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afraid without you [amélia] |
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Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
| Mar 29 Nov 2016 - 12:34 | | afraid without you(amélia) ♪ | Besoin de cette ambiance nocturne et lugubre. Besoin de regarder le ciel, hélas, peu dégagé. Alors j’abandonne juste l’idée. Et je me dis que peu importe qu’il le soit, je veux juste m’éloigner du manoir, des tout le monde, de l’assassin qui hante ma piaule. Et qui chaque jour me tourne le cœur et m’infecte de son poison.
Même en étant proche de Regal, il est là, dans ma tête, il me hante. Je pensais que tout se calmerait que je finirai par oublier la peine qui me bouffe la chair et l’âme. Je me serais bien faufiler dans la chambre de Regal sans hésiter, mais j’ai l’impression d’être un fardeau au final.
Son souhait de me faire retrouver le sourire. Il s’est cru dans un de ses romans sans queue ni tête... Plus il essaye de me faire voir la vie sous un meilleur angle, plus je me demande s’il me comprend. Ou qu’il a encore beaucoup de chose à apprendre sur moi. Sur lui.
Mes pensées fusent et j’imagine le visage de celle que je me suis promis d’oublier. Puis son doux sourire qui se dessine, effacé soudainement par des lèvres crispées de dégoût avec le blanc des yeux rougis par les larmes, les pupilles ravagées de mépris. Contre une tombe, mes paupières s’ouvrent aussitôt. Une expiration soudaine sort de ma bouche aux lèvres violacées par le froid. Mon souffle saccade, sous forme de fumée blanche due à la chaleur de mon corps, et pourtant je gèle, je tremble. J’aurais mieux fait de rester dans mon lit en lui tournant le dos. En évidant son regard railleur et sa voix mielleuse. Je trouverais bien un moyen de m’en débarrasser.
Les mains cachées dans les poches de mon manteau, je me recroqueville comme un animal en détresse. J’entends les ululements, les feuilles des buissons caresser par le vent ou par un petit rongeur dans les environs. Mais j’entends aussi, le craquement d’une branche sous un pied. Qui se rapproche un peu, les pas bruyants qui effleurent les pierres et qui augmentent peu à peu le son vers ma personne. Je m’alarme, mais ne bouge surtout pas. Coupe ma respiration s’il le faut. Les légendes n’a jamais nourrit en moi de la peur. Pouvoir rencontrer un spectre. (C’est déjà le cas.) Ou un être de l’au-delà. (Peut-être bien aussi.) Ces histoires ne m’ont jamais angoissé. Et encore moins les rumeurs sombres de la forêt de Salem. Pourtant, ne pas me sentir seul à l’instant même, me perturbe.
- Y’a quelqu’un ?
Dans un murmure, pour éviter de réveiller les bêtes endormis ou les esprits du coin. Ma tête cherche une ombre, mais la vision est si faible dans le noir. Si la lune ne jouait pas à cache-cache avec les nuages, j’aurais certainement eu ma réponse plus rapidement. |
hrp : c'est kk. pardon. |
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| | Mar 29 Nov 2016 - 22:59 | | tale of a nameless wanderer les souvenirs ont besoin d'être enterrés soufflés, les évaporer brusquement pour ne plus jamais les revoir (et pour commencer ça, il faut d'abord effacer les preuves de leur existence) c'est ici, que j'ai décidé de le faire d'effacer ce nous, d'enfouir sous terre le cahier sur lequel j'ai soigneusement collé tous les mots que tu as glissé sous ma porte (lia m'a dit de ne pas le faire) elle m'a dit que même si johan était un putain de monstre, elle chérissait chacun des s o u v e n i r s qu'elle avait avec lui ((même son dernier)) et que je devrais faire la même chose, qu'il était toujours temps de faire machine arrière et de te serrer dans mes bras mais il était trop tard car il était là, lui celui qui m'avait prévenu qu'il te saisirait pendant qu'il était encore temps alors j'ai abandonné alors je vous ai jalousé, de loin, de plus près aussi alors j'ai relu, chacun de ces mots j'ai gribouillé sur ces pages avec tout ce que j'avais à dire concernant chacun des mots que tu m'as rédigé et maintenant, c'est l'heure de tout brûler. de marquer ce point que j'espérais ne jamais voir, et de tourner la page de retomber amoureuse, de recommencer à m'intéresser à la couture et aux vêtements ((de revivre)) aujourd'hui, je veux tout recommencer