♦ Harland se déplace en scooter mais il a toujours pas le permis (genre il roule dans les rues piétonnes et sur les trottoirs, là où il passe c’est toujours le bordel) (il met jamais son casque aussi).
♦ Un peu pyromane sur les bords il s’amuse à faire cramer des trucs pour passer le temps et bien sûr une fois sur trois il perd le contrôle du coup il panique et il court partout jusqu’à ce que ses hurlements aient ameuté tout le quartier
♦ Il finit tous les quatre matins en garde à vue
♦Tous les policiers du commissariat de Foxglove Valley sont ses potes maintenant
♦ Toujours entraîné dans des affaires ultra louches contre sa volonté juste parce qu’il est un peu trop curieux et qu’il comprend jamais rien
♦ Adore les vide-greniers et les brocante, passe son temps dans les décharges publiques, les terrains vagues et les maisons abandonnées à la recherche de  bidules (il est actuellement très fier de sa collection de roues de vélo)
♦ Il connait pratiquement tout le monde en ville, il a une sacrée tchatche
♦ Ultra social, réussi toujours à s’incruster dans les fêtes même si il connait pas les gens
♦ Hyperactif, bizarre, et surtout duper
♦ A arrêté l’école en quatrième mais très bon en math du coup c’est lui qui gère la compta du cirque
♦ Il fait aussi partie de ceux qui s’occupent des animaux - et c’est tous ses bébés
♦ D’ailleurs il adore les animaux, il ramène tout le temps au cirque des chats ou des chiens qu’il trouve dans la rue (« on peut les adopter svp ») - la plupart du temps ils appartiennent déjà à quelqu’un, ils ont même des colliers et tout et tout
♦ Officiellement il est formé pour devenir illusionniste - il est ultra fier des tours de magie débiles qu’il connaît déjà du coup il les montre à tout le monde.
♦ Le genre de mecs qui t’envoient des vines chelou à quatre heures du matin (« regarde dude c’est un canard QUI FAIT DU SKATE AAAAAAH DU SKATE FEQKJFBKJDBFQKJBFQKBFQKJB » « j’espère t’as regardé » « svp c’est trop drôle » « allô » « pk tu réponds pas » « ok friendship ended with you »)
♦ Ultra expressif, gueule tout le temps, connait pas la retenue ni la discrétion
♦ Toujours dans l’excès
♦ Dab à la moindre occasion
♦ Archétype du mec hyper grand maigre et maladroit qui se pète la gueule tous les deux mètres
♦ A toujours des pansements et des bandages partout parce qu’il se blesse avec le moindre truc qu’il utilise (un jour il s’est coupé le coude avec une miette de dorito)
♦ Complexe secrètement sur ses oreilles décollées et sur sa silhouette longiligne - il essaye tous les mois de se mettre au sport mais il est mort au bout de cinq pompes
♦  Le plus gros mangeur que t’as jamais vu pourtant il prend pas un gramme
♦ Il aime le poulet frit plus que sa propre vie
♦ Sacré champion de course en caddie par ses potes
♦ A un dossier « memes » sur son portable
♦ D’ailleurs il a toujours un vieux samsung à clapet
♦ Il prend des photos de tout et n’importe quoi avec (des poubelles, des mamies qui font leur course, du rayon boîtes de conserve au mini market du coin) mais elles sont toujours floues parce que c’est un bolosse
♦ Il les montre quand même à tout le monde
♦ Change de couleur de cheveux tous les deux jours
♦ Se met à danser (mal) dès qu’il entend de la musique (genre même au beau milieu d’une conversation ultra sérieuse « VAS-Y C’EST MON SON » ; serait le fan numéro un de Maitre Gims si il était français ; mais bon il habite aux USA alors c’est plutôt Nicki Minaj/Iggy Azalea)
♦ Goûts très douteux mais a étonnamment un style vestimentaire streetwear assez cool
♦ Croit dur comme fer au paranormal - tous les jours il remercie Dark Vador le colonel Sanders la providence de vivre à Foxglove Valley
♦ C’est très difficile de savoir ce qui se passe dans sa tête, lui-même il sait pas, il a toujours dix-milles idées à la seconde, l’une des questions qui l’angoisse le plus c’est « à quoi tu penses ? »
♦ Personne comprend jamais ce qu’il fait ni pourquoi il le fait et lui non plus (« alors tu vois là j’essayes de fabriquer un éléphant en pneus – bah oui grandeur nature quel est l’intérêt sinon – euh bah chai pas où j’vais l’mettre j’ai pensé à l’mettre dans l’enclos des lions ça leur rappellera un peu la savane nan ? J’sais pas »).
♦ Pro du photobomb (il le fait jamais exprès mais il est toujours là sur tes photos avec une tête ultra moche tu sais pas pourquoi)
♦ Actuellement impliqué dans mille bromances
♦ En général on l’aime bien parce que même si il est très bizarre c’est un bon poto, tu l’appelles à midi ou à minuit il rapplique sur son scooter, il est toujours là pour toi, pour tout, et n’importe quoi.

