tandis que les frustrations tonnent telle une averse d'été
si john a toujours le coeur arraché des trahisons de lola, monsieur a encore un sourire bien aimant sur les lèvres pour sa madame : leurs fleurs intimes ne portent pas ce nom pour rien. on ne voit point les secrets honteux des campbell à leurs traits tirés. mais il faut supposer que, parfois, les adultes cèdent aux vices qu'on leur attribue- l'alcool et l'abandon. john est monsieur mais il faut croire qu'il a lui aussi des faiblesses dans ce genre quand on le voit attablé au bar dans son t-shirt blanc (il a donc ôté son costume de monsieur pour prendre un verre avec son supérieur qui est maintenant rentré pour retrouver sa fille). lui aussi, devrait retrouver sa maison aux murs blancs et aux dizaines de photos encadrées- la vue de son bras autour des hanches de sa dame sur chacune d'entre elles le questionne sur ce qu'il a raté pour en être là. accoudé et silencieux, ta présence ne lui inspire pas grand chose mise à part celle de savoir si demain tu dois répondre à tes devoirs de justicier : il laisse rouler ses prunelles jusqu'à ton verre, lui qui jusque là était silencieux dans sa presque ivresse. il ne devine pas vraiment ton animosité à son égard, le père de famille n'a plus conscience de ce genre de sensation depuis longtemps. tu es de service demain ? puisqu'il n'y'a que ton travail qui le relie à lui. (il pense, il ne connaît pas les aveux de madame effectués à tes côtés).
Faire taire le silence Feat Monsieur et, sans surprise, la jalousie qui s'invite elle aussi
Le voilà ! Le grand le beau le parfait Monsieur de toutes ces Dames qui gloussent d'enfin le voir venir succomber aux charmes des blondes légères donneuses de tournis jusqu'à siphonner vos soucis au fond du verre...
Le voici ! L'époux le père le bon collègue l'âme de fer dans le gant de coton de son tailleur sur mesure qui lui refile de fil en aiguille sa caractéristique allure d'homme carré paré aux éventualités qui à MÊME su jongler dans sa vie entre deux belles familles ! Il est là !
LA ! Assit comme si alors que du haut des petits talons laqués dans la chaumière moderne blanc cachet Monsieur a assassiné l'amour de Madame 'parait qu'il l'a vomit sur le parquet ciré 'parait qu'il l'a même pas regarder agonisé tournant ses talons larges et bien plat même pas regardé où il a marché en piétinant vingt ans Vingt ans de son amour éclaté enfin au grand jour.
Et même si cette nuit il a troqué le joli complet pour la fausse simplicité d'un blanc trop propret il ne trompe pas Jean car Jean après plusieurs tourné, plus rien ne le trompe puisque l'endroit est tout comme l'envers.
Là donc, il ne l'avait pas vu avant vous savez, après tout, il était bien trop occupé à boire ! Il en aurait presque oublié les boucles de Madame, si ce n'était pour sa présence qui fait des remous.
Mais Monsieur, on ne vous a pas sonné pour venir égrener son débit de tout son houblon ! savez-vous qu'il l'a cher payé à la sueur de son front : Le droit de boire jusqu'à être ivre par terre. De toute façons, 'parait que c'est trop tard, passé une certaine heure ce n'est plus le même Jean qui est assit Là. Il fait glisser son badge dans une poche, le temps de ses nuits, oublier le devoir qu'il doit envers sa véritable famille.
Un homme à terre une femme fourbue dans le malheur on n'embarque pas les amis ça non mais les ennemis ça oui ! Tant qu'à se rouler dans la fange, c'est bien plus sympa à deux ! Garçon ! Deux hommes à terre !
Jean, les coudes sur le comptoir, le corps avachi par dessus son quasi vide verre, tourne son visage tout de go vers Monsieur, ses yeux tristes d'avoir trop bu naviguent le long du visage qui lui parait si froid de l'agent. Jamais chaud celui-là non. Alors il ouvre la bouche et lorsque ça voix claque elle porte les effluves de l'alcool qu'il souffle en toute impudence envers ce visage glacé. C'est pas juste non, il veut le voir fondre comme neige au soleil, ou plutôt, comme sur une plancha brûlante.
