God never made a promise that was too good to be true.
Surnom ♦ True. Âge ♦ Vingt-cinq ans. Date de naissance ♦ 30 mai. Lieu de naissance ♦ Foxglove Valley. Nationalité ♦ Américaine. Occupation ♦ Journaliste du Foxglove Today. Pouvoir ♦ Imitation. Symbole ♦ Des rires étranges, qui hantent.
mental
Elle s’en fiche.
Encore une cigarette, qu’elle s’était promise de simplement admirer, qui vient de s’envoler au fond de sa misérable chambre. La dixième depuis deux heures. Encore un bout de sa vie qui s’en va avec. Elle s’use, elle ne cesse de taper, elle ne cesse de gribouiller. Le dessin n’a jamais été son fort, à vrai dire elle n’a jamais dessiné plus que les simples maisons de gosse, à vrai dire ça ne l’intéresse pas vraiment. Il ne faut qu’un crayon et qu’un support pour pouvoir dire la vérité, il suffit de peu pour tout avoir. La vérité était plus belle ainsi écrite, ainsi posée. Chaque mot la dévorait de l’intérieur, la douce en redemandait. Certains mettaient les technologies en cause, d’autre la passion et la deuxième option était sûrement la plus vraie des deux. Sauf quand la vérité était un mensonge. C’était beaucoup plus que cela, plus qu’un métier, plus qu’une passion : sa vie. Elle respirait pour cela, elle riait quand il le fallait aussi. Mais jamais elle ne pleurait.
Crier à l’aide, ça lui était déjà arriver. Ses cheveux décolorés sur le bout qui lui caressaient la poitrine et ses hurlements inaudibles quand elle se terrait dans son coin certaines nuits. La panne d’inspiration, l’abandon, la solitude. Pourtant, cela ne l’avait jamais dérangé, et depuis elle s’y était habituée. Le vent souffle entre les branches et les murmures des habitants n’étaient alors plus que de futiles intentions sans nom. Cependant, elle savait que cela n’avait jamais été aussi facile que cela en avait l’air. Il fallait du courage pour vaincre ces peurs, quoique les peurs n’enlevaient en rien les dangers et le courage non plus. True n’était pas narcissique pour autant, juste détachée de tout contact sensible avec ceux de son espèce, car quand l’attachement venait à la prendre, on ne pouvait plus la retrouver telle qu’elle était auparavant.
Parfois pourtant elle avait son coeur en folie. Quand elle sortait en quête de vérité, toujours plus d’inspiration, et qu’elle guettait de son oeil avisé les passants, quand elle méprisait les enlacements, quand elle adulait les mots crachés semblablement à du venin, elle s’efforçait de garder son sentiment d’impuissance, de jalousie en elle. Avait-elle tout perdu ? Non. Il lui restait ses convictions et ses déterminations, loin des influences morbides. Mieux valait être horripilante tant qu’horrible et loin de cette foule mondaine identique. Réussir c’était gagner, mais True ne gagnait jamais rien tout en était persuadée de réussir. Alors quelle différence ? Ce n’étaient pas les mots gentils et les acclamations qui allaient lui apporter l’amour qu’elle avait tant voulu un jour. Ce n’étaient point les conventions et les politesses qui pouvaient la guérir.
Encore une qui file telle une comète. Encore une odeur de tabac froid qui embaume ce lieu si détestable.
Elle briserait les murs si sa force le pouvait, et elle était déjà considérable. Peut-être qu’en fait sa puissance n’avait rien à voir au fait qu’elle avait plusieurs fois remis en cause la virilité de certains, peut-être était-ce seulement sa prestance, sa détermination. Il en fallait peu pour la mettre en rogne, peu pour lui arracher un sourire niais. Elle était comme le jour et la nuit, comme des jours ensoleillés sous la pluie, comme des rivages sous l’océan. Inexistante quand elle se reculait, trop présente quand on la voyait. C’était le bout de femme que l’on qualifiait de phénomène, de surnaturelle mais ici c’était ironique de le dire ainsi, alors on se contentait de se taire et de la laisser faire. Personne ou presque ne venait lui fermer le clapet quand il aurait été juste de le faire, personne n’osait se mesurer à elle et tous succombait à son charme incompréhensible pendant qu’elle s’enlisait dans des rêves éphémères. Elle met son poing dans le cadre devant elle. Sa photo se tache d’un sang pourpre.
