en cette soirée, il y a tant de fumée, de vapeur d’alcool, de rires désinvoltes, de chaleur intense et de pensées frivoles, et ils écoutent tous un son électrisant au rythme ahurissant, il y a une atmosphère débauchée qui fout presque la nausée, et parfois l'inconscience prend la parole et les corps deviennent ecchymosés, à vouloir danser sans se questionner, ils se prennent des coups, des bouteilles en verre contre les crânes, des poings, ils subissent de tout. et les jeunes fracassés n’ont pas l’air de s’ennuyer, les jeunes enlacés ont bien l’air de s’amuser. dans un coin, lyh, un type qui se concentre sur la fabrique de son joint, de l’autre côté, il t’a remarqué, la jolie, et te rejoint, il s’en fiche, s’en tape des conséquences, s’en cogne que son cerveau déconne, de toute façon cette fête est déjà bien trop conne, ça part trop en vrille toutes ces conneries. il aspire la fumée qui crève ses poumons, mais il assume pleinement cette saloperie, enfin près de toi, yong hui fait un peu la gueule, mais il a le sourire qui commence à prendre forme sur ses lippes fines, il a les yeux plissés, comme s’il voulait lire dans tes pensées, ((si belle dauphine)), il crache la brume odorante vers ton opposé car il veut être galant pour pouvoir flirter, puis il ouvre la bouche libre de son bédo qu’il tient en main avec fierté.
.ennob se't -
((retournement de situation)), il rit un peu, puis reprend une bouffée de son petit poison. mais quel c o n, il veut t’impressionner c’est sûr, mais quel i d i o t, il se rend même pas compte à quel point c’est dur, de pas rester sérieux face à toi, alors il regarde tout ce monde, il pense que toute cette situation immonde, c’est le quotidien qu’il se tape chaque seconde. ((il se sent comme une radio sale qui offre des mauvaises ondes.))
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Dim 10 Déc 2017 - 20:26
du haut de tes talons de glace tu danses et tu t'éclipses tu traces ta route dans ton blouson dégueulasse
le maquillage vieillit et efface les moeurs quatorze vingt trente trois ans- peu importe tant que la folie nous emporte elle danse et rit amber- débauchée et libérée des masques et des fils- des emprises paternelles et de l'adolescence cruelle ici tout le monde s'amuse ici tout le monde s'en fiche de ton prénom de ce que t'as dans le pantalon tant qu'on consent à l'orgasme à la débride jouissive de la démence là avachie sur un vieux tonneau transformé en ce qu'on veut car l'imagination prime elle observe et s'abreuve de cette drogue vitale de la fête qui bat son plein tu t'approches toi doux prédateur (tu sais c'est un peu de la triche elle est pas du genre à dire non aux mauvais garçons comme toi elle préfère vos bras que vos insultes) elle sifflerait presque avec admiration la délicate attention d'éloigner le joint- mais elle aime l'odeur dégoûtante qui fait tourner la tête .renruot tôtulp siaf ? tnemelleutibah seugard ut euq aç emmoc tse'c elle se relève et réclame- tend la main pour un baiser indirect rejoint par la drogue et ses sévices ((quoique si vos lèvres se joignent, ça lui irait tout aussi bien elle sait pas si elle te trouve pas mal à cause de l'alcool ou que c'est normal)) sans lâcher ton regard elle sourit ses prunelles d'or remontées de khôl, donzelle en courte jupe et débardeur ((traces de jeunesse tâches de rousseur)) cachées par les lumières et l'étalage de maquillage elle tangue un peu c'est l'alcool qui coule- pour s'écraser en destination finale contre toi sale cliché américain- vieux film cheap peut-être qu'elle a juste besoin du contact d'un corps contre un autre
il a voulu faire le beau, jouer aux plus malins, frimer avec sa fausse intelligence, mais quelle négligence... il aurait pu trouver un autre moyen de t’épater, une façon plus impressionnante de t’amadouer, il se retrouve bête devant toi, sa bouche ouverte comme un trou à rat, ses lèvres pâles tombent comme si son visage allait se décomposer, tu peux même croire qu’il a chopé une saleté qui lui donne ainsi la nausée. mais lyh ne chute pas plus bas, au contraire il veut te montrer que tout est parfait, et puis ça y est, ça commence bien, vous avez un point en commun, et rien que pour ça, il est tant satisfait, ô tendre diablesse, tu as réussi à le surprendre et après que sa face dégénère, tout ce monde ivre n’entend plus ses rires vénères, d’enfant enfermé dans un corps d’adulte, tu sais, celui qui pour un rien te hurle dessus d'innombrables insultes. il lui file alors sa première amante à moitié entamée, car il sait que c’est grâce à elle que vous allez pouvoir vous enflammer.
...siavas el'j sionihc ne relrap ud siarua'j ,niatup -
ses prunelles ne te loupent plus, il semble même t’examiner, de la tête jusqu’aux pieds, puis après un instant de réflexion, il n'est pas très convaincu.
