| Lun 10 Oct 2016 - 15:58 | | charlie lancelot wolf feat cross marian - d gray man tu me crèves le cœur Surnom ♦ Wolf. Âge ♦ 34 ans. Date de naissance ♦ 24 août. Lieu de naissance ♦ Foxglove Valley. Nationalité ♦ Américaine. Occupation ♦ Directeur de Pricefield Academy. Pouvoir ♦ Transmission. Symbole ♦ Briquet à essence.
mental Charlie, c'est un brin de provocation, un soupçon de désir mal assumé et surtout beaucoup de faux-semblants. Il ment comme un arracheur de dents. Enfin, il se joue de vous. Il fait semblant d'aimer la fête. Il prétend apprécier votre compagnie alors que c'est un loup solitaire.
À cause de son faciès abîmé, il n'a pas eu la vie facile. Ce n'était pas comme s'il en avait grand chose à faire, après tout, il en avait déjà eu une de vie. Du coup, il prend tout le monde de haut, se sent supérieur de tous ceux ou celles qui croisent son chemin. Après tout, lui sait, vous non. Et même si vous saviez, il n'a aucun scrupule à faire en sorte que cela ne soit plus le cas.
C'est un être blessé, qui aurait pu être aimé, choyé, adoré, mais au lieu de ça, il a été réduit en esclavage. Esclave de la mémoire et des souvenirs. Heureusement, il a pu se libérer, une seconde fois.
Peut-être qu'un jour, il comprendra, qu'il n'est pas obligé de fuir, qu'il n'est pas obligé de se forcer à rire. Qu'exister suffit pour ne pas gâcher sa vie. souvenirs effacés Nom ♦ Inconnu. Prénom ♦ Charlotte. Avatar ♦ Kaine de NieR. Nationalité ♦ Américaine. Occupation ♦ Fugitive.
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Jamais les voiles de la mémoire ne s'étaient levées pour aussi jeune éveillé. Ce n'était pas ce qui était prévu. Oh pauvre Charlie, Charlotte d'une autre vie. Si seulement tu étais resté bien sagement sur ton lit, si tu n'avais pas rampé en grenouillère jusqu'à ce tiroir mal fermé, et que tu n'avais pas tenté de te hisser, jamais, ou peut être plus tard, tu aurais été exposé à cette scène d'adieux délicats. -Promets moi que nous nous reverrons. -J'aimerais pouvoir. -Promets-le-moi juste. -J'ai déjà eu ma deuxième chance. -Cela ne se peut. -Tu es ma deuxième chance. Jamais je n'aurais pu espérer en avoir une meilleure. -Ne me mens pas, tu es le seul qui ne doit jamais me mentir. -J'aimerais pouvoir. Mais tu verras, sans moi, ta vie n'en sera que meilleur. Crois-moi, aie confiance. Confiance, comment pourrait-il avoir de nouveau après avoir été bercé dans ce sentiment actuel de désespoir. Comment espérer après une telle morsure au cœur, pouvoir rêver ne serait-ce qu'un seul instant échappé à l'ironique fatalité qui semblait l'avoir frappé ? "C'est l'heure Charlotte. Allons, hâtes toi. Il me tarde de me débarrasser du souvenir de cet odieux dîner. Voyons, ne te fais pas prier. N'oublie pas que nous t'acceptons bien que tu ne sois pas vraiment de la famille. Savoure ta première existence. La seconde est bien moins douce." Le petit Charlie était étendu sur le sol, couvert d'objet en tous genre. Des clés, un zippo, un coupe-papier, des fioles colorées, des paquets de cigarettes vides. L'essence du briquet se déversant, coulant le long de son cou pour se répandre sur le carrelage. La lampe à huile désormais dans un équilibre précaire. Quelle idée avait bien pu avoir sa mère de vouloir lui donner une lumière naturelle quand les veilleuses électriques faisaient si bien l'affaire ? -Mais voyons ma chère. Comment pourriez-vous le savoir ? Vous n'étiez pas à ce dîner. -Mais je ... -Encore ces histoires que pourtant, vous vous en souvenez. Vous savez ce qu'on appelle les filles de votre espèce Charlotte ? Des menteuses. -Mais je ne suis pas une menteuse. -Très bien, si vous n'en êtes pas une, alors vous êtes une sorcière. Et vous savez ce que l'on fait aux sorcières ? On les pend et on les brûle. - ... -Est-ce comme ça que vous souhaitez finir votre vie ? - ... -Allez, il suffit à présent, allez quérir la bouilloire, je l'entends siffler. Et que je ne vous reprenne plus à tenter d'épater la galerie ... Excusez la, elle a tendance à écouter aux portes et à s'imaginer des choses. Pauvre enfant. Oui, pauvre enfant trop submergé par cette ancienne réalité pour appeler à l'aide. Le désespoir qui grignotait le cœur suffocant de Charlotte s'attaquait désormais au siens. Il était elle, elle était lui. La lampe à huile finit par tomber et commença à enflammer la flaque où baignait le bambin. Enfin, un cri s'arracha de sa pauvre gorge serrée. Arrachant les doux rêveurs qu'étaient ses parents de leur séance spirite. Vite, vite avant que votre tendre espoir ne soit réduit en cendres. -Mais pourquoi ne se souvient-elle pas ? -Elle doit forcément en être une. -Une freesia ? Je refuse. Ma fille ne sera pas une freesia. Tu m'entends, ce n'est pas ma fille. -Voyons Viviane, avec ces choses-là, on ne sait jamais. -C'est ... décevant. -Ne t'en fais pas va, je suppose qu'on lui trouvera bien une utilité. derrière l'écran jpp de vous tous. |
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