« Wesh euuuh désolée pour le retard dude. »
Comme d’hab il a débarqué sans prévenir – dérapage à peine contrôlé - les petites mamies dans la rue sont un peu choquées parce qu’il a failli te renverser (mais ça t’y es habitué). Lunettes noires sur le nez pansements ensanglantés sur les joues et épluchures de pomme de terre dans les cheveux – le style Harland sur son scooter déglingué.
Sifflement bien lourdingue en guise de salutations distinguées.
« Hey mademoiselle t’es charmante ça te dit j’te dépose quelque part ? »
Derrière ses ray-bans de contrefaçon tu vois pas son regard fiévreusement éteint mais t’es pratiquement sûr qu’il t’a fait un clin d’œil en mode gros beauf – boulet.
« Euh par contre j’ai encore oublié le casque déso »
Ça rate pas ; aujourd’hui encore, tu regrettes d’être monté sur son putain de scooter.
« Pardon pardon désolée -- oh salut Jean-Michel ça va la forme ? »
Cata zigzague entre les passants, les poteaux, les voitures, les feuilles mortes et les déchets sur les trottoirs – de temps en temps (un peu trop souvent à ton goût) il lâche le guidon pour faire un signe aux gens qu’il connait, voire il dab si il croise un bro (l’ennui c’est qu’il connait beaucoup de monde et qu’il aime aussi beaucoup de monde) - sérieusement tu te demandes encore comment il a pu survivre jusqu’ici, Harland.

Sa personnalité est aussi loufoque que sa vie est insensée. La légende – parce qu’il y a un genre de légende qui l’entoure, Harland – raconte que le directeur du cirque de Foxglove Valley l’a trouvé dans une poubelle alors qu’il s’apprêtait à jeter un bucket vide de KFC (c’est pour ça qu’il s’appelle Harland, parce que c’est le prénom du Colonel Sanders, le glorieux inventeur de la franchise Kentucky Fried Chicken que Cata remercie tous les jours en savourant ses manchons de poulets frits) (d’ailleurs Trash est super fier de son patronyme qu’il considère comme un héritage culturel de très haute valeur). Il a été élevé par Monsieur Loyal et les membres de sa troupe mais on l’a sans doute bercé trop prêt du canon parce que quelque chose est définitivement déréglé dans sa tête, à Harland. C’est pas qu’il soit abruti Cata, il est même définitivement pas con ;  seulement il a un peu (beaucoup) de mal à concilier son monde intérieur avec celui dans lequel il évolue au quotidien. Déjà à l’école ça se sentait, qu’il était un peu timbré. Halrland c’était le genre de gamin étrange et intriguant qui s’asseyait toujours au fond de la classe pour faire des trucs incompréhensibles – quand il était en primaire sa passion c’était de craquer des allumettes en plein cours (le moins discrètement du monde bien évidemment) (le nombre de fois où le dirlo du cirque est venu le chercher à l’école en le tirant par les oreilles) (aujourd’hui Trash est persuadé que c’est à cause de ça qu’il a les oreilles décollées et pour ça il en veut profondément à Monsieur Loyal). Ça lui plaisait pas, de passer ses journées assis sur une chaise à écouter du blabla dont il ne savait que faire – y’a pas de place dans son petit univers pour les faits, les dates, les grands noms de l’histoire. Harland il a toujours eu envie de liberté et d’aventures – et avec lui la moindre petit sortie à la décharge se transforme en véritable odyssée épique parsemée d’embûches : monstres fantastiques (la vieille carcasse de voiture se métamorphose en lion au cuir impénétrable), épreuves impossibles (la pile de déchets moisis prend la forme d’une gigantesque montagne à séparer), quête fabuleuse (le moindre bidule devient un trésor d’une valeur inestimable) – passée au crible de son imagination - filtre étincelant - la vie de Harland elle devient totalement trépidante. Le monde regorge de merveilles, y’a plein de pépites d’or dans la boue du réel – et Trash en aucun cas il ne veut manquer tout ça. Alors il va il vient çà et là en quête de la fortune ; tous les jours est un nouvel assaut sur les mystères de l’existence. Il veut essayer plein de trucs, sentir, ressentir, éprouver, connaitre, vivre – quitte à se péter la gueule en scooter tous les jours ; quitte à se retrouver en garde à vue après avoir cramer pour la millième fois le truc qu’il fallait pas ; quitte finalement à échapper à la normalité tranquille d’un quotidien rassurant et confortable.
Journaux sous le bras – ou packs de lait – ou sacs de course (ça dépend du petit boulot de la semaine) il est toujours là, à caresser un chat, à parler avec le vendeur de kebab, à errer au hasard des mouvements de sa pensée. Il a des machins plein les poches et des lumières dans les yeux – son esprit c’est un genre de supernova instable qui explose à l’infini encore et encore. Harland il saute de toit en toit à la poursuite des étoiles – parce qu’il pense sincèrement qu’en prenant assez d’élan il arrivera à rattraper le ciel.
Trash il est paumé mais c’est parce qu’il fait exprès de se perdre ; il est bizarre, mais c’est parce qu’il oscille constamment entre tout un tas d’imaginaires. Il ne se demande jamais d’où il vient, mais où il va. Il est heureux de sa vie continue et sans direction ; il est heureux de grimper, de tomber, de s’écorcher, de s’époumoner, de brûler, d’exister.
Harland il est heureux parce qu’il pense que tout est possible.

hiiiii ton dc. je.
ah.

j'ai perdu les mots.
il a un caractère perché mais omg cmt je l'aime, c'est trop un precious en vrai même si c'est une tête à claques.
je crois que j'ai un crush.
hiii.
j'te rappelle qu'il nous faut un lien.  

Tu peux faire ta fiche de lien.
Tu peux faire ton portable pour spamme tes potos.
Tu peux faire une demande de rp.
Et surtout amuses-toi avec nous, comme toujours.