!! niradnam el sdnerpmoc ut euq sap tuotrus tid em te... -
puis l’euphorie s’installe (beaucoup) mieux lorsque ton corps se colle contre lui, il en profite même, alors c’est son bras qui t’entoure, les vapeurs et odeurs d’alcool virevoltent dans la nuit, pour le bonheur le plus malsain, ((il n’y a plus aucun retour)).
? resuma't xuev ut -
et quand lyh dit amuser, ça rime surtout avec abusé.
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Dim 7 Jan 2018 - 22:30
du haut de tes talons de glace tu danses et tu t'éclipses tu traces ta route dans ton blouson dégueulasse
elle s'empoisonne à deux doigts saisit la splendide pour la glisse dans sa bouche- la baise sensuellement de ses lèvres amoureuses elle aspire son odeur et son goût se laisse succomber et garde la fumée dans les poumons un instant- c'est délicieux et elle ne veut jamais oublier la sensation ça lui décoche quelques rires tes remarques elle te rend la précieuse et se love contre toi se laisse aller à tes bras qui quémandent à ses yeux un peu de débride (papa ne serait pas fier de toi zachary) elle fait taire ces voix malines et laisse échouer ses lèvres contre ton cou des zones qui devraient restées intouchables à son âge elle relève ses yeux vers toi à son aise contre ton corps laissant la musique se bercer- elle n'est pas amoureuse mais déjà conquise par ta nonchalance d'adulte encore enfant resuma's sap emia'n iuq ? c'est bien pour ça qu'elle est là elle se décharge des responsabilités et des terreurs- du manque et des mœurs elle s'abreuve pour revenir dans le réel conquérante et gagnante elle a un sourire taquin un peu grand et un peu charmeur- elle oublie son adolescence et elle se sent femme dans tes bras bien que ce n'est pas forcément ce qu'elle cherche le charnelle et la pente descendante iouq sesoporp em ut ?
il y a quelque chose qui lui plaît dans tes rires, en général tous les éclats ont tendance à l’agacer, cette fois il laisse tout passer, pour cette soirée il a presque décider de les chérir, peut-être que l'herbe lui joue un tour ((mais ça sera jamais grâce à elle qui comprendra ce terme lourd qu'est l'amour)), lyh est emporté, presque possédé par la folie que ce moment lui procure, elle lui permet de faire filer la pression - d'une vie pleine de punitions - à toute allure. coquette au visage angélique, aux baisers diaboliques, une simple inconnue qui bientôt ne le sera plus, après tout quand on souhaite faire la fête c'est surtout pour partager un instant, apprendre à se connaître en si peu de temps, même si parfois cela ne dure pas longtemps, même une nuit, ça serait mieux d'oublier ce qui peut nous d é t r u i r e, peut-être que toi à ce moment là tu comprendras que les mauvais garçons comme lui, comme lyh, n'a qu'un seul but dans la vie : nuire, avec grand p l a i s i r.
.ici'd essac's no ,sneiv .yako -
alors lyh passe une main impulsive contre ton minois pouponné, il saisit ensuite tes doigts avec force mais sans aller trop loin, voulant (un peu) que tu comprennes ses désirs insoupçonnés, ça serait dommage après être restée si longtemps dans un coin… il te tire, prend une bière sur le chemin, sort de la salle, avant d’exprimer sans gêne, ((toutes ses pensées un peu sales)).
? mon not iouq tse'c .ferb .sab-àl luc ud suort sércas ed emêm dnauq tiava'y .ria'l ed neib ud tiaf aç niatup -
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Mer 17 Jan 2018 - 23:19
du haut de tes talons de glace tu danses et tu t'éclipses tu traces ta route dans ton blouson dégueulasse
oh bel inconnu que tu es plein de douceurs pour elle dans tes gestes et dans ton regard- elle se sent mourir dans tes bras et ça toujours un peu plus mauvais garçon ou plus respectable peu importe ce qui demeure vital est le bon goût de tes lèvres et ton respect envers elle (le consentement c'est toujours grand et primaire comme besoin- elle aime avoir le choix et vaquer parmi vos désirs plutôt qu'en assouvir que ceux d'un) -sius et ej. qu'elle prononce à demi-voix sans jamais te lâcher- elle reste là tout près de toi et te relâche la pression une fois dehors l'air entrant enfin dans ses poumons en transe neib ud tiaf aç siauo. elle prend une grande inspiration et regarde le ciel sans étoile- puisque l'éclipse perdure et qu'il fait toujours aussi chaud elle n'a pas froid dans ses résilles et son haut qui dévoile juste assez pour toi elle retourne son nez de lutin vers toi un mince sourire aux lèvres- s'étirant comme pour s'apprêter à faire une longue course sans arrêt iot te rebma ? elle s'arrête un instant pour mieux reprendre nalp not iouq tse'c ? resoporp em à xueim sa't is siam têrof al snad sapmys snioc sed siannoc ej... et la brise vient balayer ses cheveux synthétiques comme dans un mauvais film adolescent- elle n'est pas énamourée mais il n'y'a que ses prunelles vertes d'or qui te transpercent en cet instant
il y a les lampadaires qui clignotent près de la maison où le rythme gronde, lyh pourrait se croire dans un de ses mauvais films d’horreur, avec cette atmosphère sombre de terreur, il n’est pas ici pour chasser les mauvaises ondes, encore moins le cercle immaculé du soleil, toujours caché dans le ciel. ((putain d’eclipse sans fin, à cause de toi, lyh reste un peu sur sa faim, de n’y rien comprendre — surtout quand il pense en apprendre plus puis il ne sait toujours rien, un sentiment qui le tiraille, qui s’en va et revient))
pour lui, se présenter ce n’est pas bien compliqué, (surtout devant une petite poupée) il a l’habitude de répéter son nom aux autres cons, incapables de retenir, et devant eux, il n’a qu’une seule envie : celle de vomir, ((car mourir c’est beaucoup trop, pour de tels idiots)
.retivé à tnos sertua sel ,éréférp monrus nom tse'c .hyl elleppa'm no rineter à tnaihc tse'c emmoc siam ,iuh gnoy elleppa'm ej -
son regard se perd sur le sol, au moment où lui vient une pensée folle, il sait ce que tu vas en penser, mais peu importe, il écrase à l’aide de ses belles pompes, les feuilles mortes, puis continue son chemin dans une ruelle un peu plus loin.
