Mon cœur tu as tes raisons Son cœur tandis, s’emplit d'horizon d'antan. Ces vagues ridules à venir (pourtant déjà passées) ; tu t'étais bien gardée de vraiment lui dire ce qu'il en était n'est-ce pas n'est-ce pas mon cœur ? (il s'était bien gardé jusqu'à présent de se dévoiler) qui a si mal qui bat si vite bat tant et tant qu'il se déplume et dans le fond de ses oreilles la pulsion de ces battements effrénés (qui) piaillent piaillaient chanteront sûrement une prochaine nuit (c'était au petit jour pourtant)
La lumière du matin est si crue comme filtrée par les lucarnes en mirage en fond de pensés au fond de soi trottent dans la caboche ou plutôt volettent en tout sens de leur tachent lumineuses réfraction de la lumière qui petit à petit plus elle s'étend plus elle s'éteint plus elle s’éprend plus il y a méprise Mon cœur tu as tes raisons Il a les siennes pleines de questions et de frustrations
Lorsqu'il arrive Jaakoppi sur le lieux du rendez-vous hebdomadaire ce n'est pas non pour faire des ricochets ni pour jouer à l'apprenti sorcier c'est fini tout ça vous êtes tous des sales petits menteurs (par omission) Bientôt Jaakoppi aura onze ans mais c'est fini le temps des rêves d'enfants déjà (déjà) il sait bien oui qu'il ne la recevra pas à présent sa super lettre elle ne lui sera jamais envoyée et toi avec tes sourires en sucre ta bouche en cœur tes jolis cheveux dont les cascades blondes se secouent en doux mouvement lorsque tu ris de ce rire qui en rétrospective lui est insupportable à présent. (qu'on lui coupe la tête pour faire taire les bons moment)
Heart pourquoi pourquoi pourquoi tant de pourquoi et il sait déjà qu'il y aura tout autant de parce que parce que tu es comme eux dans le fond Tom Léa Pastel du pareil au même (tous des menteurs) vous aussi vous êtes des fleurs et les fleurs c'est pas sorciers, les sorciers ça existe pas y a juste des fleurs et puis voilà avec votre éclosion vous avez fanés ses rêves de faux garnement.
Il aurait préféré Jaak que jamais ne naisse votre bourgeon que jamais ne naissent ses aspirations en lui, cette folie de vouloir rêver plus longtemps que l'âge permit par les grands. Il aurait préféré Jaak savoir qu'il n'y avait jamais eut d'avant Il aurait préféré Jaak être l'avant pour ne pas à avoir à réparer le tout dans le présent. Mais c'est fait maintenant n'est-ce pas et Jaak il ne veut pas non plus plus plus jamais Laisser des grands et faux enfants avoir la mains mise sur le restant des miettes de ses rêves d'enfant.
Voit comme il a mit ses belles baskets les moins abîmées du lot son plus beau blouson son t-shirt le plus blanc s'est bien peigné comme une sage image (politesse que l'on met sur les i avant de les faire crisser) c'est officiel aujourd'hui il n'a que l'air civilisé mais il est là pour cracher tout son désespoir et au fond tu le sais tu le sais bien mon cœur ( encore une fois être réconforté dans tes bras) . Après les avoir tambourinés cette fois-ci si fort à vouloir les briser comme des baguettes. Massacrer ton coffre jusqu'à rendre tes bassesses muettes. Pourtant Il a envie de te faire avouer (entre deux échos silencieux) avoue tous leur péché les tiens comme les siens comme les leurs comme ceux de Tom Léa Pastel Avoue donc que ce qu'il tiens entre ses mains en t'attendant auprès de l'eau (autrefois si pleine de bon souvenirs mais aujourd'hui emplis de regret) n'est pas que le reflet du soleil contre les cascades pas qu'un mirage oh non qu'il n'est pas un sombre rêveur en cet instant.
Jaakoppi est venu chercher le oui oui qui confirmerait la trahison de son cœur tant chéri jusqu'au dernier moment jusqu'à croiser ton regard et y lire dedans : tu sais bien.