Pour votre gouverne non, je suis pas de service, et pour votre seconde gouverne, vous feriez mieux de regarder le fond de votre verre au lieu de celui des autres, qui sait, avec un peu de chance vous pourriez y repêcher votre dignité de mari.
Après tout, comme en cet instant, l'alcool donne du courage à l'idiot, et de son point de vue, vous en êtes tout deux un chacun à votre manière.
codage par evil triangle.
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Lun 21 Mai 2018 - 23:48
tandis que les frustrations tonnent telle une averse d'été
c'est parce que tu es jeune jean, dans ta trentaine à peine amochée que tu prononces des mots comme cela ? tu as réussi à troubler monsieur ! peut-être n'aurait-il pas du retirer cette armure de soie et rester en costume... ses sourcils se froncent doucement avec une lueur trouble implémentée dans ses iris et ses lèvres se pincent d'incompréhension. est-ce donc péché de dédier certaines de ses oraisons nocturnes à l'alcool..? est-ce donc une tare de céder parfois en public ? le bar achalandé cède sous le poids des rires trop nombreux et il sent le plafond s'effriter au-dessus de lui : cette poussière de personnes l'empêche de respirer pendant quelques instants. john, parfois, cède dans l'ombre de ses murs blancs : mais peut-il retirer le masque de monsieur en cet instant ? non, même sous les effets de l'alcool il doit continuer de faire semblant de porter cet amour camaïeu à sa dame. oh tu sais... ce monsieur là n'a rien de sibyllin, juste troublé de n'avoir nul part où aller. s'il n'y'a même plus la chaleur du chez soi dans l'alcool alors : j'ai besoin aussi de faire des pauses parfois. des pauses ? mais john est constamment monsieur ! je ne pense pas que cela fait de moi un homme indigne de lola de parfois céder et venir boire un coup ici, si c'est ce que tu sous-entendais. il en oublie cet amour qui semble si orthodoxe aux yeux de tous mais qui le poignarde de silence chaque jour un peu plus : il faut oublier, john.
Faire taire le silence Feat Buvez Monsieur ! Buvez buvez !!
Le voilà il est là oh tu sais qu'il dit il est là le monsieur dans toute sa splendeur le monsieur qui ne pense même pas UNE SEULE seconde qu'il parle d'autre chose. Bien sûr Jean se monte la tête : Aah, il pense que Madame serait pas venu m'en parler hein ! il pense que je suis juste ce policier qu'il ne connait que de nom et de métier ! Tu n'as rien compris ! comme il pense que John n'a rien compris à sa dame.
Jean n'a rien d'un chevalier blanc, pourtant il endosse le rôle comme s'il lui allait comme un gant. Lui aussi veut en porter un, de gant, sur mesure, tout comme lui, un autre gant que celui de cette brûlante tristesse qui l'habite depuis si longtemps. Il se racle la gorge bien trop longtemps pour que ça soit juste par inconfort, ce qu'il racle, c'est son dégout et la dérision de la situation.
Ce que je sous-entend Monsieur n'a rien à voir, au contraire je vous dis de boire ! Buvez Buvez ! Buvez et peut-être que vous retrouverez un peu de sens, un peu de dignité ! Buvez ! Buvez !! Il lève son verre, avant de finir de le vider et d'apposer son plat lourdement contre le comptoir, en commande déjà un autre. Et lorsque vous aurez bien bu, peut-être que vous aurez enfin les couilles de retourner voir votre Madame pour vous excuser.
Ah, ça claque comme un fouet, comme ses lèvres à nouveau entre elles, comme une évidence pour lui. Il étire un sourire vengeur sur sa trogne saoul, vous regarde d'autant plus fier de lui, si fier qu'il en échappe même un petit rire mauvais. Buvez buvez ! qu'il pense encore, qu'il pense encore que Madame ne voulait pas rester boire avec lui, mais que c'est Monsieur qui veut bien s'indulger dans son pêché, Ah, que le monde est injuste !
