blanc comme un cachet, rouge comme une traître (amélia)
Johan Heisenberg
myosotis
Messages : 1011
Pouvoir : manipulation
Symbole : pomme.
Occupation : étudiant et casse-couille.
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Mar 16 Mai 2017 - 13:35
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Regarder par la fenêtre, c'est désastreux, c'est malheureux, ennuyeux. l'odeur du trop propre du trop chimique du trop malade et du trop regrettable. allongé sur ce lit dont le parfum ne me rappelle rien, ni même les pensées néfastes qui font le tour de mon cerveau. j'ai peut-être bien frôlé la mort, mais vous m'en avez empêché, disparaître était selon moi la meilleure des solutions, pas pour vous tous, non, peut-être que vous appréciez joy le maladroit, joy qui sème le malheur, avec toutes ses erreurs. j'ai eu le droit à quelques visites, de papa, de regal aussi, de ce policier un peu trop collant, de ces gens qui s'inquiètent, qui m'offrent ce soutiens là dont j'en ai peut-être besoin. mais toi, (n o n.) toi tu ne peux pas poser ton pied dans cette chambre trop éclairée, où le petit écran allumé et ancré sur le mur en face de moi, tente simplement de me garder éveiller. (quand je dors, je vois des images trop nettes, trop sombres, trop ternes. des hallucinations visuelles, auditives, où j'entends des hurlement, je vois des cadavres par milliers, avec tous le même visage. et, c'est le m i e n.) mes yeux t'effleurent, tu sembles heureuse, toi. (tant mieux c'était ce que je voulais réellement.) ((mais plus maintenant.)) tu sembles venir juste par respect pour moi, car avant, toi et moi, nous nous sommes aimés, en silence, (en souffrance.) mais non, tu es une traître, tu es celle qui a tout gâché ce début de bonheur, pour deux fantômes brisés.
- amélia. (je ne te regarde pas.) pourquoi t'es là ?
pourquoi après ce que tu leur as fait tu reviens, comme une fleur, (empoisonnée.) te montrer si désolée pour ce que moi j'ai pu faire ? c'est triste de se dire que maintenant, (j'ai appris à te détester.)
tag: amélia. | notes: salu.
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Mar 16 Mai 2017 - 23:04
J'aimerais que tu sois là, juste pour leur donner tort
je pourrais t'écrire des sonnets des vers des rimes riches et des alexandrins j'aurais pu faire ça joy chanter notre gloire et nos amours passés t'écrire un poème de nos misérables exploits j'aurais pu mais j'ai seulement un sac en papier sous le bras avec deux bouquins (astronomie et légende) un bouquet de fleurs bien trop cher dans l'autre main je viens te voir toi joy aujourd'hui le tendre myocarde palpitant ne régit plus qui n'est roi de mes nuits je prie que tu n'es plus souffrant car je m'en voudrais un peu d'être si heureuse alors que tu souffres c'est à mon tour d'aller bien depuis qu'elle a disparu elle qu'elle n'est plus que l'ombre d'un mirage dis-moi joy ce qui t'a poussé à ce suicide étais-tu rongé par ce misérable acide es-tu si malheureux avec ce cher regal pour être fils de la tromperie viscérale c'est pour les gens comme harland que je viens leur dire que tout va bien que j'ai tourné la page que j'en suis plus aux rancunes du passé en pensant à tout ça je pense en rimes et pleure en prose j'ai un peu de mal à me rallier à ta cause comment peut-on vouloir mourir comment peut-on arriver à ce point de non retour et pourrir jusqu'à en trépasser mais ils ne t'ont pas laissé faire non ils t'aiment trop et peut-être que moi aussi un peu mais c'est pas amoureux pas comme avec harland non non c'est affectueux préoccupé protecteur