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aux encres des amours // johia
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Dim 5 Fév 2017 - 22:39


allez tue moi mon amour
allez tue moi qu'on en finisse
mets le couteau dans le velours
allez fais moi de ces sévices
laisse moi mourant sur le sol
puis s'il faut rendre l'amour folle
laisse moi ivre mort d'amour
pour s'aimer comme au dernier jour
ft. mes bébés
cette cuisine là, elle est bien plus grande que celle où tout s'est déroulé
cette cuisine là elle est plus belle, et y'a un tas de trucs que je comprends pas
((elle est tristement vide aussi))
dans la tienne, y'avait tes parents ; ta mère, souvent
dans la tienne on y entrait et on était bien alors qu'ici c'est grand et froid
((mais ici, il n'y'a pas eu de meurtres))
alors souvent dans la journée, quand je m'ennuie car je n'ai rien à faire j'attends que quelqu'un rentre
j'attends et je parle avec enzee parfois même et elle cherche même pas à comprendre pourquoi je reste plantée là et que je regarde et j'attends j'attends que ça passe j'attends amélia et on va dans sa chambre aux milles secrets
et jamais, je ne te croise et c'est pas plus mal
((tu me fais peur, tu sais))
je marche et j'effleure du regard à défaut de pouvoir toucher du bout des doigts
je regarde les lames qui coupent et
j'ai peur je frissonne car je me rappelle du tranchant qui s'enfonce et ça me fait encore mal
((je frotte mes yeux comme une gamine chassant mes larmes qui s'évaporent))
et doucement je me tourne
et doucement je te vois dans toute ta splendeur à l'endroit de la porte
j'écarquille mes yeux embués et je me sens comme un animal pris au piège
((je t'aime tellement))
mais tu me fais mal et tu me fais peur ; et je suis triste car tu ne m'as jamais dit
souvent, je me dis que c'est de ma faute car j'ai été aveugle à ton malheur et je ne voyais que tes sourires tes lèvres et tes bras qui m'accueillaient
alors je suis plantée là et je te fixe et je n'arrive pas je n'arrive pas à t'en vouloir complètement
((à quel point tu étais malheureux, johan))
et doucement mes doigts tremblants viennent chasser mes cheveux sur mon visage ; ces cheveux que tu as tant de fois caressé tant de fois humé avec un sourire
(mon shampoing était un shampoing à la pomme)
et j'ai peur que tu te rapproches il y'a personne je pense à part nous deux car depuis ce matin je n'entends plus de bruit
et je sais, que ta réincarnation à toi aussi elle est mauvaise
car elle rend amélia malheureuse car elle pleure parfois le soir et que j'arrive pas vraiment à la consoler elle m'en veut pas tu sais est-ce qu'il t'en veut toi
et je t'en veux moi beaucoup
((de leur avoir gâché la vie))
alors je commence à hurler
connard ! connard ! pourquoi tu viens devant moi ? pourquoi t'oses me regarder alors que t'as tout gâché alors que
ma voix s'abaisse et je reprends mon souffle doucement
alors que tu m'as tuée. alors que tu les as tués tous. pourquoi t'es encore là, johan. j'espère que tu lui fais rien, à ce joy. t'as pas le droit de lui faire du mal autant que tu nous en as fait.
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Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
Lun 13 Fév 2017 - 1:33
Oui, c’est triste de me dire que toute notre histoire s’est terminée ainsi avec ce point final. Une erreur fatale,
Qui avec tous les pardons du monde, ne sera jamais innocentée.
Et qui avec toute la haine que tu craches de ta bouche, ne sera jamais graciée.
Oui, cette bouche que j’ai tant de fois goûter, j’ai tant de fois savourer tes lèvres toutes en finesse,
Que malheureusement je ne peux oublier,
Comme la douceur de ta peau, le son cristallin de ta voix.  
Mais tous ça, je dois le rayer, l’effacer, parce que c’est moi le responsable,
De cette tragédie.