à zéro la question sur lia se pose encore mais sous peu je ferai un choix je tenterai de les rejoindre j'effacerai moi-même les souvenirs de sa tignasse brune, de la raison de notre dispute ou je vivrai avec comme une grande fille aujourd'hui ((je veux vivre sans toi)) mais t'es là, tu reviens les mots de regal, tu as du lui dire que tu m'aimais (savais-tu en échange, ses sentiments pour toi ?) c'est dur, horriblement dur mais je dois avancer ((seule)) accompagnée mais hors de question que l'esquisse de notre amour me poursuive alors aujourd'hui, en ces nuits qui refroidissent peu à peu qui gèlent l'espace-temps pour créer un voile d'ivoire sur la ville je me rends au cimetière une boîte de ferraille dans un sac à main et le livre sous le bras une lampe torche dans la main (je les enterre) mais les conserve (ils sont précieux) t r o p précieux mais j'entends une voix (la tienne ?) une hallucination, sans doute mes pieds font craquer la nature mes pieds brisent des vies et je te vois (je n'ai toujours pas répondu à ta question idiote) il y'a quelqu'un ((je suis là, joy)) ...oui.je retiens ma respiration et je te fixe je retire le faisceau de lumière qui devait t'éblouir (je t'observe du détail) ça fait si longtemps, que je ne l'ai pas fait en réalité les photos, je les ai supprimées ça m'a pas aidé à t'oublier, tu sais quelle coïncidence.horriblement amère je vais te le dire maintenant, ce que j'ai sur le coeur depuis qu'on se connaît je vais te le dire maintenant, mon h o n t e u x secret celui de lia et moi, car je lui ai raconté j'ai quelque chose à te donner, comme ça tu pourras te résoudre à que je suis une personne horrible. de toute manière, regal a dû te le dire. et au pire, j'effacerai le souvenir de ma venue. comme toutes les autres fois. je t'avais parlé de mon pouvoir, quand on était encore... amis.je jette le carnet à côté de toi, retenant toutes les émotions qui emprisonnent mon coeur je jette tout ce qu'il nous reste de cette relation juvénile qu'on avait avant ces trois mots, à tes côtés |
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| Sam 3 Déc 2016 - 1:01 | | afraid without you(amélia) ♪ | Aveuglé par la lumière, la peur congèle davantage mon corps, Corps perdu dans ce cimetière, Aux tombes glaciales et funestes. A cette retrouvaille inattendue, déjà douloureuse, déjà malheureuse. Car à peine le son de ta voix me fait prendre conscience que je mens tellement, je mens comme je respire et je piétine une promesse. Parce que, non, je ne l’ai pas oublié, la douceur, la tonalité et le petit brin d’amertume dans le son de tes cordes vocales. Je n’ai ni oublié les formes de ta silhouette que j’arrive à distinguer légèrement car tu as éteint ta lampe, depuis quelques secondes déjà. Et depuis ces quelques secondes je sais que je ne rêve pas, que tu es bien là, devant moi. (Et au fond, j’ai moins peur.)
Immobile. Comme une tombe parmi ses sœurs. Immobile lorsque tu évoque cette coïncidence. Ta froideur est encore plus dangereuse que la température de cette nuit. Je me demande même, si ce n’est pas toi qui me pétrifie. Silencieux à la durée de tes mots. Je ramasse le carnet que j’analyse d’un regard vague, il fait trop sombre pour me plonger dans la lecture. Je le conserve dans mes mains et j’imagine juste, j’imagine simplement grâce aux indices de ton discours, Que j’ai du, dans l’ignorance, encourir d’innombrables retours en arrière, des souvenirs effacés. Que sans m’en rendre compte. Tu voulais tout simplement que je reste éloigné de toi. (Tu avais peur.) Peut-être que tu connaissais déjà notre sort, peut-être qu’inconsciemment, tu savais que tout allait se briser.
Et dire qu’elle m’a fait subir. Ce que j’ai fait subir à Regal. La sensation d’être manipuler, comme un pantin, fissuré, tiré par ses fils, entre tes mains.
Mes jambes me guident pour me relever devant toi, carnet toujours saisi dans mes doigts. Mes yeux, enfin habitués à la pénombre, j’aperçois un petit peu les traits de ton visage. Un peu flou, un peu comme ce dessin au crayon qu’on estompe, qu’on efface tout délicatement avec une gomme.
- Je… Je sais que t’es pas quelqu’un d’horrible. Et crois-moi… Regal ne parle jamais sur le dos de qui que ce soit, Et je sais qu’il ne te trouvera jamais comme ça.