et qu'est-ce que je suis pour toi maintenant hein plus grand chose je pense et c'est quand tu me poses cette question sans me regarder dans les yeux quand tu me demandes pourquoi je suis là que mes doigts se crispent c'est une bonne interrogation tu sais je détourne aussi les yeux j'ai même pas eu le temps de te dire bonjour j'ai tant de saloperies à te jeter dans la face mais ça serait malpoli et je ne suis pas venue pour ça peut-être car on a vécu plusieurs mois ensemble. peut-être car j'avais envie de voir si décidément ça me faisait rien de te voir comme ça, mais bien sûr que si. pourquoi, tu me détestes tant que ça ? c'est car je suis partie ? égoïstement j'aimerai que ça soit ça que c'est car je te manque que tout est pas tout perdu qu'on pourra redevenir amis ((pour la vie)) pour la mort
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Mer 17 Mai 2017 - 20:29
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J'aurais pu être sur mon lit de mort, vois-tu, j'aurais pu être mort et enterré, ne plus exister ou juste qu'à travers vos mémoires. si on ne m'avait pas arrêté, dis-moi, est-ce que dans ce monde parallèle, où l'impossible se serait finalement réalisé, serais-tu devant ma tombe, en train de pleurer ? dis-moi, que tu sais pourquoi je me suis mis à te détester, alors que je n'y avais même pas songer. parce que putain, qu'est-ce que je t'aimais, comment j'ai pu y renoncer ? (tu le sais.) j'aurais pu continuer en secret, (j'ai cette capacité d'en avoir plusieurs dans le cœur.) de conserver cet amour que je chérissais tant, que je te donnais, (que tu as refusé.) mais avec le temps, on oublie facilement, il suffit d'une déception. alors, oui tu es partie et c'est pas l'unique raison de pourquoi je me sens, si déchiré à tes côtés. j'ai accepté un spectre à mes côtés, il en avait bien besoin, son malheur à lui me déprimait, mes erreurs aussi. ô que je regrette tu sais, amélia, tant de fois, je regrette de mettre senti obligé, de t'oublier. mais à la place, je te déteste oui, et pourquoi, (tu le sais.)
- tu es parti, tu as rejoins des pourritures, sauf que tu oublies un détail... (je te regarde enfin alors, fixe-moi dans les yeux.) elle était ton amie il parait, hein ? et bien, peut-être que tu t'en rappelles pas après tout, t'es avec eux maintenant. mais lia était ton amie, et elle s'était aussi réconciliée avec johan. juste quoi ? quelques minutes... et après plus rien. plus rien...
tonalité dure, tonalité neutre, maussade, tonalité qui crève, tout, qui plante des lames de partout. ô que oui je t'en veux, je t'en voudrais certainement pour trop longtemps, même si je connais bien le pardon. mais là je n'ai plus de la tristesse, et les larmes qui coulaient trop souvent de mes prunelles, se sont évaporées. elles ont laissé leur place à la colère, la rage, la haine, le mépris. un petit groupe que je n'ai jamais compris autrefois. (maintenant si.)
- PLUS RIEN. RIEN. ET RIEN !! (je te pointe du doigt. la politesse c'est quoi ?) tu t'es barré et tu l'as tué, une deuxième fois. alors qu'ils ont fait la paix...
je vais dire des mots, que j'aurais certainement regretté à une époque, tu sais, celle où tout était encore un peu rose, ensemble, où tout était un peu idéale, idyllique, utopique, où on aurait pu très bien s'aimer en silence, car un simple, je t'aime. et tout s'est emporté dans la tempête.
- en vrai amélia, t'es juste égoïste.
tu vois là, je suis réellement un connard. (il n'est pas trop tard, pour le devenir.)
tag: amélia. | notes: JPP DE JOY. VOILA J'AVAIS PRÉVENU.