Tu sais, être un esprit errant qui ne ressent rien d’autre que des putains de sentiments.
C’est un peu dur pour quelqu’un comme moi, qui réclame beaucoup de douleur.
Peut-être que je n’ai pas aussi souffert que ça,
Que toi.
Peut-être que j’ai besoin d’une dose de tout ça.
Frappe-moi alors en plein dans mon âme. Joy il ne le fait pas aussi bien que toi tu peux le faire, il me méprise en silence parfois, il m’ignore, peut-être que c’est la meilleure façon de me détester.

J’explore les divers lieux du manoir, je suis parti à ta recherche,
Je sais que tu es là, je sens ta présence, comme un humain sentirait celle d’un autre.
Je suis le fantôme qui sait qu’un autre se trouve dans le coin.
Et toi tout particulièrement, car nous étions si liés.
Jusqu’au jour où,
Le sang a coulé. Le tien. Sur les carreaux brillants de la cuisine. Il s’est mêlé avec le mien.

Je me pointe devant la porte, traversant tous solides sur mon passage.
Lia, tu es là,
Et tu te retournes vers moi.
Ton visage trahit toute ta peur, toute la haine je t’inspire. Neutre face à tes yeux qui ne scintillent plus d’amour pour moi,
Mais d’un profond dégoût.
J’ai entendu dire que l’amour et la haine sont deux sentiments très proches.
Alors j’ai envie de croire encore à tout cela,
À nous.

- J’me demandais bien quand est-ce que quelqu’un aurait enfin le courage de m’adresser la parole.
Et c’est toi, Lia.
Joy est trop effrayé à l’idée de me parler. Et à part lui sourire, J’aurais fait quoi de pire ?
Ah ouais, je me souviens, j’ai dit que c’était un petit pd.
Mais j’ai raison je crois. C’est peut-être pour ça que ton amie déprime en ce moment ?
Au final on est bon à tout gâcher.
Lui, tout comme moi.


Si seulement j’avais ton feu vert pour m’approcher de toi.
Car je sais que tu ne veux pas voir celui qui a détruit toute ta vie. Et pourtant à la place de l’ignorance, tu as cette audace de crier ton mépris devant moi.
C’est étrange d’apprécier cette attention là, que tu me portes. Elle me donne l’impression.
(Que tu m’aimes encore.)

- Tu veux que j’me casse ?
Ou tu veux rajouter quelque chose d’autre ?


Mon sourire se dessine enfin,
Un sourire doux, un sourire que tu avais l’habitude de voir,
Avant que tout soit terminé avec trois putains coups de couteau dans ta chair.
519 — words
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la qualité est pas trop là. sorry. :(( — notes
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Sam 18 Fév 2017 - 17:00
allez tue moi mon amour
allez tue moi qu'on en finisse
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on dit pas pd, on dit homosexuel ou gay.
je le murmure sans envie avec un peu de désespoir car c'est comme avant mais pas tout à fait pareil quand même
(avant tu ne m'avais pas tuée)
et maintenant nous sommes morts
il y'a une main qui veut se tendre vers toi
et un pied qui s'apprête à reculer
il y'a des regards qui s'accrochent
et d'autres qui fuient
j'ai envie de te serrer dans mes bras mais je t'en veux tellement tellement tellement
alors je continue de pleurer comme une gamine ou plutôt je recommence et je serre mes bras contre mon torse je te fixe j'arrive pas à m'en empêcher
et dès que tu émets la possibilité de partir je m'écrie en te coupant dans un sanglot désespéré
ton sourire me tue un peu ton sourire me fait mal car j'ai envie j'ai envie de te sentir de t'aimer encore encore mais je n'ai pas le droit ça serait masochiste non et puis et puis
((est-ce que tu en as envie))
non ! ne pars pas. je veux-je veux que tu m'expliques. pourquoi tu m'en n'as pas parlé, tu me faisais pas confiance ? pourquoi ça s'est terminé comme ça ?
à nouveau j'essuie mes larmes et je tends une main vers toi un peu timide presque discrète
mais tu me connais assez pour te dire qie c'est la seule chose que je peux t'offrir
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Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
Mar 21 Fév 2017 - 16:50
J’adore quand tu me murmures doucement des petites remarques qui jugent ma façon à moi de m’exprimer,
Je me délecte tant de ce genre de petits reproches en aparté, que tu souffles de mélancolie.
Et ça me fait rire parce que t’as toujours était ainsi et j’me souviens très bien t’avoir dit un jour quand nous étions encore débout,
Lia, t’es pas ma mère.
Ouais t’avais ce petit côté maternelle avec moi,
Sans doute que t’as senti que ma génitrice avait les doigts infestés d’impuretés, les mains gorgées de violence.
Tu l’as senti mais j’ai gardé le silence.
Une putain d’erreur.