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Mer 23 Mai 2018 - 21:52
tandis que les frustrations tonnent telle une averse d'été
c'est l’incompréhension vaine qui coule dans ses veines à cet instant : chacun de tes mots lui semble familier sans qu'il puisse les comprendre. monsieur n'est pas allé à l'école du cœur. il ne saisit pas cette rage inadaptée quand tu souris, quand tu grognes et quand tu respires- sa présence est-elle insupportable à ce point ? john te donnerait bien des cours de messieurs, les impudents dans ton genre se doivent d'apprendre à s'énerver élégamment. ses doigts se contractent autour de son verre puisque l u i sait se contenir (c'est vingt ans d'entraînement tu sais). toutefois, il se veut mordant pour te faire reculer, pointer sa froideur d'agressivité tranchante. s'excuser ? quelle idée ! et de quoi tu te mêles, de toute façon, avec ton imperfection qui le tâche ? ce ne sont pas tes affaires, jean. je pense que tu devrais arrêter l'alcool pour ce soir. sa raison s'empresse de vouloir écarter de toi cette nouvelle et fraîche liqueur censée t'apaiser : pour l'instant, il n'aura pas à se lever pour faire taire le tonnerre. calmer tes injustes ardeurs.
Faire taire le silence Feat beaucoup d'amour pour vous voir chuter
Gnagnagna qu'il garde pour lui, mais son faciès mime la grimace tout de même. La plaisanterie est de courte durée, tout de suite, il s'enflamme face aux serres de Monsieur qui viennent se saisir de son péché.
Regardez-vous !
Le ton monte et sans grâce mais munit d'une grande maladresse, il vient empoigner le verre par le haut avec un geste brusque comme s'il essaye de l'arracher à l'emprise de Monsieur. C'est plus simple de tourner le dos à son reflet et de pointer celui d'un autre du doigt. Surtout que quand la réflexion tangue, l'image à tendance à se renverser et nous tacher comme le liquide qui s'étale dans un doux bruit de fracas contre le comptoir.
ça suffit ! se dit Jean mais il ne peut pas juste se lever et ignorer le verre renversé, c'est vrai peut-être qu'il est saoul, pas qu'un peu et même plutôt beaucoup mais pas assez pour ne pas avoir peur de causer trop de dégât. C'est son endroit favoris ici (alors il le chérit) lorsqu'il a besoin d'arborer son côté le moins favorisé par les bien pensant comme vous, Monsieur. lorsqu'il n'en a plus rien d'un. plus l'air du tout alors il trouve que c'est même pas la peine de faire semblant (et encore moins devant vous puisqu'il vous maudit et qu'à défaut de réussir à émuler votre exemple il se contente, pense se pâmer, après plusieurs bières : d’être votre contraire) il étale un bras cette fois-ci, s'en sert comme chiffon pour la boisson gâché et oh vous savez bien qu'il n'en a plus rien à faire à cette heure-ci d'une manche mouillée collée d'alcool ou de larmes c'est un peu la même.
Vous vous comportez comme si vous étiez parfait ! Il tape du poing après avoir bien usé de son huile de coude pour nettoyer, secoue sa glotte d'un rire bref d'un rire fou d'un rire enivré parce qu'il dit enfin tout haut ce qu'il pensait tout bas : Mais enfin vous êtes exécrable !
Pourtant elle l'aime quand même, cet apparent glaçon qui lui l'effraie assez pour armer sa colère de risible sermon. s'il radote dans son coin il parle pour vous Monsieur mais il parle surtout un peu pour lui :
comment vous pouvez plus ne plus la regarder ?? Elle est si belle, et son ton appuie le joli mot d'un fond désireux mais réaliste, comme on laisse trainer un vieux vin qui a tourné. Si belle votre dame. Elle est pleine d'amour votre dame, pleine à craquer ...
ça déborde dans son rire ourlé dans ses pleurs maquillés, il y est encore à ce soir là, assit au bar, oui c'est le même soir elle vient de partir et vous arrivez, le répit s'est oublié entre vous deux.