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Lun 22 Mai 2017 - 23:19
J'aimerais que tu sois là, juste pour leur donner tort
tes premiers mots arrivent déjà à m’arracher un frisson d’indignation j’ai envie d’hurler de t’interdire de dire ça ce ne sont pas des pourritures ce ne sont pas des pourritures car ce sont mes frères et mes soeurs car il y’a cet immense respect que je leur donne j’ai envie de te crier que tu n’as pas le droit que c’est juste un blasphème de sale profane que t’y comprends rien et que ça a toujours été pareil mais qui serais-je ((pour accuser un malade)) car tu es malade joy complètement fêlé malade de la haine malade de la mort malade tout court tu vas plus bien et on m’en voudrait beaucoup si je t’enfonçais alors que tu ne vas pas bien alors je ne dis rien je me laisse porter attrape ton regard plein de ce surplus dégueulasse qui menace de dégueuler partout à chaque moment ((c’est donc moi qui te fais ressentir ça)) mes prunelles à moi doivent être tremblantes car je suis complètement désorientée car tu n’es le joy que j’ai connu et je ne suis plus la amélia que tu as aimé ((mon coeur et moi on appartient à un autre)) mon amie mais je n’ai pas d’amis joy j’ai une famille j’ai j’ai des cousins des cousines des parents de substitutions qui sont là pour me casser les pieds alors que ma génitrice le fait déjà assez bien mais des amis non ça n’existe pas dans mon vocabulaire et je pense que tu parles d’elle celle que j’ai rayé l i a longs cheveux bruns sourire d’ange l i a je serre la mâchoire et tes pensées sont comme un couteau qui s’insinue doucement recouverte du poison de tes rancoeurs j’abaisse enfin les yeux dans une drôle de soumission serre le sac en papier et les fleurs sans doute toutes abîmées maintenant contre moi johan je sais que c’est toi johan je sais que c’était toi c’était quoi notre lien joy qu’est-ce qui nous réunissait (ou plutôt) ils pour que tu m’en veuilles autant ma respiration se fait tremblante et j’ai besoin d’eux harland karyan arsène ludmilla même peut-être un peu elegy ta voix devient soupir un instant et reprend encore plus fort me mitraille ((pardonne-moi je t’en prie)) la nuit j’avais si peur des couteaux qui s’enfonçaient en moi la nuit j’avais si peur quand elle criait en écho le fantôme qui n’est que mon reflet je ne l’ai pas tuée joy elle était déjà morte son coeur aussi était vide ((enfin je crois ?)) la paix ça n’existe pas joy la paix ça n’existe pas car il y’a toujours des erreurs qui cassent tout tout tout tout le temps car on ne peut pas être parfaitement en symbiose avec quelqu’un tu me laisses un instant de répit (est-ce pour mieux m’achever) et tu reprends visiblement calmé je t’observe du coin de l’oeil intimidée par cet individu étranger que tu es devenu et ça me martèle ce que tu exprimes ça m’écrase et je n’ai plus de souffle j’ai un mouvement de recul et je baisse la tête lève les bras désarmée ((laisse retomber dans un bruissement les fleurs dans un bruit sourd les livres)) TAIS-TOI ! TAIS-TOI ! j’ai compris joy- c’est bon c’est bon j’ai compris juste tais-toi ARRÊTE ! ça sert à rien ce que tu fais ça sert plus à rien c’est trop tard j’étais juste venue le souffle court mes larmes à moi aussi refusent de couler j’étais juste venue savoir comment tu allais. pour harland pour- pour-moi aussi un peu. m’empresse de ramasser fébrile tout ce que j’ai lâché ((les morceaux de moi-même et les offrandes que je t’ai acheté)) j’avais si mal joy- j’avais si mal et ça m’empêchait de tourner la page. elle était un morceau de moi et je suppose johan de toi mais mais mais c’est nous joy, johan et lia c’est nous. et tu ne veux plus me voir, et tu me détestes tant et tu es avec lui donc à quoi bon servait de sentir un poids supplémentaire alors que tout était déjà perdu ? j’ai la tête qui tourne les laisser reconstruire quelque chose c’était se dire qu’il y’avait encore une possibilité d’un nous tous les deux. mais je suis avec harland maintenant, et toi avec regal. je n’arrive pas à sourire mais et un peu avec cole bishop aussi, visiblement.
Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
Lun 29 Mai 2017 - 23:31
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Ô amélia, (amé l i a.) petit bout de femme qui ne dansera plus, (pour moi en tout cas.) avec tes cils qui papillonnent et ton teint de petite poupée, (toute fissurée.) tu vas savoir désormais à quel point de je te hais, tu sais ? ((où bien c'est un autre verbe que je devrais employé, pourtant, je l'ai tant rayé, pour toi, tant raturé, de fois, comme une faute que l'on ferait sur une copie. une erreur qu'on ne veut pas montrer.)) tu dis que c'est trop tard, mais bien sûr que tout est trop tard, que tout ce qui est marqué dans le passé, on ne pourra plus jamais le retoucher. enfin, tu avais bien la possibilité de modifier le temps qui passe, comme tu l'as tant bien fait, pour des mots glissés sous ta porte. alors pourquoi pas pour elle, pour eux. ils ne méritent pas plus de coup dans le cœur, ils sont si malheureux, tu devrais le savoir, nous sommes ici, nous vivons une nouvelle vie, parce qu'ils ont loupé la leur, alors dis moi c'était trop dur, n'est-ce pas ? pourtant, j'ai cru comprendre, que quelqu'un t'avait aidé à accepter, (notre histoire trop vite terminée.) tu parles d'un poids supplémentaire, je crois bien que tu parles de moi. je suis le boulet que l'on traîne derrière soi car devant c'est bien trop ennuyeux, car ce boulet, qu'est-ce qu'il enchaîne les regrets, les erreurs, ô que oui, et tu sembles déjà au courant, parce que je souris déjà lorsque tu prononces, ce nom. tu l'entends, ce rire chuchoté, en crescendo, il éclate, il devient un monstre. (pardon, c'est moi le monstre, je me suis trompé.) et devant ton visage livide un peu sérieux, un peu malencontreux, je rentre dans une euphorie, (aussi douce et poignante que l'a g o n i e.)