True n’y arrivait toujours pas. Faire du mal aux autres c’était se faire du mal à elle-même. Inconsciemment. Ces sensations remontaient de plus en plus au point où elle voulait en finir. Bizarrement elle n’osait pas, trop craintive d’une fois encore se laisser faire, de se laisser prendre à son propre jeu, alors elle attendait sagement son heure comme tout le monde, passant le temps en jactant sur tout ce qui bougeait. La vérité, elle l’écrivait mais ne la récitait pas forcément : elle jouait avec les mots comme des couteaux aiguisés, elle les maniait pour laisser paraître ce côté si odieux qu’on lui connaissant, ce côté pâle, translucide, sans vie et pourtant si plein, si envahissant et prenant. Etouffant presque. Elle s’immisçait doucement dans les esprits de chacun, elle pouvait les noyer de questions malsaines et écoeurantes mais ne lâchait jamais l’affaire à moins d’y voir une opportunité.
Elle arrache un morceau de son haut noir et en fait un bandage. Le verre brisé reflète par fragment la même carrure. Le même visage fier. Les mêmes yeux perçants. Cet orgueil intérieur. Cette démesure incessante.
histoire
L’amertume des jours nouveaux, la nostalgie des jours passés. Les murs vibraient sous les grondements de l’homme. Des claquements de portes, des pieds qui remuaient le plancher, un capharnaüm sans nom qui s’était peu à peu installer dans cet appartement de pacotille. En somme, sa vie n’était pas celle qu’elle avait toujours espérer et aujourd’hui elle souhaitait mettre un terme à tout cela. Déjà l’avait-elle peut-être fait, en mettant de côté sa génitrice, choisissant son père comme seul refuge. Le déchirement lorsqu’ils s’étaient séparés n’avait rien arrangé au mental de la gamine, rien du tout, pas même l’espoir ne lui était revenu, il ne restait que des fragments éparpillés et ensanglantés d’une vie pourtant si idyllique auparavant.
Il continuait de crier. L’alcool avait ses vertus tout comme la drogue. True n’y était point accro, elle aimait juste sentir son faciès sous la fumée délicatement parfumée, elle aimait voir celle-ci disparaître sous le froid de Foxglove Valley et en ça elle s’échappait. Mais ça ne suffisait plus. Du haut de ses dix-sept ans, elle haïssait celles qui s’inventaient des vies, elle adulait ceux qui montraient le courage enfermé en eux et se souvenait n’appartenir à aucune des deux catégories. Si elle avait choisi son paternel plutôt que la femme qui l’avait mise au monde, c’était en premier lieu pour éviter de se faire attaquer de maquillage, de vêtements vulgaires ou kitsch. Elle était un peu comme ça, sa mère, contrairement à True qui déjà avait décoloré le brun de ses cheveux en un blond platine virant au vert, qu’elle avait alors décidé de cacher sous un bleu peu conventionnel. Rien ne l’était chez elle. Ses habits étaient vulgaires parce qu’elle les ajustait différemment : des hauts trop long avec des bas trop courts, ou inversement, des yeux cernés par un noir de jais et jamais une brosse n’était passée de la semaine dans sa touffe. Néanmoins, jamais elle n’avait vu d’inconvénients à cela. Les amis étaient présents, les jugements dans son dos aussi -comme toute bonne personne-, des notes misérables mais non catastrophiques. Une fille ordinaire. Banale. Normale. Comme toutes les autres.
Une bouteille traversa la fenêtre sans crier garde.
— PUTAIN.
Elle s’était levée en trombe pour la renvoyer morceau par morceau, paume pourpre des éclats, à son géniteur.
— Met-là au moins à la poubelle merde.
Il avait grogné, c’était sans cesse la même rengaine, elle s’y était habituée. De son pauvre matelas elle entendait le verre déferlé dans le vide de l’oubli. Des fois des sourires lui montaient au visage sans pourtant se rappeler de ces moments fabuleux d’antan. Elle s’était promis de ne pas finir comme sa mère. Elle s’était promis de ne pas finir comme son père. Elle voulait juste fuir, en venir à bout, être indépendante. Loin d’elle l’idée d’être définitivement seule, évidemment, car la petite ne craignait le jugement des autres, elle ne s’adaptait jamais et toutefois réussissait à se faire des amis, ou plutôt des liens. Des opportunités pour des soirées, pour sortir ou qu’importe, la jeunesse en un mot. Seulement, à cette époque, elle était pas du genre à attaquer les gens de mot. Elle aimait être différente, elle ne supportait pas les demoiselles aux jupes courtes se déhanchant sur les pistes et les alcooliques du jeudi soir. La bleu restait dans son coin, sans pour autant être isolée. Quelques chaises, ou des tapis voire des coussins, des cigarettes à n’en plus finir et des discussions sur la vie, les passions, les amours et les préjugés. Peut-être que le déclic vint de là, peut-être qu’il ne fallait que cela pour la remettre sur pied.