Parce que c’est moi l’horreur dans cette histoire. (Et parce qu’il sait que j’offre mon amour à de merveilleuses personnes.) Je désigne de l’index, le carnet.
- Je devais être… lourd… avant qu’on était amis…
Mon visage se balance vers le ciel, par la pression de la situation, par ta présence qui me rappelle à quel point je n’arrive pas à tenir cette malheureuse promesse.
- Tu sais, je comprends que tu détestes un mec aussi pourri que moi. Mais si les rôles étaient inversés… imagine…
Est-ce que tu serais aussi plongé dans une noirceur absolue ? Comment tout ceci, se serait passé, Si j’étais la victime. (Et toi la meurtrière ?) |
hrp : jsp si c nul. à toi de me le dire. |
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| | Mar 6 Déc 2016 - 17:58 | | No, I won't rescue, you to just desert me I can't give you, the heart you think you give me (imagine) tu me demandes d'imaginer tu t'es rapproché et on est face à face, une poignée d'étoiles imaginaires (le ciel est noir en ce moment) nous séparant je n'ai plus le temps de regretter affronter les problèmes serait une manière d'essayer d'arranger les choses mais ai-je vraiment envie de faire ça ai-je envie d'être c o u r a g e u s e une fois encore est-ce qu'on ne peut pas contenter de fuir de fuir et de faire semblant de s'être oubliés pourquoi on cherche encore à se confronter à s'entrechoquer et à finir blessés et puis si je te dis que ça va un peu mieux depuis quinn si je dois juste faire abstraction de tout ça (ne seras-tu pas soulagé ?) ne vas-tu pas repartir les mains dans les poches en disant (cool alors ! on se voit la semaine prochaine ?) je suis égoïste oh vraiment j'ai envie que tu repenses à moi que tu me regrettes un peu que tu ne sois pas heureux alors que j'ai mordu la poussière à un tel point que j'en ai encore des bleus j'ai pas envie de m'être battue et que toi tu t'en sortes indemne de blessures (horriblement égoïste) mais c'est la réalité tu as quelqu'un de précieux quelqu'un de gentil comme tu dis près de toi et arrête de défendre constamment ce gars, c'est bon je sais très bien qu'il est gentil qu'il est parfait. pourquoi t'es pas dans ses bras au lieu d'être là à remuer le passé ? son miel est tellement sucré qu'il en est devenu écœurant ?je donne un petit coup de pied dans le vide en réfléchissant c'est tellement dur de mettre des mots sur mon ressenti et même si je me mettais à ta place, comment je ferai ? je sais que je vais regretter, donc je préfère pas imaginer. t'es avec lui maintenant, et tu sais très bien qu'on ne pourra plus être les meilleurs amis du monde sans qu'il se passe quelque chose. et comme tu dis, il est trop gentil pour qu'on le mêle à nos histoires.je serre mon sac à main sombre comme la dôme du ciel contre moi en soupirant (voix douce soupir un peu attristé comme si je parlais à un pauvre gosse) ne l'es-tu donc pas un peu un gamin joy (même moi-même je l'avoue qu'on est des enfants qui tentent de résoudre des soucis d'adultes) t'as jamais été lourd, sinon j'aurai pas tout gardé. j'étais juste pas prête, j'avais peur de rater quelque chose ou de te décevoir car dans chacun de tes mots tu plaçais beaucoup d'attentes. j'ai toujours été la gothique bizarre au fond de la classe, tu sais. que quelqu'un me porte autant d'attention c'était lourd pour mes épaules et j'avais besoin de temps. je pensais que tu arrêterais, mais tu as continué encore encore et... on en est là maintenant. tout rentre dans les cases, car au final tu es quand même avec regal et tu l'aurais été sans nous deux. c'est le triste destin, mais c'est comme ça. je sais pas si tu comprends, où là tu as affronté l'épreuve avec quelqu'un qui t'aime moi j'étais en train d'insulter un mec qui m'avait rien demandé et qui m'a au final énormément aidé pour me sentir un peu plus forte. aujourd'hui, je voulais enterrer ce cahier pour mettre un point sur tout ça et me permettre d'avance : je veux bien essayer de faire quelque chose mais seulement si tu fais un choix et je suis persuadée que ça ne sera pas lui. c'est moi, ou lui.je baisse ma tête avec respect je suis désolée de te redemander ça, mais fais abstraction de mon existence (i m p o s s i b l e tu m'aimes trop c'est ça) , ça serait plus simple et un chemin peut-être moins brave et courageux mais plus sécurisé pour préservé ton couple et potentiellement le mien plus tard. |
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| Dim 11 Déc 2016 - 23:24 | | afraid without you(amélia) ♪ | Le froid endort le bout de mes pieds, mes doigts cachés dans mes poches, il me dévore, il nous dévore et pourtant je garde le silence de cette douleur, Si insignifiante avec tout ce que j’ai ressenti. Ce que nous avons vécu pendant la tempête, tout en haut du toit, près des étoiles, près du ciel et de la liberté. Mais à la place de me sentir libre, je suis emprisonné de mon passé. Il m’a enchainé, je suis sous son emprise, je suis perdu et je ne sais plus comment aller de l’avant.