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Sam 25 Nov 2017 - 23:27
AS YOU FLY AWAY GIVE A SMILE FROM YOUR LIPS AND SAY I'M FREE, YES I'M FREE, NOW I'M ON MY WAY
Les pieds posés sur l’herbe, l’un après l’autre, les cheveux blonds doucement caressés par le vent léger, Heart danse, danse au rythme de la bise qui l’accompagne. Heart s’aventure dans l’épaisse forêt où elle élit domicile en compagnie de sa chère Pastel, l’imagination débordante transformant sa promenade routinière en une aventure prodigieuse. À la recherche de la lumière de la lisière. Elle, l’exploratrice amatrice. Elle sautille désormais à la cadence des battements de son cœur en quête de chaleur, en quête de joie car aujourd’hui, aujourd’hui elle va à la rencontre du petit Jaakoppi. L’adorable Jaakoppi, le petit Jaakoppi avec ses yeux émerveillés, le petit apprenti magicien attendant sagement sa jolie lettre pour l’école des sorciers.
Heart a revêtu sa jolie chemisette. Sa jolie jupe, ses petites chaussures. Son fidèle et éternel chapeau. Heart se réjouit. Car Heart ne sait pas.
Car Heart ignore ce que tu lui réserves, Jaakoppi. Elle, elle vous imagine déjà simuler des magiciens comme dans la série fabuleuse de J.K Rowling. Jaakoppi, peux-tu lister les caractéristiques des plantes magiques ? Voudrais-tu en savoir plus sur les animaux fantastiques ? Heart longe la rivière cristalline la tête remplie de fantaisies, les yeux étincelant comme les éclats réfléchis par l’eau scintillante, impatiente de partager ses rêveries avec toi son si cher ami. Elle a tellement hâte de t’enseigner ce qu’elle a imaginé après la saga Harry Potter dévorée. Et elle finit par croiser ton regard avec quoi elle répond d’un habituel sourire rayonnant.
« Jaaaaakoppi ! »
Elle s’apprête à venir vers toi pour t’enlacer. Mais elle se stoppe, interloquée. Tu as revêtu tes plus beaux habits, sans doute les plus jolis. Toutefois, qu’est-il devenu de cette étincelle de rêverie ? Dans ton regard devenu plus dur. Un petit coup d’œil jeté au livre qu’elle détaille et qui n’est guère un Harry Potter. Les secrets de la réincarnation.
Heart se fige toute entière, les paupières battant frénétiquement comme seule signe de son organisme ne répondant plus. Elle se questionne, se questionne sur tes éventuelles interrogations. Car tu en as, n’est-ce pas ? Et ton petit cœur fait mine qu’elle ne sait pas. Car elle a peur, peur de ce que tu t’apprêtes à dire. C’est son cœur qui bat à toute allure et c’en est presque douloureux. Elle a le pressentiment qu’au moindre murmure de sa part, votre amitié volera en éclats. Comme du verre. Elle n’est pas si stupide, Heart…Que veux-tu lui faire avouer ? Au fond, elle le sait, mais souhaiterait détourner le sujet dans sa plus grande lâcheté.
« Quelque chose ne va pas ? »
Car oui, Heart est une fleur. Une fleur parmi tant d’autres. Et que deviendra-t-elle sans son rayon de soleil ?
#E0A0B1 DATE /// NOTES CE RETARD EST IMPARDONNABLE DESOLEE
bouclent bouclent les affreuses pensées tandis que tes pas tamises les feuilles oranger puis l'herbe humide. se multiplient les chemins à prendre sans bon sens puisque c'est dans tous les sens que ça oui s'entortillent les boucles qui sautillent contre tes épaules à ton arrivé, encadrent ton visage angélique tant de bordel si beau bien ondulées, comparées aux siennes toutes au fond de son cœur qui font des nœuds coupe sa respiration Il...ça...lui prend la...gorge si sèchement...et tout... à la fois si lentement. (déglutit) expire et son souffle lui manque déjà pas le courage non c'est l'asphyxie de son amour tu vois lorsque ton cœur loupe un battement le sien en a déjà loupé trois. cette halte si marquée, frappée en lui en toi, contre le sol encore tendre : c'est l’aveu tant redouté.
