse trompeuse charismatique ou carrément détestable dédaigneuse féministe déterminée naïve à sa manière malsaine battante du genre à entendre que ce qui l'intéresse. |
histoire je ne t'aimais pas. je ne t'aimais pas car on ne se connaissait pas. je ne t'aimais pas car je n'étais qu'un bambin, puis un enfant puis une adolescente. je ne t'aimais pas, car j'étais une jolie princesse destinée à son beau prince ; car on voulait me marier me caser avec ces hommes au costard qui coûte trop cher. je ne t'aimais pas, car le seul homme de ma vie était mon père et que je visais l'excellence car j'étais une petite fille qui savait qu'il fallait croiser sa jambe quand on était assis dans quel ordre on prenait les couverts et même me coiffer et me faire des tresses. je ne t'aimais pas, car je ne t'imaginais pas. car j'ai toujours vu mon avenir seule, sans personne pour se mettre à travers mon chemin droit tout tracé sans virages. j'ai commencé à t'aimer. j'ai commencé à t'aimer, quand tu me parlais quand tu essayais de me charmer et que je riais. j'étais légère mais je voulais voir si tu étais comme eux si tu te lassais de mes beaux yeux ou de mes courbes féminines, et tu n'étais que mon voisin après tout alors j'ai attendu. j'ai attendu et tu ne m'as jamais lâchée, non non tu étais différent tu étais, tellement toi et c'était beau. alors je t'ai aimé. alors on s'est aimés réciproquement, on était jeunes et pourtant jamais jamais tu m'as trahie. tu m'offrais des bijoux, tu m'offrais des fleurs et tu étais tout ; on était tout et c'était ça ça qui me prenait le coeur. je voulais terminer ces putains d'études pour qu'on puisse barrer, tous les deux. pour qu'on puisse fonder une famille. tu me supportais. je crois que, tu étais bien le seul. tu m'écoutais râler, tu m'observais quand je m'entêtais à tenter de récupérer des trucs trop hauts pour moi dans la cuisine et que je te hurlais dessus que j'avais pas besoin d'aide alors tu levais les mains. je t'ai aimé, profondément. oui, tu étais le bon. alors on a déménagé, on s'est barrés de cet appartement trop petit et on s'est installés ici. on avait vingt-trois ans. je l'aime. tout, notre mini-nous. des fous-rires, parfois des disputes même ou des ronchonnements quand fallait aller s'occuper d'elle alors qu'il était quatre heure du matin. c'était molly, notre molly à nous. l'aboutissement de notre tendresse, de tout ce qu'on avait à s'offrir. une promesse d'un avenir radieux, même si je rentrais tard même si parfois quand oui j'ouvrais la porte je restais silencieuse quelques minutes pour t'observer t'occuper de ce petit bout. je l'aime, et l'aimerai toujours. il a sonné un recommencement, l'aube d'une nouvelle vie. lui, je l'aimerai toujours ce collier de perles. et je sais à quel point tu dois le détester, cependant. il est tout et parfois tu sais, je m'observe dans le grand miroir de ma salle de bain je le remets et j'y repense. si tu ne me l'avais pas offert. j'aurais été ignare, j'aurais été dans l'obscurité sans m'en rendre compte. et tu m'as fait ce cadeau, et tu m'as fait le cadeau de savoir que j'étais elle et que je devrai honorer sa mémoire. devenir la plus belle des américaines et chérir ses souvenirs comme nos instants passés à deux. et toi, je ne savais pas si je t'aimais encore. car tu as voulu tout gâcher, car tu as voulu tout m'effacer tout me retirer alors que je devenais plus belle. tu ne regardais pas bien, les cigarettes que je fumais devant molly. tu ne regardais pas bien, mon maquillage qui s'accentuait. et quand j'ai tout arrêté, je crois que j'ai compris que j'avais brisé quelque en toi. car elle était plus importante, car j'étais plus importante. et je pensais que tu savais. je pensais que tu savais, que dans notre couple, je serai toujours plus importante que je serai égoïste. alors je me suis mis en tête de t'oublier, et de cesser de t'aimer. car tu étais de trop, car dans ce couple qu'on constituait elle et moi car tu étais la fausse note dans cette harmonie et que je ne le supportais pas.
je suis partie.
boîte à souvenirs elle se rappelle de tout. absolument tout, elle est de ces réincarnés qui se souvjennent de beaucoup trop. il y'a les livres aussi, les biographies internet. juste sa mort. son obsession. | Avatar marilyn monroe Prénom norma. Nom mortenson. Nationalité américaine. Occupation chanteuse, actrice et mannequin. |
anaïsprésentez vous à moi |
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