Il y a Regal. Oui Regal, le gentil Regal, le maladroit, l’amoureux, le protecteur et l’imbécile Regal. Il m’a fait le serment de me garder près de lui, égoïstement, Il a promis de tenir fermement, dans toutes les circonstances, ma main, Est-ce que je devrais encore croire aux contes de fées alors que le notre a fini en grande tragédie, là ou la fatalité, couchée de toutes ses forces, de tout son poids oppressant sur nos épaules, comme le fardeau le plus lourd de ce monde. Et quand tu parles de destin. Tu sembles y croire comme si, quoi qu’il arrivait, l’histoire aurait continué ainsi, quoi qu’il arrivait, il n’y avait pas de solutions, juste la même fin de l’histoire, même si nous ne connaissant toujours pas, ce grand final. Je n’attends aucun rebondissement. Je ne crois plus aux miracles.
Tu me reproches de défendre cet ange trop emmiellé à ton goût. Tu ne l’aime pas parce que certainement sa lumière t’aveugle, certainement parce que. (La jalousie te le demande.) Mais je ne t’en veux pas, je le crois aussi trop gentil. Ça lui jouera de mauvais tours. Et pourtant je sais qu’il a sa part de ténèbres, comme moi j’ai une part de clarté.
- J’ai le droit de défendre ceux que j’aime. Et toi aussi je te défendrai…
Puis détrompe-toi, il n’a rien de parfait, ce n’est pas parce qu’il est si chatoyant qu’il faut le prendre pour ce saint, ce dieu tout puissant, sans défauts. Il en a, Comme toi. Comme moi. Comme le monde entier.
Ton coup qui frôle violemment le sol, se termine dans le vide, Je baisse la tête. Tu refuses de te mettre à ma place, parce que je le conçois, C’est trop dur. Et puis la triste réalité, c’est Johan le tueur, c’est moi, l’antagoniste de ce récit. Je lui en veux tellement, je ne peux pas m’empêcher de le haïr pour tout mais dans le fond, c’est horrible comme je me sens coupable à sa place. Comme j’arrive tellement à me sentir comme lui.
- Je voulais juste… Savoir… Moi je ne t’aurais pas vu… comme une meurtrière.
Mes murmures, tu ne les as sûrement pas entendus, parce que dans le fond, je n’ai pas envie de l’avouer, je n’ai pas envie de dire ce que je ressens de vive voix. Mais peut-être que tu les as écouté, avec ton attention particulière. Peut-être. (Je l’espère un peu.)
Tes explications, je les enregistre, pendant que mon regard vide se perd dans le paysage sombre de la forêt. Tu parles du destin, et le destin c’est toujours malheureux. Quand on parle de destin, on pense à une aventure si belle, et au final, elle ne peut pas se finir sans qu’il y ait des événements misérablement indésirables.
- Comment je pourrais faire abstraction alors que tu continues d’exister Amélia ? Oui je t’ai fais une promesse. Je sais, et parfois je ne la tiens pas parce que je continue de penser à toi, de me demander si tu vas bien, ce que tu fais à tel et tel moment. Pff… puis merde, t’oublier ça se fait pas en un clin d’œil ! Bref. C’est sympa de penser à mon couple… j’ferai de même.
Ma main tire sur mon col pour réchauffer mon visage cramoisi par l’air glacial. Je redirige mon regard vers toi.
- J’espère pour toi que tu trouveras quelqu’un de bien, Pas de nouveau un assassin.