maigres mètres qui vous séparent, il aurait espéré que tu continues ton échappée que tu viennes l'achever l'entourer de tes bras et le serrer si fort jusqu'à ce que le bleu de sa naissance fleurisse sur son faciès peiné par à présent l'évidence. (c'est oui ?) fleurs fleurs corrompues ce n'est pas ça qu'il reproche quand sa poigne se resserre contre la bordure élimée du livre. on n'y peut rien n'est-ce pas ? vous êtes nés comme ça lui aussi. vous avez pas eut le choix ça tombe bien lui non plus. ça tombe bien parce que ce n'était pas ça le choix. n'est-ce pas mon cœur qui s'effrite ? alors que tu ne l'as même pas ne serait-ce qu'effleuré encore, du bout des doigts. Jaakoppi s'avance mais, défiance, les lésions sont bien présentes et pulsent sur le tempo du mot trahison qui vibre telle une longue chute d'eau bouillonnante. Cette fois-ci, dans un seul sens.
Ce muscle, il l'a actionné un milliard de fois, pour des raisons diverses et variés, comme tous les humains tu vois, il l'a rembourré de tous ses souvenirs, de toutes ses émotions, il y a mis beaucoup, oui on peut le dire beaucoup de cœur à vivre jusqu'à présent. Mais ce cœur peut-il toujours considérer qu'il lui appartient dit ? Toi qui dans ton cœur a sûrement eut bien plus le temps que lui pour le border de soie, la même que tu as utilisé à chacune de vos escapades pour l'endormir dans ce cocon d'inepties. Le choix c'est de ne pas chercher à endormir le pot aux roses. est-ce que tu sais au moins ce qu'il est ? est-ce que, est-ce que tu l'as fais en connaissance de causes ? Ces mensonges éhontés, les tapisser avec autant de précautions au fond de (oui on a compris) Sans penser au jour tu sais puisqu'un muscle est fait pour se contracter (comme sa mâchoire lorsqu'il s'arrête à quelques centimètres) ton mur de bric et de broc s'est déchaussé, les morceaux plantés de toute part dans...
mon cœur...a fleurit dans son regard la plus grande déception la plus triste des désillusion l'avènement de la fin de vos jeux d'enfants.
tu savais, les myosotis, les magnolias, qu'Ilvermorny n'existe pas. mais pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? toi tu n'avais pas jugé bon en laissant fleurir son imagination en débandade. tu savais, et ça voix deviens plus rêche, hausse le ton, il t'aurait poussé gratuitement s'il ne t'aimait pas autant, pour les pouvoirs, les esprits mémoriels, pour Tom Léa Pastel.
vole en éclat la belle défaite puisqu'une telle cruauté non il ne peut pas la concevoir se morcelle sous l'eau saline le visage décomposé par la douleur
et tu n'as rien dit...
pianissimo le murmure étranglé qui s'échappe par chance de sa gorge. c'est la dernière chanson des oiseaux avant qu'ils ne deviennent muet, ce petit air qui a convolé dans ses entrailles et le fait sangloter avec colère. Ils n'en sont que plus vide des leurs. Mais ça se tiraille en lui comme des proies en cages (en cages elles étaient) dit qu'il ne dit pas dit quelque chose répare donc l'irréparable devant ses yeux brouillés, son nez qui coule, renifle, ses lèvres tremblotantes, ses sourcils qui tressaillent à essayer de froncer au delà de sa morphologie, ses pommettes martelées plus par ses vents internes que la brise de la plaine et d'autre détails encore qui au fond, peuvent tout autant s’apparenter à une crise de sale gosse si ce n'est, entre deux roulements de larmes contre sa peau à feu : Le mistral qui transperce de son regard, s'enfonce dans le tiens tel un jugement sans appel comme le couteau qui a percé par dessous les fragiles côtes. (plic ploc le sang par terre du cœur trop naïf d'avoir fait confiance) (dire que ta main tendue semblait si douce quand au creux reposait les succulentes chimères.)