- Ouais pd homo gay, c’est la même chose parce que j’ai raison,
Joy a quitté ta copine pour ce mec. Tu vois ? Donc c’est aussi un connard !
Mais moi, contrairement à lui je t’aurais jamais quitté pour qui que ce soit et surtout pas pour un mec.
Puis quoi encore ?


Mais lui, il n’a tué personne.
Je souffle, enfin, je pense, est-ce que c’est de l’air que j’expulse de mes lèvres ou bien,
Un sentiment redoutable, un regret amer, une envie de dire pardon,
Une volonté d’entendre un pardon de leurs bouches, un seul désir juste impossible.
Peut-être qu’au fond, j’ai quelque chose d’autre à finir,
Pour conclure notre histoire, Lia.

Pourquoi tu me regardes avec ces yeux qui prouvent tant,
Ce regard là,
Tes pupilles dilatées par des émotions,
Négatives,
Positives,
Tes prunelles me crie je t’aime, me hurle je te hais. J’ai envie de te répondre juste un sourire qui veut dire,
Pardon.
Pardon d’avoir enterré le malheur présent dans mon cœur, de m’être jamais confier à toi.

- écoute…
C’est pas facile de parler de ça… surtout à toi, j’voulais pas que ça te brise autant que ça l’a fait avec moi,
J’ai confiance en toi Lia. J’suis juste un peu égoïste (beaucoup) tu sais ? Garder mes problèmes c’est dans ma nature,
Et surtout te mentir, te dire que ces quelques hématomes sur ma peau c’est juste de la maladresse de ma part.
Putain, quel con…


Tu m’as tendue ta main en toute discrétion,
J’aimerais la saisir puis ne plus jamais la lâcher.

- Pourquoi tout ça s’est fini ainsi, ouais,
Bah j’aimerais bien le savoir. Y’a un truc qui déraille chez moi, c’est clair,
Et si j’avais ouvert ma gueule, si je t’avais raconté mes soucis, j’pense que ça serait jamais arrivé, parce qu’ensemble on aurait pu trouver une solution.
Et puis… tu l’aurais eu ta famille.
Tout ce que t’as espéré faire avec moi, dans le futur que tu imaginais.
Mais non, j’ai été trop con,
Je m’en veux, tellement.
Merde…