- mais oui c'est bon j'ai pigé pourquoi t'es venue.
c'est pour enfoncé le couteau, dans la plaie, pas vrai ? c'est pour rappeler ce que je cherche tant à oublier, mais c'est trop dur, je pensais que la mort aiderait à tout oublier, ce que je suis, ce que j'étais, mais non, tu es là pour me dire, r a p p e l l e t o i. alors que toi amélia, (tu as tout effacé.)
- avec ta politesse, ta bienveillance, tu veux passer pour la gentille fille aux yeux de ton petit ami, car c'est un bon pote pour moi ? mais c'est drôle ça, c'est marrant, parce que quoi qu'il arrive, tu seras toujours obligée, d'être mauvaise, envers regal, envers moi maintenant, mais bon, comme on dit, c'est une bonne guerre, non ?
((on dirait, un autre qui parle, on dirait. j o h a n, dans la peau d'un innocent jeune homme, en quête de tranquillité, et à la place il tombe sans arrêt dans l'agilité.))
- mais merde, ça regarde que moi et le concerné okay ? c'est toujours sympa de me rappeler à quel point j'ai merdé, mais oui amélia, continue, si tu as quelque chose d'autre à rajouter, hein, te gênes pas, après tout qu'est-ce que je suis ?
à tes yeux je ne suis que le raté, qui a osé te dire je t'aime, (parce que tu l'as un poil encouragé.)
- un fardeau. et maintenant je suis celui de regal à l'heure actuel, celui de mon père, celui de mes amis, celui de tout ce monde qui a osé m'aborder, me toucher, alors tu comprends maintenant pourquoi je suis assis sur ce lit ? mais oui tu comprends, t'es une fille intelligente.
alors je me lève là, le corps si lourd, si mou, et je ramasse le bouquet que je fixe un instant, je les imagine un peu plus jolies que maintenant ces pauvres petite fleurs, toutes brisées, (comme nous.)
- alors tu comprends aussi que ta présence va clairement pas me guérir.
je m'approche de la corbeille aux multiples déchets, ((comme moi.)) et je jette ton présent qui s'est abîmé, (comme nous.) entre tes bras. ((comme moi.))
tag: amélia. | notes: AH.