.duahc ua resop em ed eivne tuotrus ia'j siam ,apmys tse'c têrof al ,iarv'c -
ses yeux courbés de façon sournoise analyse tout autour les habitations, et surtout, sans aucune surprise, les plus grandes maisons. (il va te montrer ce que c’est de perdre la r a i s o n) il les épie avec une certaine fascination. puis il aperçoit cette jolie villa, avec la piscine couverte, pas de voiture garée à la place concernée. une belle découverte...
? non ,resop's ruop tiafrap ria'l a aç ici -
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Lun 19 Mar 2018 - 0:08
du haut de tes talons de glace tu danses et tu t'éclipses tu traces ta route dans ton blouson dégueulasse
la folie de la nuit la folie sans lumière la jeunesse avance se prélasse sur le béton brûlant sans soleil elle ne marche pas tout à fait droit mais ne tangue pas non plus ses remords sont loin et elle est déraisonnée de folie rebelle elle a envie d’avoir le goût d’adrénaline que tu sauras lui offrir elle le sait car même si elle est ivre de fête elle sait reconnaître cet éclat familier que les adultes sans raison se donnent la possibilité de tout juste pour s’amuser elle approuve d’un mouvement de tête tout ce que tu dis à coup de mhmh et sans jamais s’arrêter seulement quand toi tu décides elle tourne son nez un instant vers ton minois pis reprend du côté de la maison avant de se mettre à rire elle lève son pouce et s’avance sans se poser de question sautille jusqu’à l’abris en te laissant ouvrir la porte jusqu’à s’engouffrer en riant oh boi. elle ne parle même plus à l’envers ça sort tout seul elle allume son portable en lampe torche pour un peu de lumière et le laisse non loin de la piscine vide ses poches et saute dans l’eau toute habillée dans un grand hurlement de rire sans discrétion t’invitant à faire de même
à l’instant même où tout cela commence, il ressent en lui une danse de diablesses, dénudées de toute tendresse, et cela n’a rien d’une foutue romance, c’est simplement l’excitation qui se mélange à une certain confrontation. ô la jeunesse, plus le temps passe, plus elle dure et elle (re)tarde, alors lyh en garde, un sentiment piquant, des souvenirs (presque tous) poignants, mais l’éternel enfant, qu’il est, en veut beaucoup plus, encore, encore et encore (jusqu’à ce qu’elle le répulse), or, ce serait un simple désaccord, avec la folie qui lui souffle à l’oreille la vie est courte putain, on finit tous par mourir, (peut-être revivre), au final, elle n’est r i e n.
lyh il est de bonne humeur, et les rires d’amber sont pour lui, une symphonie en leur honneur, elle fête la décadence de cet univers, alors il se laisse charmer par l’odeur de chlore de la piscine, et même si logiquement nous sommes presque en hiver, le temps lui, s’est figé en été : il se jette enfin dans la grande bassine.
- putain !!
il reprend son souffle après avoir goûter la tasse, et dans ce genre de situation, ça passe ou ça casse.
- le ou la proprio devrait plus souvent nous inviter.
il finit par remarquer que son habitude à communiquer à l’envers s’est aussi envolée, et parfois c’est rassurant, pas besoin de réfléchir, son esprit n’est plus isolé. il agite ensuite les bras vers toi pour t'asperger de cette eau trop saine, (qu’elle en devient malsaine), et ses risettes malines éclatent dans tout le jardin, la rue, la ville peut-être ? yong hui s’est trouvé la partenaire idéale, celle avec qui il forme le paire tordue, celle avec qu’il y aura toujours des imprévus. lyh est satisfait ; il n’y a rien d’autre à ajouté. point final.
si seulement, c’était la v é r i t é ; le destin nous ment. ((ils seront bientôt de retour dans la réalité…))