Les larmes j’aurais pu les sentir sur un corps fait de chair et d’os,
Mais là y’a rien qui me prouve que j’y arrive enfin,
Que c’est peut-être la fin.
472 — words
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bcp de paroles mdr dsl. — notes
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Sam 11 Mar 2017 - 15:31
allez tue moi mon amour
allez tue moi qu'on en finisse
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allez fais moi de ces sévices
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ce n'est pas un connard, car il aime quelqu'un d'autre
tu n'es pas un connard car tu nous as tué, tu es un connard car tu t'es tu comme tu dis tu as été affreusement égoïste inconscient et çam e fait mal d'imaginer que j'aurai dû insulter encore plus quand je te demandais en haussant les sourcils
((tu es sûr que ce n'est que ça ? vraiment ?))
en voyant les traces sur ton corps, sur ta joue ton cou tes poignets
peut-être qu'au fond je me voilais aussi la face car je le savais pertinemment que tu cachais quelque chose que tout ça ce n'était pas vrai et que c'était un de tes mensonges pour me protéger
et je ne peux pas t'en vouloir
même si tu dis pd même si le sang que tu as fait couler est celui de tes proches (infâmes) de moi et de toi
ce n'était pas vraiment de ta faute, cette destruction
et doucement je conclue tous tes mœurs et c'est tellement triste que ce point final soit tragique ; qu'au final on l'écrit avec une encre invisible qui ne changera rien au cours de cette histoire qu'est la nôtre déjà terminée
de toute manière c'est trop tard, c'est déjà terminé. on peut rien y changer. mais- ne fais pas de mal à joy s'il te plaît. pour moi. laisse-le vivre en paix avoir- ce qu'on aura jamais eu.
et là je hausse la voix d'un coup
et c'est normal que tu aies été con je veux dire- bordel, tes parents te faisaient du mal ! et- et- c'est pas normal ça. c'est pas normal du tout. j'aurai dû me douter de quelque chose bordel, moi aussi j'ai été stupide...
je tape mon front dans ma main, reprenant ma respiration
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Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
Lun 13 Mar 2017 - 11:38
Non, je ne vais pas te laisse faire,
Te laisser dire que c’est de ta faute aussi, tu ne dois pas prendre une part de responsabilité là dedans parce que j’ai fait de graves actes et c’est à moi de les réparer,
Ce n’est pas à toi de te sentir stupide je suis coupable avec ses affreux géniteurs, je leur ai donné raison de toute cette souffrance en gardant le silence,
Et tu ne dois absolument pas te rabaisser ainsi pour une erreur que j’ai commise et pour te réveiller,
Je pose subitement mes mains sur tes épaules les doigts appuyés contre une chair qui n’existe pas et pourtant,
C’est étrange à quel point te toucher me rappelle ce temps là, effacé,
Disparu dans le passé, perdu à tout jamais.
Je ne pensais pas avoir de nouveau un contracte si fort avec toi, être si proche de toi, ensemble nous ne sommes plus des visions abstraites si nous pouvons ainsi ressentir nos corps,
Comme si nous revenons à la vie.

- Lia c’est mon erreur, la mienne, ne culpabilise pas à ma place,
Tu vaux mieux que ça.


Tu vaux même plus que,
(Tout l’or de ce monde.)
Je parcours ta joue en douceur avec ma main pour que tu relèves ton visage pour que tu me regardes comme avant dans les yeux avec toute ta tendresse,
Je sais que j’espère un peu trop venant de toi alors que…
(Je t’ai tué.)
Et là je réalise dans quel état nous sommes, dans quel cauchemar je t’ai jeté, tête la première tu es tombée dans l’enfer,
Et même si je suis cette âme errante, je me sens déchiré de l’intérieur, tu me demandes un peu trop que je ne fasse pas de mal à joy,
Mais je ne pourrais pas m’empêcher d’avoir de la jalousie mais de me dire qu’il est brisé à cause de mon simple malheur alors que sa vie à lui n’a peut-être pas été toujours facile mais tellement plus douce, plus envieuse,
Je me rends compte qu’au final il souffre d’un passé qu’il n’a pas vécu et je m’en délecte un peu trop de le voir en dépression à cause de,
(Moi.)
Alors qu’il ne le mérite pas il mérite juste de vivre son bonheur,
Il est ma deuxième chance et je dois lui laisser, arrêter ainsi de l’insulter, il n’a rien fait de mal si l’on compare un monstre (moi) juste à côté,
Tu me demandes trop mais pour toi je lui demanderai pardon,
Pardon de t’avoir rendu si vide Joy,
Parce que mon silence vous a tous rendu malheureux.
Un couteau planté dans la chair c’est tout aussi valable que mon comportement de cachotier je suis l’imbécile qui aurait pu changer le passé.
Partant je n’ai rien fait c’est trop tard.

- Pourquoi je t’ai fait ça… pourquoi j’ai détruit ton si beau corps, lia ?
(Mon pouce caresse ta joue.)
Pourquoi j’ai gardé tout ça pour moi maintenant je peux plus rien faire à part errer ainsi à jamais,
À attendre que ma réincarnation veuille de moi comme d’un ami, pourquoi je suis si jaloux,
Pourquoi ma vie se résumait à des coups dans la gueule, des poings dans le ventre, des cris dans les oreilles,
Pourquoi j’ai été persuadé que l’amour c’était ça, s’infliger du mal toujours, encore,
Et toi quand je te voyais en danger harceler par tes petits camarades j’ai voulu te sauver parce que tu avais le même regard que moi…

(Je rapproche mon nez contre son semblable,
Toujours les prunelles plongées dans les tiennes.)
On était lié par la peur et je ne t’ai jamais dis que moi aussi, je souffrais comme toi, on aurait pu panser nos blessures ensemble,
(Je m’emporte.)
Mais non, je n’ai rien fait je suis tombé amoureux et j’avais constamment envie de te protéger toi.
Et pourquoi à mon tour je ne t’ai rien demandé alors que je sais pertinemment que j’en avais besoin,
Et j’ai encore besoin de toi lia, tu penses que, même en étant deux fantômes on pourrait tout recommencer ensemble ? Dis-moi s’il te plait que c’est possible…
Je t’aime lia…
Je t’aime… putain… je t’aime !!