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Jeu 29 Juin 2017 - 4:45
J'aimerais que tu sois là, juste pour leur donner tort
le venin qui gorge ta langue s'étale sur mon visage les yeux toujours baissés je goûte encore et encore le sol dans un éternel silence de soumission et c'est vrai que c'est qu'un je t'aime qui nous a séparé ((pourquoi joy ?)) pourquoi oui c'est vrai, c'est pour me donner bonne conscience. on aurait été en couple ou pas je t'aurais dit ça je suis désolée, mais ça suffit pas. qu'est-ce qui te rendra heureux à part qu'elle revienne ? j'y peux rien moi. j'ai rien à t'offrir à part ma fausse affection. non c'est faux j'ai tant de choses mais si peu envie de te (dé)céder un peu de moi je suis désolée pour tout. tu te lèves et au revoir les fleurs je me précipite et je t'entoure de mes bras avec vivacité les jette pas ! je crois beaucoup en la symbolique t'avais pas le droit de les jeter- je te serre encore plus fort avant que tu me repousses j'ai envie de te secouer comme un pommier mais t'es malade alors je continue t'avais pas le droit- t'es pas une merde JOY arrête de penser ça car personne- personne le pense même pas moi. regal il t'aime tant et ton père aussi- même ludmilla s'inquiétait. je suis désolée mais ne refais pas une connerie comme ça nous refais pas peur comme ça car tu es un morceau de mon passé que je ne veux pas oublier je ne veux pas qu'il disparaisse non et j'ai pas envie qu'il soit là, lui est-ce que johan est là..? dis-moi non je t'en supplie que je me livre avec toi dans la paix du pacifisme le visage crispé et le coeur tendu comme un élastique
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Lun 3 Juil 2017 - 1:24
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Déchirées les petites fleurs, un peu comme mon cœur, ((le tien aussi.)) et j'ai froissé toi et ta fausse sincérité, que tu en hurles, que tes bras m'emprisonnent, (mais moi j'en frissonne.) je découvre à nouveau l'odeur et le touché de ton corps, tout ce que j'ai perdu, tout ce qui me rend assez fou pour me dire, que je suis encore tordu, il faut absolument m'avertir, que maintenant c'est terminé mais qu'est-ce que j'ai à vouloir, perdre mes doigts dans la blondeur douceur de tes cheveux, ((il suffit de mentir, pour cacher ce que l'on veut.)) les mains tremblantes veulent te saisir, car j'ai besoin de, ((t’enlacer.)) puis elles se cognent contre toi, pousse-toi de là, tu n'as pas à me serrer comme ça ! tombe, effondre-toi, je ne veux plus qu'on soit si proche, tu m'écoeures, (même si j'ai envie qu'ailleurs, on puisse vivre le bonheur.)
- mais putain, arrête ça amélia, arrête de faire genre que t'es encore attachée à moi, et si j'avais réussi mon coup tu aurais fait quoi ? chialer ? hein ? j’pense pas. parce que de toute façon j’aurais rien entendu. ni toi, ni regal, ni mon père et ludmilla ! je serais rayé de ce monde et votre vie à tous continuerait tranquillement.
mon pied contre la poubelle et ton bouquet s'étale. je voudrais pleurer mais pas devant toi, je l'ai déjà fait tant de fois.
- il est toujours avec moi. peut-être derrière toi, en écoutant à travers le mur. (encore mentir, pour te faire souffrir.) ... j'en sais rien écoute. il préfère être seul avec moi. pourquoi ? t'as un truc à dire qu'il doit pas entendre ? genre quoi, la raison du pourquoi t’as décidé de rejoindre cette bande de dégénérés ? désolé ça m'intéresse pas.
je préfèrerai presque qu'on s'arrête là, car ta présence me trouble elle ne guérit pas. tu sais on appelle cette maladie, le mépris. ((l'amour que je tente d'oublier.))
tag: amélia. | notes: rt si c trist.
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Lun 11 Sep 2017 - 22:36
J'aimerais que tu sois là, juste pour leur donner tort
tu repousses avec hargne colère et émotion tu n'es pas insensible à ma présence pas invincible à ma bienveillance dis, est-ce qu'un soupçon de ton cœur m'appartient encore dis, tu me permettrais que je le chérisse comme de l'or où tu préfères que je te le rende sans remords dis, joy qu'est-ce que je peux faire pour me faire pardonner- pour que tu m'excuses d'avoir effacé ce que tu considères comme une erreur et ce qui m'a apporté le bonheur je suis heureuse oui je vais bien- au revoir les pensées vagabondes et les inquiétudes nauséabondes à nouveau en position recroquevillée mais debout (épaules courbées et regard bas) quand tu hurles toutes ces conneries ((je m'étais promis de ne rien ressentir)) c'est dur toutefois de voir ton visage fatigué se tirer dans des drôles de manières le coup qui part- le rebondissement du plastique ça claque faux c'est chimique et les fleurs abîmées aux pétales écrasés abandonnées on en revient à johan, âme en peine qui t'entraînera vers le bas alors je crache c'est toi le dégénéré à te tailler les veines, des conneries comme ça ! je l'ai déjà fait pour sûr- mais j'ai grandi je sais ce que ça fait d'affronter la vie sourcils froncés, main sur la poitrine il va te faire du mal, joy ! il peut pas être positif pour toi ! tu dois t'en débarrasser je- je peux t'aider si tu veux ! et à nouveau approcher d'un pas doucereuse et venimeuse sûrement je te jure que ça te fera du bien...
Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
Mer 25 Oct 2017 - 18:23
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Dé g é n é r é. oui c'est moi le type martyrisé, par moi-même car je suis rempli de haine, et qu'est ce que je peux me foutre de votre peine. toi amélia, tu hurles fort que ma folie déborde, je ne suis plus ce mec épuisé à la voix monocorde, un simple détraqué à tes yeux, un simple dérangé, tout ce que tu veux. pourtant ça me fait rire, ((parce que je sais que j’peux faire bien pire.)) tu vois ces fleurs ? ((si belles, si mortes, elles ont perdu leur douceur.)) elles auraient pu toucher mon coeur, ((bercé par le malheur.)) au final c'est d'avouer, qui me fait peur, ((d'avouer que je suis un sale menteur.)) amélia toujours là, devant moi, tu me fait sentir méprisant. et je me sens v i v a n t. alors au diable tout c’qu’on peut s'envoyer à la gueule, mettons juste de côté ce terrible orgueil. car dans tes phrases qui se veulent bienveillantes, je me sens un peu léger, plus rien ne me hante. pourtant… tout ça n'a pas lieu d'être, lui, l'effacer ? alors qu'on vient à peine d'être ami, je ne peux pas me le permettre. ((pas prendre le risque qu'il soit à nouveau un ennemi.))
- écoute amélia je vois clair dans ton jeu. j’sais pas ce qu'ils t'ont fait avaler mais c'est juste flippant…
alors j'espère que tu comprends, moi je ne peux pas faire semblant, d'être mal auprès de lui qui alors qu'on a fait la paix. c'est sûr qu'il n'est pas tout blanc, que son passé est laid. ((ne me fait pas ça, mon mal passera, sans t o i, avec f o i.))
- alors lia, elle était dangereuse pour toi, c'est pour ça, non ? que t'es allée avec eux ? dis-moi…
((je veux être sûr, qu'on puisse corriger nos ratures.))
tag: amélia. | notes: dsl du retard. :(
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Sam 28 Oct 2017 - 20:42
J'aimerais que tu sois là, juste pour leur donner tort
on laisse de côté un instant les drames adolescents pause- pose immobile on est essoufflés on crie plus et tu me coupes- ah c'est ainsi je referme mes lèvres dans une moue mes traits se détendant cessons de jouer sur cette scène au public vide spectateurs endormis par la répétition de nos colères rien d'étonnant toujours redondant le spectacle de la vie ils m'ont rien fait avaler mais je me tais allons dans ton sens pauvre malade au teint de mort ça fait longtemps qu'on a arrêté de se galocher nos baisers sont plus des vérités tu me poses (pauses) une question un peu stupide et ça me fait ricaner c'est un peu moqueur un peu méprisant et je réponds d'une voix mièvre et miel le but joy est d'oublier. mais je suppose, si j'ai décidé de l'effacer. c'est pas vraiment nous- pourquoi prendre le poids d'une âme qui n'est pas la nôtre alors que la principale est déjà assez lourde dis ? j'attends tes arguments debout bien enfoncée dans le sol le menton haut et les bras bien droits
Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
Jeu 2 Nov 2017 - 23:38
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Pourquoi tu n’arrêtes pas, avec tes rires, une moquerie gratuite pour me pourrir, et ça n’a aucun effet sur moi, ça ne fait plus rien, parce que ce n’est pas du bien, que tu veux m’offrir : c’est une bonne conscience, pour toi seule, et tu penses que je dois te faire confiance ? j’aimerais te faire croire, te donner de l’espoir, enfin, c’est ce que tu penses me donner comme impression, moi j’ai plus la sensation, (d’être pris pour un con.) essayons, allons de l’avant, (et faire semblant.)
- johan n’est pas si différent que moi. enfin, les seules différences, ce sont nos vies et nos souvenirs. si j’oublie ça. si je l’oublie...
un silence pas immense, un doux soupir que personne ne saurait prédire, un vide plutôt timide. puis je regarde dans tes (belles) prunelles, je regarde ce que je n’ai jamais pu avoir, j’observe ton visage, ton minois et ton sourire illusoire.
- ... je ne serais plus moi-même.
puis je décore mes lippes d’une maigre courbe, qui illumine ce visage immaculé (et fourbe).