Ses mains attrapèrent l’ordinateur sous l’oreiller, elle se cala contre le mur gris délabré et les quelques notes du démarrage sonnèrent comme une mélodie connue de tous. En peu de temps, ses doigts virevoltaient déjà sur le clavier, yeux fermés, l’inspiration venant d’un autre monde. De son monde. De sa vie.
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05/31
Le vent emporte les murmures et les rumeurs, il siffle dans les feuilles autant qu'en automne sans pour autant les faire tomber. Les échos des voix disparues, la brise de l'ancien temps, tout semble perdurer ici. Rien de nouveau, rien de paranormal. Personne n'en sait rien après tout. Les jours passent comme partout ailleurs cependant les maisons restent identiques, les têtes sont fixes, le changement ne se fait que rarement et lorsqu'enfin il apparait, les méfiances sont de mise. Des fois, je me demande qui je suis. Une question existentielle que tous devraient se poser, mais les gens se préfèrent à flâner sans aucun but pour profiter, qu'ils disent. Car oui, avant j'étais celle que l'on nommait Blake, aujourd'hui je ne suis plus qu'un bout de femme qu'on surnomme comme on veut. J'ai perdu de l'identité ? En ai-je gagner. La vérité seule restera. Comme True. C'est absurde. C'est puéril. C'est tout bonnement inutile.
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05/03
Un grand hasard m’a mené jusqu’à ce foutu morceau de papier déchiré. Des écritures basiques et une demande plus qu’explicite. Des photos de jeunes gens heureux, de jeunes gens en quête d’aventure et une seule chose : la recherche d’un troisième membre. Un message divin, pour moi qui voulait m’éloigner au plus vite de cet appartement si détestable qui était devenu pire qu’un taudis. J’avais pas tardé à prendre le téléphone pour les appeler, c’était un peu un coup de tête, après tout je ne savais rien d’eux, si ça se trouve j’allais m’engager dans un foutu attrape-nigaud mais la volonté de partir était plus forte que tout. Une voix masculine m’avait répondu, et ils n’avaient même pas fixé de rendez-vous pour savoir si je correspondais à leurs attentes qu’ils étaient déjà partant pour m’accueillir. Ironie ou non, j’en était plus que ravie. J’avais toujours imaginé le déménagement comme la chose la plus déchirante pour une famille, les larmes à l’oeil et tous les sentiments qui allaient avec, mais en un simple coup d’oeil dans ma chambre, j’avais vite compris qu’un simple sac à dos allait suffire pour tout emporter. Quelques hauts, quelques bas, du maquillage et le reste on s’en contrebalançait. Eternellement coincée à Foxglove Valley. Eternellement dans ce village de malheur. Sûrement en meilleure compagnie.
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09/20
C’est fou. Primo, l’appartement est presque propre, ce qui est quelque chose d’assez rare dans ma vie de misère, mais en plus ils sont… normaux ? J’en sais rien. Le feeling passe bien, je crois. J’appréhendais un peu, de peur qu’ils soient trop classiques, des Saintes-Nitouche gâtés pourris ou un truc dans le genre. Finalement, j’avais trop vite émis un jugement. Ils ont leur caractère évidemment, certainement un peu égoïstes comme tout le monde, néanmoins je ne vois pas le mal en eux. Je dois être celle qui emmerde le plus. A peine un mois que j’y suis et j’entend déjà mon nom résonner tous les jours. Souvent pas pour des tâches ménagères mais pour montrer les dernières trouvailles, pour se juger. Pour s’apprécier en somme. La deuxième meilleure décision de ma vie, après celle de m’être barrée de chez ma mère je pense, attendons de voir les jours prochains. Si ça se trouve, j’aimerai pas les sushis, le nouveau papier toilette ou encore le programme TV. C’est peut-être tout simplement de la merde.