Les larmes continuent son cours sur mon visage et pourtant,
Je ne ressens rien mais rien que ton corps près du mien
Et je préfère ça.
721 — words
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je bois mes larmes. — notes
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Sam 18 Mar 2017 - 1:16
allez tue moi mon amour
allez tue moi qu'on en finisse
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je ne vaux pas mieux que toi ; pas mieux de personne à vrai dire on est tous égaux on a tous nos vécus nos valeurs
et ça ça
je le respecte
j'accepte le contact fantomatique ; tes mains qui ne sont pas réelles contre mes épaules toutes aussi fictives j'accepte aussi tes doigts contre ma tendre joue et ça me fait faiblir un petit peu
(l'indifférence et la dureté sont enfin parties)
tant
de
pourquoi
tais-toi juste tais-toi
on s'en fiche de tout ça on s'en fiche de pourquoi t'as fait ça je ferme les yeux plisse les lèvres et reprends une respiration pour rester parfaitement calme
ton visage se rapproche du mien et mes doigts viennent s'emmêler dans ta tignasse remettre correctement les mèches et prendre un temps oui
pourquoi as-tu besoin d'entendre johan, jo, quand tout est là sur mon visage ; quand tout mon amour encore trop présent pour toi peut être cueilli sur le rouge de mes pommettes
je ne peux pas me résigner à ne pas t'aimer
pas quand tu me demandes ça comme un gamin incertain, pas quand tu me hurles ton amour qui me fait sursauter
alors en guise de réponse j'appuie fermement mes lèvres contre les tiennes ; de longues secondes durant paupières abaissées et je reprends une inspiration m'emportant à mon tour disant tout ce que j'ai sur le myocarde
on s'en fout, de pourquoi ! on s'en fout, on est toujours là ok ? on s'en fout, maintenant on n'a plus d'obligations. plus de maison où tu tu te faisais frapper, plus de toilettes où je me faisais frapper.
je souffle un peu
ou tu frappais, aussi. maintenant on n'a plus besoin de se défendre, merde-credi ! ça sert à rien d'en faire toute une histoire tu sais très bien et je - je sais aussi que c'est pas vraiment de ta faute.
je t'enserre car j'en ai besoin je t'attrape par le cou pour essayer de faire cesser tes larmes
ça peut pas recommencer, car ça a jamais cessé. rentre-toi ça bien dans la tête, jojo. moi aussi je t'aime après tout. dis-moi juste que tout va mieux. dis-moi juste que - même si notre existence est en quelque sorte ratée, toutes ces histoires ne te traversent même plus l'esprit.
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Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
Dim 19 Mar 2017 - 19:13
Tu m’obliges le silence cette fois,
Après t’avoir hurlé mon amour, tes lèvres se sont collées si vite sur les miennes, le contact si intense,
Leur délicatesse m’avait grandement manqué,
Mais ce n’est pas si délicat que ça c’est tellement plus fort plus ardent ça évoque en moi toutes ces fois là,
Où je m’emparais de ta bouche contre la mienne par surprise, pour calmer ta douleur au cœur,
Mais maintenant c’est ton tour à toi.
Les yeux clos je pose mon front tout contre le tien,
Dans ces moments là, sommes-nous réellement de pauvres fantômes ?
Sommes-nous réellement disparu dans l’au delà ou juste coincé là, pour accomplir ce qu’on n’a jamais pu accomplir ?
Tu reprends ta respiration et moi aussi.
Tes yeux là, qui kidnappent les miens, je suis perdu dans tes prunelles je suis perdu à tout jamais dans notre monde,
Et avec ce baiser là, tu as voulu recoudre mes profondes cicatrices je ne sais pas si c’est un remède miracle pourtant je me sens déjà guéri,
C’était si simple,
Et maintenant qu’on va continuer à nouveau que dirais-je, je n’ai jamais eu réellement d’amis, à qui pourrais-je annoncer,
Une si belle nouvelle ?
Joy peut-être serait-il compréhensible ? Alors que je sais que lorsque je m’approcherai un peu trop de lui il me fuit avec la peur dans le regard,
Il me déteste parce que je l’ai si jalousement détesté.