... Vous la méritez pas... et dites pas ce qu'j'ai pas dit j'vous vois venir ! J'ai pas dis que je la méritais mieux que vous je suis pas aveugle non plus. Mais vous, vous Monsieur ! Vous avez tout pour la mériter et vous préférer tout gâcher, alors qu'elle vous aime tellement, ah mais c'est sûr si vous la regardez plus comment voulez vous le voir, tout cet amour ...
Jean ne peux pas ne pas en faire son affaire il ne peux pas comprendre non pas dans cet état rétamé par les langues de feu qui pourlèchent son estomac, qu'il trépasse dans un plat où ses pieds ne devraient pas se trouver. Ce devait être un secret bien gardé, un petit joyaux oui Madame qui se confie à lui
mais comme les langues de feu ça lui avait laissé au matin il suppose un vieil arrière goût de kleenex usé puis jeté (de bouteilles brisées à ses pieds). Alors même si Madame est belle, Monsieur en petit copeaux de verres éparpillés serait encore plus beau. Qui sait, l'exécrable qu'il est se révèlera peut-être appréciable une fois ramené au niveau du pécheur. L'idée de chuter à deux flambe son estomac alcoolisé.
... t'façons, y a que les faibles pour se faire influencer par les morts. Dire que je croyais que vous étiez fort.
Jean est bien placé sur son tabouret, fier de la claque verbale moins fier de savoir de quoi il parle mais ça, on en parlera pas, c'est pas lui le roi ce soir pas Jean mais toi John.
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Sam 18 Aoû 2018 - 21:26
tandis que les frustrations tonnent telle une averse d'été
c'est fou comme tu es débordant d'humanité en cet instant. tu cherches à creuser monsieur en cherchant john, tes doigts grattent cette terre fertile à la recherche des racines - pour les arracher ? pour les replanter ? il ne sait plus trop en cet instant si tu es hostile pour leur bien ou pour le casser en mille morceaux de verre.
toutefois monsieur est un beau diamant et à force, john a réussi à prétendre à l'être aussi : tu essayes de faire résonner sa colère par la tienne, de fêler sa surface, mais ni la stature et ni l'homme ne cède à tes fureurs.
il te laisse reprendre ton verre si cela peut calmer tes nouveaux feux.
parfait ? exécrable ? tous tes mots sans contenance glisse sans l'atteindre suffisamment car monsieur n'est pas un héros, monsieur n'est pas un grand homme : lui aussi, a la douceur des fautes qui rendent sa bouche plus amère. lui aussi ressent, lui aussi tremble ! lui aussi a déjà pleuré, humble, lui aussi a déjà rugi mais tu sembles inconscient de tout cela jean - et c'en est à chialer de froid.
monsieur reste silencieux. john aussi.
doit-il lui dire que ses œillades s'adressent encore à cette silhouette, à ce jean qui n'entend plus rien ? à ce jean qui semble prétendre bien les connaître les anciens amoureux transis, les anciens gouverneurs de cet univers uniforme. et c'est bien pour cela que monsieur ne décoche pas de moue et que ses sourcils se défroncent : il sait tout sans ne rien savoir ! ce n'est qu'un collègue et c'est en ça que c'en est lassant, car même si faire semblant restera si facile les bavards parleront.
doit-il tout couper pour même faire taire les jérémiades des horribles jaloux ?
sûrement. monsieur voudrait- john non.
il n'est pas question de faible en amour, pas question de faibles pour le cœur : que des ressentiments oui, tous à la même hauteur. il n'y'a que des maîtres et pas de disciples une fois la barre des trente ans passée.
jean s'il te plaît, arrête.
et même si cela te plaît pas, il faudrait que l'oiseau moqueur cesse de pinailler dans les ailes de ces deux colombes.