- peut-être que t’as raison, alors vas-y, si tu veux m’aider, alors fais c'que tu dois faire.
tag: amélia. | notes: !
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Jeu 14 Déc 2017 - 21:24
J'aimerais que tu sois là, juste pour leur donner tort
amélia est mourante- son amour a fait le deuil et ses rires sont chirurgicales elle ne peut dire les différences qui vous unissent avec johan- cela fait longtemps qu'elle a oublié et les yeux dans les yeux, la nudité se dévoile- une intimité dans les sentiments qu'elle avait oublié entre vous as-tu un jour joy, été toi-même elle se le demande sur le bout des lèvres mais elle te le dira plus tard quand vous serez innocents et vierge de toutes ces conneries et d'une main inquisitrice qu'elle lève elle s'approche- théâtrale et amante pour seulement un instant une immense demi-lune s'étirant, sur son minois faussement solaire tu as fait le bon choix ! elle s'approche prédatrice aux airs de brebis souffle sur une mèche de ses cheveux et saisit ta main de la sienne chuchotant tu es prêt ?
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Lun 29 Jan 2018 - 21:24
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-...Ouais. je suis prêt.
c’est peut-être mieux ainsi, peut-être mieux de faire comme-ci, ça ira mieux, ((quel mensonge fait exprès, pour tout faire exploser, c’est mal de faire semblant d’oser)) efface tout, (efface n o u s) j’ai plus besoin d’exister, assis sur ce lit blanc, je l’ai bien mérité, tant pis pour mon corps tremblant, je préfère qu’on puisse vivre en paix, ((ô diable le respect))
- sérieux ?
coup de théâtre, le fantôme ((que j’idolâtre)), est là et c’est peut-être la fin pour toi, et moi. johan avec ses grands airs, (choses pour te déplaire) le visage déformé par une certaine colère, ((c’est bientôt la fin d’une ère, bientôt la fin d’une histoire basée sur le manque d’espoir))
- amélia, juste dégage… (c’est un murmure, à la fois si précis, à la fois si dur) ne touche pas un cheveu… non... ne touche plus un seul cheveux de joy.
puis son corps sans chair, sans réelles couleurs, rien n’y ressort, même pas une délicieuse odeur, moi à ses côtés, j’ai eu un frisson de peur, ((il me terrifie, quand il est ainsi))
- il n’a pas besoin de toi et de tes cadeaux empoisonnés. - johan… - je… nous, nous n’avons pas besoin de toi okay ?? - johan… - LA FERME JOY ET FAIS MOI CONFIANCE !! - ...
à travers ce corps translucide, je te regarde, mon visage s’éteint, je ne dis plus rien, ((mais penser, je le fais si bien)) je désire simplement que tu t’écartes, que tu partes loin, amélia, s’il te plait, enfuis-toi, laisse-moi dans mon chagrin (in)complet. je te remercie mais, il a été plus fort, ((et désormais, je suis en tort.))
tag: amélia. | notes: c'est n'imp' sorry.
Invité
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Mer 7 Mar 2018 - 23:26
J'aimerais que tu sois là, juste pour leur donner tort
c'est avec une grande quiétude qu'elle serre tes doigts dans les siens partons loin dans un monde un voyage parallèle où on n'a plus peur de l'eau qui dort où les fantômes ne murmurent plus dans le creux des oreilles pourtant ! vous voilà troublez dans votre entreprise elle écarquille les prunelles et te lâche dans un geste de protection recule un peu effrayée par l'immatériel intemporel la colère résonne dans son crâne et elle a si peur si peur que ses délicates mains se resserrent prêtes à se briser à la moindre violence mais tu ne fais rien joy en premier lieu elle serre ses lèvres elle si corrosive (elle le sait) mais qui arrive toujours à se faire passer pour l'innocente la victime de la monstruosité elle vous observe vous disputer et dans un sourire timide un sourire intangible comme elle en a le talent- le mystère au bout des dents elle déclare un rire faux sonnant vous faites un très joli couple. elle se décale à pas feutrés amélia danseuse- féline dans la fuite je reviendrai un autre jour. prends soin de toi. se laisse glisser de l'autre côté de la porte sans un mot de plus et recommence enfin à respirer libérée de toutes les mauvaises ondes de cette chambre