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Mar 12 Déc 2017 - 21:51
AS YOU FLY AWAY GIVE A SMILE FROM YOUR LIPS AND SAY I'M FREE, YES I'M FREE, NOW I'M ON MY WAY
Elle savait… Oui, elle savait, et tu l’as si bien deviné Jaakoppi.
Elle connaissait la triste réalité qui se cachait derrière ce mensonge si joliment créé. Elle connaissait la vérité étouffée dans cette histoire d’apprentis sorciers. Bien sûr qu’elle le savait, petite Heart, et trop expressive, elle le prouve avec cet arrêt trop prononcé, trop démonstratif de son choc. Oui, elle sait. Mais elle ne dit rien et attend.
Toi non plus tu ne dis rien.
Il y a toujours dans les airs ce silence si bien marqué, toujours ce calme dans lequel se niche la tempête tant redoutée. Tu ne parles toujours pas, Jaakoppi. L’un après l’autre, tes pas vers elle résonnent comme ce qui précède la cruelle sentence. Comme la guillotine qui viendra lui trancher la tête. Cruelle punition – bien méritée ? Comme si désormais elle n’était plus qu’une fleur que tu viendras cueillir impitoyablement, sans défense. Privée de son droit de vivre… Tu ne parles toujours pas, Jaakoppi. Tu laisses cette ambiance pesante transpercer son cœur. Tu laisses tes yeux exprimer toute ton intense douleur. Tu ne parles toujours pas, Jaakoppi… Et ça la tue…
Le temps semble figé pour elle, les secondes se transformant en interminables heures. Il y a ton cœur qui se contracte, et le sien qui tambourine d’anxiété contre sa cage thoracique. Car Heart a toujours été ce petit cœur qui ressentait trop. Trop, trop, trop de tout, tout le temps. Et à présent, elle ressent trop. Trop de stress quand tu craches enfin le morceau. Trop de tristesse quand elle voit tes sanglots couler sur tes adorables joues. Trop de peine de te voir ainsi outré et blessé par ses propres inventions. Trop de culpabilité d’être l’auteure de cette plaie…
Les myosotis, les magnolias, les pouvoirs, les souvenirs, sa famille, la fiction que représente Ilvermony… Elle savait tout alors que tu ne savais rien.
Elle savait que la réalité terne n’avait rien de magique, rien qui ferait briller tes petits yeux d’enfant à l’imagination débordante, toi qui la prenait pour une créature fantastique. Elle savait qu’un jour tout briserait en éclats mais elle préférait t’emporter dans son petit monde de rêverie. Comme une mère souhaitant ancrer dans la tête de son enfant l’existence du Père Noël, parce que c’est tellement plus beau d’y croire. Tu ne trouves pas, Jaakoppi ? C’est tellement plus beau d’avoir ces iris qui pétillent d’émerveillement, au lieu de ce regard rempli de désillusions si propre aux adultes…
Tête penchée, les yeux au sol, petite Heart ne dit rien, ne fait rien. Rongée par une culpabilité grandissante semblable à celle d’une enfant qui croyait bien faire, elle reste aussi silencieuse qu’immobile. Petite Heart ne répond pas, écoute le bruit de tes reniflements saccadés qui font l’effet d’un coup de poignard, et elle n’ose pas même faire face à ton visage décomposé. Elle s’avance finalement. Elle se dirige vers toi sans t’adresser le moindre regard, t’enlaces délicatement comme elle l’a toujours si bien fait jusqu’ici pour te consoler et resserre son étreinte. La tête posée contre ton épaule, il y a son chapeau qui tombe au sol mais elle ne le remarque même pas.
« Tu avais l’air… tellement heureux d’y croire. »A toutes nos aventures... A toutes nos escapades... A toute notre amitié...
Sa voix se brise en mille morceaux, pourtant elle ne pleure pas. Elle essaie, En espérant que tu pourras lui p a r d o n n e r.