Je me tais et je m’approche de toi, car le chemin pour rentrer se trouve derrière ton dos et je commence à me dire, qu’il serait temps que j’aille vers ce qu’on appellerait. |
hrp : pardon c'est long. et nul. |
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| | Lun 12 Déc 2016 - 0:29 | | No, I won't rescue, you to just desert me I can't give you, the heart you think you give me je relève mon nez je te laisse parler jusqu'au bout répondre jusqu'à ce que tu n'aies plus de souffle d'inspiration de mots à m'offrir (j'ai envie de t'embrasser) pourquoi mes sentiments ne s'essouflent-ils pas pourquoi tu ne comprends donc rien à tout ce qui est derrière j'entends tout je vois tout j'ai envie de te serrer dans mes bras j'ai envie de pleurer mais ça ne je ne le ferai pas (ou peut-être bien que si) je coince mon nez dans mon manteau la gorge serrée (je vais bientôt exploser) devenir hystérique tout t'étaler pour que tu comprennes tu es horrible joy je te hais mais je t'aime tellement il n'est plusbquestion de johan, de lia mais de joy, de regal et d'amélia comment peux-tu exprimer l'envie que je me trouve quelqu'un tout court de bien ou une saloperie on devait s'aimer joy et que reste-t-il de cette étincelle époustouflante ? r i e n juste des cendres auxquelles on tente de s'accrocher et qui nous glisse entre les doigts je vais m'arracher les cheveux prépare-toi je vais tout t'envoyer d'un coup toutes les réponses tout amèrement tu t'approches et je recule et je me rends compte que ce n'était pas pour moi que tu t'avançais mais pour partir tu abandonnes donc si facilement ((j'applaudis)) douloureusement ironique bravo joy. tu es complètement aveugle ma parole.c'est trop t a r d j'ai commencé à exploser je dis très calmement du moins je l'espère j'expose je conte sans artifices et je mélange ça fait longtemps que je t'ai pardonné joy, mais comment tu voulais que je te le dise ? ok donc tu si tu te mets à ma place, tu ne me vois pas comme une meurtrière mais il faut aller plus loin bon sang. on reprend à zéro. donc alors, je te dis je t'aime les souvenirs remontent : je t'ai tué. tu as besoin de temps pour réfléchir et impulsivement tu dis que c'est terminé. tu commences à insulter un gars dans un parc pour penser te sentir mieux, il te tabasse en échange pis une discussion et une modification de souvenirs qui vont t'aider à me pardonner : tu es prêt à recommencer cette relation amoureuse certes recouvert de bleus mais déterminé. sauf que moi entre temps, en à peine deux putain de semaines je sors avec un autre gars. donc la personne que tu aimes se la coule douce avec un autre pendant que tu prends cher pour être réparé pour lui. est-ce que tu penses que c'est facile pour moi, ça ? tu m'as, certes pas oublié mais tu sors avec regal bordel. tu m'as pas laissé le temps de digérer. comment je peux savoir si tu m'as aimé réellement ? si c'était pas notre ancienne relation qui nous a influencé ? car je t'aime joy (je crois que je pleure) je t'aime encore, mais d'une main tu me forces à tourner la page en sortant avec regal, et de ta voix tu me hurles à être indulgente avec toi et t'aimer encore un peu. je veux juste être heureuse moi. heureuse. et tu peux pas partager ton amour, et je sais pas ce que tu veux, et tu es trop complexe, et tu dis vouloir me défendre, mais c'est toi qui assaille mon cœur depuis le début.alors non mais tu peux pas m'oublier, mais c'est putain d'égoïste. pour moi, pour regal. car on mérite plus que ça. plus qu'une moitié d'amour, alors s'il te plaît oublie-moi pour rendre UNE SEULE PUTAIN DE PERSONNE heureuse. regal.je m'effondre psychologiquement |
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| Mar 13 Déc 2016 - 16:35 | | afraid without you(amélia) ♪ | Tes paroles pleines de sarcasmes me félicitent faussement, et juste ça c’est le déclic. Parce que tu le dis clairement, En entendant comme des claquements de mains, je me retrouve dans le noir, Les spots lumineux m’aveuglent. Parce que tu l’a dis clairement. Je suis putain d’aveugle, égoïste et je vais continuer à fuir, je me rassure en pensant clairement à cette histoire de destin tout tracé. C’est d’une débilité profonde, affreusement pitoyable.