Je n’ai plus que toi lia.

Et quand tu me demandes si tout cela, c’est terminé, que ça ne me traversera plus l’esprit,
Je plonge mon visage dans ton cou, sans hésitation.
Tout est redevenu comme avant,
Avec les coups en moins, le malheur peu présent.

- C’est du passé maintenant c’est terminé, c’est fini, nous sommes ici, Lili,
On la vivra cette vie rêvée à deux et même sous cette forme là s’il le faut, enlacés ainsi à tout jamais,
Si tu en a envie,
On sera si beau, si magnifiques.
On ne portera plus de pansements sur le visage maintenant et tout ça j’le garde derrière moi.


Mes lèvres se perdent sur ta nuque, sur le début de ton épaule,
Ma main qui s’aventure dans ta chevelure, je te veux encore plus proche de moi, je ne te lâcherai plus,
Car tu es ma seule famille.
383 — words
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nul. — notes
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Mer 22 Mar 2017 - 1:23
allez tue moi mon amour
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je commence à me dire que la vie, c'est pas forcément les enfants
c'est pas forcément le job la maison et la table servie à vingt heure trente tapante
et peut-être que tout ça, c'est la plus belle des désillusions
qu'est-ce qui est le plus paranormal, nous deux qui formons les syllabes couple ou notre présence
si on m'avait dit que ça existait, que je me réincarnerai en elle j'aurai souri un peu médisante à la personne c'est
tellement fou
j'ai l'impression d'avoir perdu mon temps en apprenant en cours car maintenant car après, ce savoir ne me sert à rien
on nous bassine de connaissances mais de connaissances pourquoi hein ça aboutit à rien on est là on est péniblement humains péniblement fantômes et toutes ces sensations que je ressens sont irréellement réalistes
tes lèvres se posent cueillent ce qui leur appartiennent profitent sûrement apprécient peut-être
mes mains viennent aussi se perdent dans ta tignasse d'ange mon rythme cardiaque augmente (étrange pour une morte)
et j'essaye de me caler au tien
à tes respirations à tout
je me rends compte à quel point j'avais besoin de toi
pas du monstre non, pas de l'ombre terrifiante de tes peurs qui nous ont tué mais de toi le mien de johan
alors je le dis tout simplement, car il n'en faut pas beaucoup pour nous deux ; car ça n'a jamais été de belles paroles toujours clair toujours en gestes concis
tu m'as manqué.
et je viens enfoncer mon nez dans ta chevelure humant ton odeur familière pourtant invisible à sa manière
beaucoup trop.
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Sam 25 Mar 2017 - 0:35
lia douce lia quand tu humes le parfum de ma chevelure,
j'ai l'illusion de frissonner à tes côtés, j'ai le sentiment que même en étant ainsi je m'envole, je plane à ton touché,
ayant perdu toute notion du temps, de l'espace,
je te serre tout contre moi, je respire à mon tour l'odeur sucrée de ta peau,
et maintenant que je n'ai plus ce lourd fardeau qui pèse sur le dos, je me sens léger,
revivre en étant mort,
c'est peut-être ça la liberté, c'est d'être ainsi, une âme errante qui retrouve son âme sœur,
un rêve caché parmi tant d'autres, celui d'être le seul à pouvoir te caresser, lili,
le seul qui peut t'entourer de mes bras et ainsi te bercer de douces paroles.
je replace mon visage face au tien avant de goûter, d'effleurer tes lèvres aux miennes et dans un sourire,
te rassurer.