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02/24
Des fois, elle fait un peu des siennes la Philomène. Il suffit d’un mot qui la contredise pour qu’elle se braque, alors souvent des disputes éclatent. Jamais méchantes, mais suffisamment pour que je m’emporte sans le vouloir. Je tiens à elle au fond, je ne sais pas si c’est réciproque et lorsque j’aimerai lui poser la question, les mots me restent bloqués, telle une question qu’on ne pourrait nommée. Elle se fait du mal parfois, elle exige trop d’elle-même, ça me tue. Ça la tue. C’est un peu le chaos dans ma tête, j’ai envie de tout briser pour effacer la douleur. Mais j’suis pas là pour ça.
Le truc, c’est Raphaël. Il a beau avoir un an de plus, on dirait qu’il en a six. Pas physiquement, mais mentalement. On s’entend, il a un style particulier que j’apprécie, un regard vif et séduisant. Parfois, il devrait se prendre des claques, juste parce qu’il dit des conneries phénoménales. Seulement, depuis quelques temps c’est différents. Je n’arrive point à mettre la main dessus, ça me bouffe de l’intérieur et c’est stressant. La boule au ventre, c’est comme si je devais lui cracher quelque chose, lui avouer. Avouer quoi ? Merde. Y’a rien à dire si ce n’est qu’il est carrément bien. Trop ? J’arrive même plus à décrire tellement ça m’embobine. Prise au piège dans ce stratagème sorti tout droit de non-lieu. Je m’attache pas. Putain non. Je me forçais à ne pas m’attacher, pour ne pas devenir dépendante. En y réfléchissant, Raphaël m’a sûrement rendue dépendante.
De lui.
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04/10
Première soirée pour nous trois. Vraie soirée, pas celle qu’on faisait en deux-deux à la maison avec des vieilles pizzas et des sodas ayant perdu leurs bulles. On sort. On est fringués comme des vieux parce que le temps nous rattrape, on a joué le grand jeu au final. J’ai dû abandonné les cheveux bleus y’a quelques temps, ils viraient au vert immonde. Maintenant, ils sont noirs, ou plutôt bleu foncé. C’est assez étrange comme mélange. Je n’ai pas perdu pour autant mes yeux cernés de noir, j’en ai rajouté même, sauf qu’on dirait plus une rockeuse perdue qu’une gothique en soif de morbide. Je suis un peu trop excitée, comme les fêtes d’anniversaire quand j’avais quatre ans, alors qu’on va simplement à une soirée. Le genre de truc qu’on fait solo depuis déjà quelques années. Mais c’est quoi mon problème ? La première soirée de l’année ? Raph ? Philo ? Les deux seront là. Faut pas que je merde, faut pas que je me laisse aller à l’ivresse des nuits heureuses. Je suis toujours là à écrire, à m’extasier et ils viennent d’ouvrir la porte. Encore à la bourre, True. Je file. J’te raconterai. Enfin, j’vous raconterai.
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08/07
Ça a pris du temps pour que je te raconte non ? Je l’ai même pas dit. Elle était bien cette soirée, ouais. J’ai retrouvé mes clopes, j’ai retrouvé le goût du vice et de la fortune. On s’est bien marré, on est rentré trop tard, au petit matin et dans un sale état. J’te raconte pas, des rires à n’en plus finir au point où la voisine nous a gueulé dessus parce qu’on l’avait réveiller. Ils sont grotesques ces vieux. Ouais, enfin voilà. C’était bien. Mais ça aurait pu être mieux. Si y’avait pas eu tout ce mensonge. Si y’avait pas eu de cachoterie, si les choses s’étaient dites avant ou pendant. Pas après. Ça a foutu la merde. Trop de merde. En quatre mois tout a bousculé. Je vais pas mentir, la vérité ça fait souvent mal mais moi je m’en fou. Il vaut mieux la dire. Ouais, je vais tout dire, pourtant j’avais prévenu. Ils ont merdé, j’ai merdé. Tout le monde est en tord mais personne ne l’assume. C’est l’hôpital qui se fout de la charité. Alors, quand cette foutue porte d’entrée claquera, je le poserai sur un divan et je lui réciterai les exploits de cette colocation.
Et peut-être que demain je ne serai plus là. Seule. Une nouvelle fois. Partie en niant des sentiments. Partie la tête haute. Ce regard soutenu. Ce sourire narquois et mesquin. Les laissant à la triste réalité. Parce qu'on est tous des cons.
boîte à souvenirs
Nom ♦ ||. Prénom ♦ ||. Avatar ♦ ||. Nationalité ♦ Nomade mais Subsaharienne. Occupation ♦ héritière de la meute.