DIT QUELQUE CHOSE s'apprête à hurler l'enfant blessé mais Heart tu as toujours été de celles que l'on nommerait maman sans hésitation, munit du sens inné de savoir naviguer en eaux troublées. Alors tu sais qu'aucun mot ne peu enrailler la machine qui vient de démarrer non ce n'est pas ainsi que l'on procède on huile les rouages pour que les grincement cesses juste assez, que son sang circule sans blocage, pas de trop non plus pour éviter qu'il n'éclate ses veines dans une colère chaude de ses larmes. C'est à ton tour de t'avancer de l'embrasser de tes bras protecteurs. parce que ton cœur l'aime, comme jamais Tom Léa Pastel ne l'aurait fait parce que c'est toi la belle boucle d'or, que même transformé en ours affamé de questions et de leurs réponses il te suffit avec tes menottes pleines de bonnes intentions : de l'enlacer juste comme ça rien de plus rien de moins parfait équilibre ce n'est qu'à ce moment là que l'on peut émettre l'idée de se faire pardonner quelques mots d'amour qui referme la terrible cage, piège implacable du pardon des mamans : Comment en vouloir à celles et ceux qui ne pensent qu'à notre bien ? (qu'il aimerait pouvoir en douter) (mais même cela lui est refusé oh si seulement tu étais Tom Léa Pastel Mais tu as raison tu es son cœur et en tant que tel, tient en otage toute sa raison par les sentiments)
Le livre s'étale au sol lorsqu'il fait le choix de te rendre la pareille et de t'enlacer fort, plus fort que toi, fort comme s'il voulait te briser en deux même s'il n'en possède pas la force, assez fort pour te casser oui entre ses doigts et enfin se libérer de ta magie enfantine de celle qui ensorcèle l'esprit de celle qui enivre celui-ci dès la moindre brèche détectée : à la colmater à profusion de pardon dans l'espoir qu'elle s'en aille. Tu as raison mon cœur, Jaakoppi est tellement heureux d'y croire c'est pour ça qu'il est si malheureux de savoir au final ce bonheur factice. C'est tout ses espoirs que tu portais, il t'a tout confié entre les doigts Heart, qu'en as-tu fais ? qu'à tu fais ? et ça bout en lui malgré la justesse de tes sentiments, la machine ne peut s'empêcher de s'emballer plus y pense plus ça monte en lui, cette injustice dans laquelle tu le fais baigner c'est terrible Heart terrible il a tellement envie de ce que tu fais ce câlin, cet amour de reboucher les fuites de son cœur ça l'asphyxie définitivement, il le veut mais il ne peut pas le recevoir tu n'as pas le droit de lui faire ça tu n'as pas le droit de l'enterrer entre tes bras, le couvrir de ton amour tu n'as pas d'excuses toute faite alors il devient la tienne c'est- ça ? (ça serait de sa faute ? d'avoir trop voulu y croire ? d'être trop enfant, tentant pour tes mensonges en manques d'affection ?) Trop facile Trop facile
Trop...facile...
délie son emprise réciproque, pose ses douze doigts sur tes épaules, te recule en tendant ses bras. Non. Dans ton étreinte il est heureux, dans ton giron il peut s'endormir et rêver rêver si longtemps...mais la vie n'est pas un rêve, Jaak n'est pas du genre à être bluffé par cette perdition, pas avec les conditions dans lesquelles sa maman (sa vraie) et lui avait vécu jusqu'à il y a pas longtemps. Il l'aurait été si ça venait de lui, mais de toi ? la tromperie n'est pas assez sienne pour qu'il la renie. Son regard darde le tiens d'un courroux silencieux. (ses larmes se sont taries, épongées dans tes cheveux d'ange) T'as pas d'excuses alors tu fais comme si ça venait de moi tout ça ? je peux pas te pardonner si t'es même pas honnête au moins avec toi-même.
Ils ont même bu l'animosité qui aurait du régner dans sa voix, ne reste que le ton morne de ceux qui retrouvent leur chez eux déchiré après l'orage.