I disliked the unfamiliar happiness than the familiar sadness
Surnom ♦ milles et une insultes Âge ♦ la vingtaine Date de naissance ♦ 10 Janvier Lieu de naissance ♦ un trou Nationalité ♦ allemande Occupation ♦ se faire voir Pouvoir ♦ destruction Symbole ♦ pilule | |
mental
irresistible curious little bastard
Hide, tu trouves pas que tu es trop posey? Tu trouves pas que tu te permets trop de trucs? C'pas parce que tu as parlé avec ce mec hier dans l'bus que t'peux venir squatter son apart'.
Faut arrêter ta curiosité, aussi. Que ce soit à propos de tes souvenirs ou de ce qui se cache derrière la fenêtre buée de la maison d'en face. Tu es prêt à tout pour assouvir tes envies de connaissance. Tu dois savoir la recette secrete de la sauce de ton fast food favoris.
Ça en est devenu un besoin vital.
Tu as beau te faire battre pour avoir fouillé un peu trop loin, tu n'as toujours pas capté le message.
Tu souris, tu fais l'idiot. T'aimes ça, les conneries. Tu es sociable et ton attitude chill attire les gens. Bien que parfois arrogant et cru dans tes mots, cela ne semble pas déranger la plupart de la foule. Bâtards pour certains, coup de cœurs pour plusieurs. Alliciant, tu sembles n'avoir aucun soucis, tu bombardes les êtres s'approchant trop de toi de promesses et de beaux souvenirs. Ils s'attachent à toi, meilleurs amis ou pas. Peut être même que tu es devenu son p'tit copain, à cette personne. Des rires, des journées consécutives d'aventures et de folies. Une partie de jambes en l'air, maybe.
Une journée passe, puis deux et trois. Pas de réponse. Leur patience se détériore et ils décident d'aller te voir dans ton apart'. Ils sonnent. Ils attendent. Ils remarquent le mauvais état de la porte et se demandent si elle était toujours comme ça. Aucune réponse. Encore. Ils utilisent la clé en dessous du p'tit tapis, car tu es trop cliché pour le cacher ailleurs. Ils rentrent et le choc.
Un désordre pas possible. Des vases brisés. Toute les portes et placards ouverts. Aucun signe de toi. Pas de vêtements. Le frigidaire encore rempli, certes, mais même ta petite valise qui était toujours dans le coin de ta chambre a disparue.
Ce n'est que plus tard qu'ils comprennent.
Tu as laissé tes meubles et t'es parti.
La raison? Un murmure. Une menace.
Hellébore.
Hide, tu as beau avoir une belle gueule, tu es vraiment laid à l’intérieur. Tu es sale, d'abandonner les gens qui te chérissaient comme si ils ne comptaient pour rien à tes yeux. Toutes tes promesses brisées, tes souvenirs de chaleur et de bonheur, tu en fais quoi?
Alors, ils te maudissent. Ils commencent à penser que ce n'était qu'un jeu pour toi, qu'ils n'avaient jamais eu une place dans ton cœur. Ils regrettent d'avoir partagé leur peine, leurs petits secret et leur affection avec toi. Ils te haïssent et se disent qu'ils te le feront payer si un jour ils te croisaient. Surtout pour ceux dont tu étais leur bien-aimé.
Et toi, pendant ce temps, faisais d'autres victimes. Tu t'installais dans un autre quartier et tu accumulais de nouveau des amis, des frères, des chéris et autres personnes qui allaient à leur tour se faire abandonner et te détester.
Ils remarquent qu'en fait, ils ne connaissaient rien de toi. Tu es un humain cauteleux qui passe partout et nul part, evanescent.
Tu n'aimais pas les gens qui en savaient trop sur ta petite personne. Tu obombrais toute évidence de ton existence et si tu sentais qu'on en connaissait trop, tu partais. Pour ceux qui s'accrochent trop à toi et finissent par te retrouver, tu décides d'employer les mensonges. Tu les blesses et les brises.
Et pour les quelques rares qui tiennent encore à toi malgré tout ça, c'est simple; tu leur effaces tout souvenir te concernant.
Tu fais ça aux membres de Hellébore d'ailleurs, rendant ainsi ta capture extrêmement coriace.
Puis dans ta prochaine nouvelle identité, tu te renfermes plus. Tu deviens amer et t'attaches moins au gens. T'es un peu plus insupportable, vulgaire et chiant. Un je-m'en-foutiste au corps fébrile et à l'esprit vacillant. Tu rêves d'une thébaïde, d'une vie paisible où la constante peur et le stress d'un futur sans souvenir ne cogne pas à ta porte.
Tu caches tes soucis dans la drogue et les somnifères.
Tu es fatigué, Hide.
histoire
Tu te caches, Hide. Tu gardes tes souvenirs pour toi et évite avec fluidité les questions des plus curieux. Tu mimes l'ignorance alors qu'en fait c'est juste à ça que tu penses.
boîte à souvenirs
Nom ♦ ??? Prénom ♦ ??? Avatar ♦ Ashley Park; Siobhan Chiffon Nationalité ♦ ??? Occupation ♦ sale gosse de riche
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the cold. the pain. silent cries. red everywhere.
Tu étais attaché sur une chaise renversée au sol, valétudinaire. Une odeur de poussière et de rouille envahissait tes narines. Le sang caressait ta bouche incarnate, tes épaules tremblaient silencieusement. Tu reniflais et mordait ta langue, suppressant tes plaintes. Tu sentais tes joues mouillées.
Ils t'avaient trouvés. Tu ne sais pas qui, mais tu sentais que tu fuyais depuis très longtemps d'eux.
Tu as fait copain-copain avec les mauvaises personnes.
Tu t'es trop mêlé. Tu as trop fait ton curieux et maintenant ton cerveau contenait des informations beaucoup trop importantes et dangereuses.
Tes assaillants ne savent pas quoi faire.
Ils lâchent leur frustration avec violence.
Tu ris.
Tout était flou autour de toi. Tes oreilles bourdonnaient. Tu sentais des pas s'approcher.
Tu dois mourir, tu comprends? C'est ce qui arrive aux gens trop curieux. Sans rancune.
Sans rancune ouais mon cul.
Tu veux te venger. Tu sais pas comment encore.
Cependant si ils sont aussi résolus à garder les informations que tu as appris secrètes au point de te tuer...
alors tu allais pas oublier.
Juste pour les faire chier.
Tu murmuras quelque chose — tu ne te souviens pas quoi. Tu sentis un coup contre ton visage et le noir englouti aussitôt ta conscience. Un froid glacial, un battement qui s'affaiblit.
Plus rien.
Une seconde chance? La vie se foutait de ta gueule.
Tu sentais que ta nouvelle existence ressemblait trop à ta précédente.
Tu espérais juste qu'elle ne finirait pas de la même manière.
derrière l'écran
wsh cc le peuple je suis une personne qui fait tiep et qui dit que de la merde mais vous pouvez me crachez dessus j'vais rien dire jsuis gentil #fragile.