- toi aussi tu m'as manqué mais maintenant,
c'est fini on est tout les deux réunit, alors profitons.


mes mains s'abaissent vers tes hanches et un peu plus bas je te saisis,
et tu montes sans difficulté, je te lève et tu poseras tes fines mains sur mes épaules pour ne pas tomber,
enfin est-ce qu'un fantôme peut tomber ? je ne le crois pas. pourtant c'est instinctif,
je te tiens parfaitement et je tourne sur moi même,
tes doux cheveux bruns qui flottent dans les airs, ton visage décoré d’un sourire, je t’admire.
on rit, on a de nouveaux dix ans,
on est de grands enfants,
puis avec délicatesse,
je t'assieds sur la table à manger, enfin imaginons juste tu es peut-être à cinq centimètres,
entre le bois et ta chair.
je t'allonge, le regard perdu vers toi, le sourire à la fois mal et sain,
mes doigts courent sur tes bras,
et j'embrasse ta joue avant d'approcher ma bouche malicieuse de ton oreille.

- profitons...

mais ce murmure là...
(... ne brisera pas le silence.)
322 — words
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bon tu étais déjà spoilé. — notes
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Ven 7 Avr 2017 - 14:28
allez tue moi mon amour
allez tue moi qu'on en finisse
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le baiser est si doux
comme une caresse
et je ne peux pas m'empêcher de sourire
p r o f i t o n s
de cette nouvelle chance de tout ce qu'on nous donne du début à la fin la plus belle expérience de ma (non) vie
si j'avais su que la mort avait ce goût
(je me serai suicidée bien plus tôt)
tu me prends comme tu avais l'habitude de le faire par les hanches et je m'accroche à ton cou par réflexe dans un élan
tu nous fais tourner et rien n'a plus d'importance que ton visage et tes traits qui sourient à nouveau
juste pour moi
tu me poses (juste une image) sur la table (juste pour faire semblant)
maintenant allongée tu me surplombes et tu es mon soleil
j'ai envie de te hurler que je t'aime et ta bouche se balade
t i c
t a c
((le soleil devient plus brûlant que réconfortant))
je ne me sens pas bien et j'ai l'impression de me perdre de tomber et de perdre la chaleur
t i c
t a c
je t'aime.
je le dis mais il n'a pas la saveur que je pensais
il me réconforte pas ce je t'aime il sonne étranger comme si je m'obstinais depuis le début
t i c
t a c
je déteste tes mains sur moi
je déteste que je sois coincée sous toi ;
je me concentre un instant pour traverser la tabler et atterrir juste en-dessous
t i c
t a c
je reprends ma respiration me met en boule à quelques centimètres du sol
jo-han.
je sais que tu t'appelles comme ça mais rien d'autre je sais juste que
tu m'as fait quoi ? tu m'as droguée pour que je me laisse faire ? t'es qui au juste ?!
t i c
t a c
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Johan Heisenberg
 
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Johan Heisenberg
aux encres des amours // johia YHY5zYV
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Mer 19 Avr 2017 - 0:19
le son du pendule,
de cette horloge ridicule qui annonce la fin, qui annonce que ça va vite,
se terminer,
s'effacer.
je ne m'y attends pas, je patiente pour ce parfait happy end,
tu sais.
j'espère qu'après tout ça je pourrais te serrer à jamais dans mes bras,
dévorer avec mes lèvres chaque doux morceaux de ton épiderme,
(ce serait trop beau.)
mais le temps coule,
d'un seul jet,
comme ton je t'aime prononcé dans le vide avec un sentiment de rien.
mon âme se froisse un court instant et alors que je m'apprête à caresser la peau tendre de ta délicieuse nuque,
tu disparais en dessous de la table, recroquevillée, ma tête plonge pour te voir, t'écouter dire,
tout ces mots qui alourdissent mon cœur.
(rire nerveux.)

- tu plaisantes ? qu'est-ce que tu racontes, tu peux pas être...

le rictus s'efface lorsque tu me questionnes sur mon identité,
je tombe.
et j'approche mes bras de toi en forçant ce sourire pour faire semblant d'être normal,
de te rassurer,
de ne pas montrer la peur qui creuse un espace entre,
nous.

- lia, c'est moi, johan ! faut pas avoir peur,
j'te ferai jamais de mal tu sais je...