Chez les hyènes, le mâle n'est qu'un dominé. Chez les hyènes, la guerre ne cesse d'exister. Elles s'enlisent dans un règne féminin où toutes s'entretuent. La première née de la femelle alpha apprend à se défendre, elle élimine ses concurrentes dès la naissance et personne n'y fait face. C'est quelque chose que tout le monde sait.
Mais elle ne se rappelle pas. Elle ne se souvient pas. Elle était l'héritière. Elle s'est retrouvée loin des siens, une nuit, guidée par une odeur alléchante. Elle était jeune et forte. Vigoureuse et majestueuse. Même avec ce collier de griffe et de sang, avec cette chair qui lui sortait et les dents aiguisées qui la massacrèrent.
derrière l'écran
slt ? bon bah moi c'est Karapuce et j'viens parce que j'ai flash sur le predef de Calamar. Enfin bref, de base j'suis venue parce que j'avais vu le parto en top sur un des forums et j'vois qu'en fait vous avez en parto quasi 100% de ceux où je suis. c sad. j'aime bien les maths et l'info même si j'suis pas douée (mais je compte faire de la cybersécurity plus tard lel) et chanter comme une casserole en regardant n'oubliez pas les paroles uiui. m'enfin j'espère vous m'aimerez bien et je tiens à remercier joy et theodosia pour les avatars luvluv.
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Dim 11 Déc 2016 - 20:57
my love
Johan Heisenberg
myosotis
Messages : 1011
Pouvoir : manipulation
Symbole : pomme.
Occupation : étudiant et casse-couille.
Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
Dim 11 Déc 2016 - 21:06
BIENVENUE. très bon choix. comme ca true me fera plus de l'oeil tu me sauves la vie tu sais mdr ?
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Dim 11 Déc 2016 - 21:42
artur > miamor
joy > MERCI heureuse de sauver la vie de quelqu'un. En plus jss happy parce que c'le predef de Calamar
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Dim 11 Déc 2016 - 22:10
PERDUE.
omg c'est trop cool d'avoir pris ce predef !!! en + j'aime ce que t'as écris olala good luck pour la suite <3
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Dim 11 Déc 2016 - 22:14
ah karapuce je connais maggle. bref. nice choix de prédéf & bienvenue !
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Lun 12 Déc 2016 - 8:49
NEIGEASS > j'suis plus perdu t'as vu et ui true est trop coulitas !! merci merci petit <3
Wear-y > t ki ptn non haaa j'suis sur les traces de qui encore :(( I WANNA KNOOOOW. merciiii
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Lun 12 Déc 2016 - 10:57
OMG OMG OMG TRUE A ÉTÉ PRISE JE. JE. BIENVENUE JTM
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Lun 12 Déc 2016 - 11:17
BIENVENUE TRUE
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Lun 12 Déc 2016 - 17:27
Huhu ♥
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Jeu 15 Déc 2016 - 11:47
arsène > vive les prédef t'asvu
dài > MERCI HSU ! (ça fait un peu shou, choux, chouchou)
cassy > fourberie
VOUALA. C'est fini btw. Je sais pas si ça va haaaaa. Des bisous, c'le bordel un peu, c'est un peu long aussi, I'm so sorry.
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Jeu 15 Déc 2016 - 12:55
y'a pas de raison que ça me plaise pas donc je valide de mon côté sans lire ok je lirai en rentrant des cours ce soir
Hey True (On attend toujours False maintenant 8D), bienvenue à toi
Déja wow ta présentation était pas mal cool, mais très longue. Mais bon, comme on dit "Plus c'est loin, plus c'est bon" ou pas.
Enfin bref, ce prédéf était déja cool, tu l'as vraiment honoré comme il faut. Good Job. Merci aussi pour tes mots gentils et ton amour
Donc je te valide sans plus attendre, bienvenue chez la Team Blue (Tu verras, il y a plein de potos pokémon eau ici, tu vas te sentir bien ici, petit "Karapuce" des familles )
Tu peux faire ta fiche de lien. Tu peux faire ton portable pour spamme tes potos. Tu peux faire une demande de rp. Et surtout, amuse toi comme il faut avec nous tous ! Plein de bisous de partout