Faire taire le silence Feat une guerre qui n'est pas la sienne
Il a palabré de tout son saoul, mais rien ne tinte dans sa tirelire à la fin. Il était pas peu fier pourtant, il s'était senti capable de renverser des montagnes sur le coup, d'ébranler les statues et vous révéler colosse aux pieds d'argiles. mais voilà les babillages sont fini et contre votre faciès n'a point glissé le si lisse voile de marbre. Les émotions étouffent sous son poids opaque. De l'autre côté de cette sinistre image, votre voix résonne plus grave qu'elle ne l'est vraiment. plus distante aussi, de celles que l'on atteint jamais, de ces hommes qui dans leur mur se sont fait dieux consciencieusement ou non : grands, à l'allure miséricordieuse, au jugement impartial. de ceux
Jean...jean....
qui ne s'occupe pas de vous rendre la pareille quand vous les désignez de façon formelle. (il le crucifix du regard)
est-ce que je vous ai déjà appelé John une seule fois ? jamais. il effectue une pose, il réfléchit. Son visage est si statique que ça en ferait peur, sa voix, devenue d'un placide malaisant, résonne tout de même de colère au fond. jamais non. Est-ce que je vous ai autorisé à m'appeler Jean ? jamais. Jamais-. les dents serrées il a lâché se second-ci avec la véhémence d'un chien qui n'est pas prêt de délivrer sa proie. John n'aurait pas du tenter la ténacité d'un Jean bourré, oh non, l'ivrogne qu'il est n'aime pas qu'on lui dise de se taire, il a toujours tant à dire, Ah ! et ça fait un bien fou ! avoir enfin le pouvoir de dégueuler toute son ire ! Il ne veut plus jamais s'arrêter.
-OH mais Monsieur Campbell est au dessus de tout ça ! avec son petit verre de tafiotte a se donner des airs de penseur ! du plat d'une main il frappe le comptoir une première fois, Au dessus de la répartie, puis une seconde, au dessus de me dire de me la fermer proprement parce que ça en vaut pas la peine hein Campbell, de hausser le ton pour un pauvre con comme moi !- puis une troisième, le barman qui essuie des verres au loin, lui jette un regard préoccupé mais Jean ne voit plus rien d'autre que vous. Il n'a plus le temps de se préoccuper du reste, il veut dégobiller jusqu'à en devenir muet.
-C'est pas la peine de rouler vos manches parce que c'est pas grave que je vous traites de tous les noms, on dit bien que la bave du crapaud n'atteint pas le blanche colombe hein ! Vous venez vous pavanez là tel un Paon dans l'antre des vrais gens, dans votre détresse toute fictive ! "Ah ! ma femme ma menti par amour ! voilà et bien je déverse cet amour, 20 ans d'amour, dans le caniveau !" C'est vrai c'est pas bien de mentir, c'est sûr vous n'avez jamais menti Campbell, surtout pour quelques chose d'aussi peu concret que des personnes mortes voilà des dizaines d'années ! cette fois-ci il frappe comme un instant plus tôt, du poing et se lève du tabouret. Mais non je vais pas arrêter non J.O.H.N ! sa voix porte pour une fois, plus que la musique, il y a un silence, mais Jean est sourd à l'écoute des autres, il n'essaie de se faire entendre que de vous, il hurlera s'il le faut. aime-la si t'es un h o m m e J o h n, mais bien que dans sa caboche, cette phrase tonne, il la siffle avec hargne du bout des lèvres, mais non tu peux pas, t'es allé, et quand bien même il ne tient pas droit, debout, il vient quand même agripper du bout du bras votre chemise bien repassée, à l'épaule, déposer tes couilles sur votre perron avant de détaler comme un félon. puis de donner un coup sec en arrière sans vous lâcher pour autant, il veut vous voir tomber de votre trône, sa raison à fini de quitter son foyer, il ne choya plus que sa rancune. C'est toi qui va arrêter de te comporter comme un Caporal Campbell quand tu fuis au premier combat !
Campbell Campbell à la dame si belle, elle ne mérite pas si terrible chevalier, mais quelque part au fond de cette colère qu'il t'adresse en toute lettre, il y en a une autre par dessous adressée à la belle. Peut-être bien que si, Jean pense au fond de lui, qu'elle a le chevalier qu'elle mérite. (il repense que 22h, c'était vraiment tôt pour le délaisser, elle aurait pu au moins faire semblant une minute, rien qu'une minute de lui demander à lui, à Jean, pourquoi il boit pour qui il a bu)
codage par evil triangle.
Edit : on a rien vu ptn je suis dans le turfu à 3h du mat jpp