(...me remémore le couteau qui se plante dans ta chair.)
...
c'est vrai, j'te toucherai plus, si tu veux.

(j'attrape ta main.)
regarde moi.

(ou non.)
car j'ai peur d’apercevoir dans ton regard,
(le néant.)
que tu sois effrayée, que tu me vois,
comme un inconnu. cet inconnu.
(et le pendule lointain,
continue sa mélodie du temps.)
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Mar 25 Avr 2017 - 0:06
allez tue moi mon amour
allez tue moi qu'on en finisse
mets le couteau dans le velours
allez fais moi de ces sévices
ft. mes bébés
décidément non ce n'est pas moi qui plaisante
je t'observe et reprends mon souffle
sois gentille lia sois gentille lia (assez assez on me l'a trop répété)
laisse-le parler
laisse-le
s'exprimer
te laisser respirer
à mes côtés
j o h a n
c'est toi johan alors
c'est toi
un murmure qui s'échoue sur mes lèvres
je m'en veux de ne pas me rappeler
tu ne me toucheras plus hein
qui es-tu johan
je serre ma main tremblante dans la tienne papillonne des cils pour chasser les larmes
déclare d'une voix sans sécurité
je te regarde.
tic tac
je contracte ma main et encore quelque chose s'évapore je pleure de plus belle car c'est terrible de se demander
((qui suis-je))
heure venue
deux tic
((quatre tac))
plus rien n'a de sens dans ma tête
alors
je m'accroche à toi parfaitement inconnu j'essaye de reprendre ma respiration et surtout je ne décroche pas ton regard surtout pas
je te regarde.
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Mar 25 Avr 2017 - 16:12
tes yeux sont devenus fontaines,
des vagues d'incompréhensions s'écoulent et je craignais tellement,
de voir dans tes prunelles luisantes,
des tas de questions que tu te poses, ce n'est plus tendre, ce n'est plus ce regard,
expressif,
que tu m'offrais avant.
ton visage me dit clairement que je ne suis plus rien pour toi.

((les secondes passent,
et tu t'effaces,
sans que je le sache.
tes larmes sont des tâches,
car devant, il y a un inconnu,
et il n'est plus le bienvenu.))

la pression de ta main sur la mienne,
pourtant je sens ta détresse,
et le tremblement de ton âme.
pourquoi se changement si soudain ?

- ça va aller...

chuchotement presque mélodieux,
je ne m'approche plus de toi, je tiens cette distance, il n'y a que nos mains,
liées,
et nos regards,
fixées.
(un mauvais pressentiment.)
il me broie de l'intérieur, il m’oppresse, il m'agresse.
et j'essaye de me rassurer juste avec toi à mes côtés.

- je t'aime lia,
tu le sais ça...


(non.
plus maintenant.)
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Mer 3 Mai 2017 - 23:36
allez tue moi mon amour
allez tue moi qu'on en finisse
mets le couteau dans le velours
allez fais moi de ces sévices
ft. mes bébés
ça va aller
comme avant une prise de sang
un examen
rendez-vous
ça va aller
ça veut dire que c'est pas la fin qu'on n'arrive pas à ce point de rupture nommé la mort
((pour nous c'est impossible de mourir en réalité))
car on l'est déjà
tu m'aimes et ça devrait me sauver comme dans ces films romantiques je devrai aller mieux recommencer à rire et me souvenir de tout ce qu'on a fait sur un oreiller ou une balançoire
pourtant je me sens partir une seconde fois
ça pourrait être un jardin une buanderie une salle de bain ça pourrait être n'importe quel lieu
((mais c'est dans une cuisine que j'ai (encore) l'impression de sombrer))
drôle d'impression de déjà-vue hein
plus rien ne va la terre ne tourne pas rond
car je me sens partir
encore
et encore
est-ce que c'est ça d'être rien, de n'être plus qu'une vague impression un souvenir qui nous laisse perplexe
qui suis-je
j'étouffe je ferme les yeux pour ne pas que tu aies à voir mes prunelles révulsées par cette douleur sourde de se sentir devenir
un
rien
et je crois que c'est trop tard car
tout est vide
tout est noir
((au revoir))
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