Surnom N/A Âge 21 ans Date de naissance 7 janvier Lieu de naissance Foxglove Nationalité Américain Occupation Étudiant en fac d'histoire. Groupe Myosotis Pouvoir Relation Symbole Les cheveux roux. |
Salem est un « mauvais garçon », tellement cliché que l'on aurait presque du mal à y croire. C'est comme s'il avait une checklist et qu'il s'acharnait à en cocher toutes les lignes, à tout prix, pour forcer une certaine impression de lui, créant finalement un ensemble superficiel et à la limite de l'incohérence.
Salem, c'est un étudiant désinvolte et blasé. Le mec qui vient en cours une fois sur deux, et qui s'installe nonchalamment dans le fond de la salle sans vraiment prêter attention, plus concentré sur l'expression d'ennui qu'il se doit d'afficher soigneusement, ou sur les regards en coin qu'on peut lui jeter et qu'il met un point d'honneur à retourner ou à ignorer au gré de son envie. C'est le mec qui grommelle qu'il préférait être chez lui à jouer à des jeux vidéos, qui parle de grandes ambitions comme si le monde lui devait tout, mais qui n'a finalement ni passion ni réelles aspirations.
Salem, c'est un badass qui traîne dans les rues, et qui joue la provocation pour se faire une réputation. C'est un yankee, même qu'il a un gang et que c'est lui le boss. Il a des vestes en cuir, du gel dans les cheveux, des tatouages tribaux sur le torse, des pulls à motif léopard et col de fourrure, et des bijoux bling bling à souhait. Ah, et il a une moto. Enfin, une mobylette parce que sa mère a pas voulu de vraie moto, et du coup c'est un peu la honte mais il est quand même super fier.
Salem, c'est un Dom Juan de bas étage, un player qui se la joue. Son attitude et son physique de beau gosse pourraient en charmer certaines, mais il faut avouer qu'il manque de subtilité pour la plupart — et que c'est un peu un salaud, aussi. Ça fait partie de sa petite mascarade. Il cherche à collectionner les conquêtes, à se perdre dans des relations superficielles, sans jamais s'impliquer. Et s'il n'avait pas découvert son pouvoir, ce serait probablement un solitaire. Mais, aujourd'hui, Salem est passé maître dans l'art des relations improvisées, aussi opportunes qu'éphémères. Il les invente et les efface à sa guise, selon ses besoins et ses envies, et ne laisse jamais aux autres le loisir de se rapprocher réellement de lui.
Parce que Salem, il se soucie avant tout de ne soucier de rien. Il se donne des airs, toute une attitude, et s'en sert comme d'une armure contre le monde. Parce que Salem, au fond, c'est pas si un si mauvais garçon que ça. Mais il est terrifié. Terrifié, et il ne sait même pas pourquoi. Il a ce goût amer dans la bouche, comme s'il ne pouvait croire en rien. Il se voudrait cynique, sarcastique, répète à qui veut l'entendre que le monde est pourri, que les gens sont égoïstes, comme pour se convaincre lui-même. En vérité, il a juste peur de finir par y croire quand même, et de se casser la gueule. Il préfère encore se saboter tout seul plutôt que de se montrer vulnérable.
Mais quand il relâche sa garde, on peut apercevoir l'innocence et la douceur qu'il cache férocement aux autres. Lui aussi, il sait s'émerveiller, s'attendrir, et il a encore un rire d'enfant.
Salem, c'est un étudiant désinvolte et blasé. Le mec qui vient en cours une fois sur deux, et qui s'installe nonchalamment dans le fond de la salle sans vraiment prêter attention, plus concentré sur l'expression d'ennui qu'il se doit d'afficher soigneusement, ou sur les regards en coin qu'on peut lui jeter et qu'il met un point d'honneur à retourner ou à ignorer au gré de son envie. C'est le mec qui grommelle qu'il préférait être chez lui à jouer à des jeux vidéos, qui parle de grandes ambitions comme si le monde lui devait tout, mais qui n'a finalement ni passion ni réelles aspirations.
Salem, c'est un badass qui traîne dans les rues, et qui joue la provocation pour se faire une réputation. C'est un yankee, même qu'il a un gang et que c'est lui le boss. Il a des vestes en cuir, du gel dans les cheveux, des tatouages tribaux sur le torse, des pulls à motif léopard et col de fourrure, et des bijoux bling bling à souhait. Ah, et il a une moto. Enfin, une mobylette parce que sa mère a pas voulu de vraie moto, et du coup c'est un peu la honte mais il est quand même super fier.
Salem, c'est un Dom Juan de bas étage, un player qui se la joue. Son attitude et son physique de beau gosse pourraient en charmer certaines, mais il faut avouer qu'il manque de subtilité pour la plupart — et que c'est un peu un salaud, aussi. Ça fait partie de sa petite mascarade. Il cherche à collectionner les conquêtes, à se perdre dans des relations superficielles, sans jamais s'impliquer. Et s'il n'avait pas découvert son pouvoir, ce serait probablement un solitaire. Mais, aujourd'hui, Salem est passé maître dans l'art des relations improvisées, aussi opportunes qu'éphémères. Il les invente et les efface à sa guise, selon ses besoins et ses envies, et ne laisse jamais aux autres le loisir de se rapprocher réellement de lui.
Parce que Salem, il se soucie avant tout de ne soucier de rien. Il se donne des airs, toute une attitude, et s'en sert comme d'une armure contre le monde. Parce que Salem, au fond, c'est pas si un si mauvais garçon que ça. Mais il est terrifié. Terrifié, et il ne sait même pas pourquoi. Il a ce goût amer dans la bouche, comme s'il ne pouvait croire en rien. Il se voudrait cynique, sarcastique, répète à qui veut l'entendre que le monde est pourri, que les gens sont égoïstes, comme pour se convaincre lui-même. En vérité, il a juste peur de finir par y croire quand même, et de se casser la gueule. Il préfère encore se saboter tout seul plutôt que de se montrer vulnérable.
Mais quand il relâche sa garde, on peut apercevoir l'innocence et la douceur qu'il cache férocement aux autres. Lui aussi, il sait s'émerveiller, s'attendrir, et il a encore un rire d'enfant.
Nom O'Connor Prénom Sully Eranann Avatar Emiya Shirou (Fate series) Nationalité Irlandais Occupation Lycéen |
Salem a eu son premier souvenir très tôt dans sa nouvelle vie, quand il avait sept ans, et qu'une petite rouquine fut transférée dans sa classe. Au moment où elle entra dans la classe et qu'il posa les yeux sur elle, le monde se mit à tourner autour de lui. D'un seul coup, une terrible angoisse accabla le blondinet. Quelques images lui revinrent en mémoire dans un flash, l'éclat des mèches rousses, le souffle saccadé, des pleurs, une sensation de corps chaud. Et cette impuissance qui lui nouait la gorge. À partir de ce jour-là, Salem se renferma peu à peu sur lui-même, et commença à construire sa carapace. Il ne se souvient de rien de plus sur son ancienne vie, juste quelques bribes de souvenirs — des impressions vagues — qui s'emparent occasionnellement de lui. Et préfèrerait probablement ne pas s'en souvenir.