Je me sens comme une petite merde qui s’étale sur la scène. Et là je vois les doigts des spectateurs pointés vers moi, les rires, les applaudissements. Imagination débordante quand on se sent si misérable, si pourri de l’intérieur. Je pensais juste à ma gueule et pas à mon entourage. Pas à toi Amélia. Tu ne voulais rien de tous ça…
Parce que je sais que je le suis… J’ai l’impression d’être le responsable de tous les malheurs du monde, Qu’on me haïsse pour ce que je fais. Alors que c’est moi-même qui me haït et je portais la faute sur toi, uniquement sur toi, quel…
C o n n a r d.
Parce que t’entendre me dire que tu m’as déjà pardonné. C’est comme si je continuais de croire au père noël, à la fée des dents et au lapin de pâques, j’étais tellement obnubilé par moi. Et moi seul, Johan ne compte pas, parce que dans l’histoire c’est moi. J’ai voulu tourné la page trop vite, allé faire le premier pas vers mon ami le plus cher, en pensant qu’être informé de son amour pour moi, tout allait changer, qu’en allant de l’avant je saurais tenir ma promesse qui. Je le sais, t’as fait tant de mal jusqu’à maintenant. Mais quel con, quel con, j’étais pas réveillé, je regardais que ma coquille qui me tenait au chaud prisonnier, je regardais pas clairement autour de moi. Je vous ai planté un couteau de nouveau et dans votre âme cette fois, pas dans votre cœur physiquement, mais votre cœur sensiblement, la douleur la plus dure à soigner, je la connais si bien, que j’en ai la nette impression de vouloir la partager de façon si exclusive.
Et finalement c’est moi qui m’imagine réellement à ta place. Tu as eu l’aide d’un inconnu, tu as réussis à devenir si forte et moi je me tue à tenter de l’être en continuant de faire le fuyard, en continuant d’être f a i b l e.
Le liquide lacrymale coule et se glace déjà contre ma peau avec l’air hivernal autour de nous. Je sors mes mains de mes poches, (Un bruit retenti sur le sol sans que je le sache.) Et je te saisis toi, j’appuie mes doigts contre tes bras. Le regard vitreux, flou, là c’est clair que, Je suis aveugle, Je ne vois absolument rien, ni même ton visage et pourtant qu’est-ce que j’ai envie de le voir. Je me contenterai juste de ta présence, de ton souffle glacée, de la pression de ton regard qui injecte tellement ton venin sur moi, un venin à la fois doux et acide. Parce que c’est clair que je suis le mec le plus décevant de la terre.
- Pourquoi tu continues d’aimer… un sale con ? Tu mérites plus que ça, tu mérites tout le bonheur du monde… t’es pas qu’une simple gothique qui reste au fond de la classe, à parler de choses étranges, tu es Amélia. Amélia la fille qui a cette personnalité magique, Qui malgré les vêtements sombres qu’elle porte reste comme un soleil, si magnifique, si douce, si toi. J’te le dis maintenant là tout de suite, j’ai été charmé dès la première fois que j’t’ai aperçu dans le manoir, C’est pour ça que je suis resté déterminé, même si je me souviens absolument pas de mes premiers mots glissés sous la porte de ta chambre, je me rends compte que j’ai continué jusqu’à… Jusqu’à qu’en soit arrivé à ça…
Mon souffle se coupe et je le reprends en planquant mes mains glaciales sur tes joues.
- Je ne sais absolument pas quoi faire, je suis dans une impasse, j’ai l’impression de me retrouver dans un cul de sac ou le dilemme le plus important, C’est dur… c’est dur parce que j’ai appris à ressentir quelque chose pour Regal. C’est dur de choisir entre ta lumière et la sienne. Mais… Je crois que je ne mérite pas le bonheur, je suis trop égoïste pour ça, je devrais vivre tout seul dans mon coin pour éviter encore de tout détruire sur mon passage. Je… J’aimerais te dire de nouveau les trois mots les plus importants, mais j’ai constamment peur que ça déclenche une tempête encore… Même si tu m’as pardonné, putain… quel poids retiré dans mon cœur… putain...
Mes yeux se ferment pour favoriser l’écoulement de mes larmes. Si seulement elles pouvaient m’étouffer.
- J’ai peur… Amélia. Je suis effrayé sans toi. Mais sans lui aussi. Je suis effrayé quand j’entre dans ma chambre, seul et que je le vois lui. Que je vois l’image de mon passé. Je… Je me hais tellement. C’est tellement égoïste de vouloir se tuer juste parce que je me sens en dessous du reste du monde. Je n’en peux plus. J’aimerais rendre quelqu’un heureux, mais j’ai l’impression d’en être incapable…
Ma tête se balance sur ton épaule, je renifle et je me dis que je ne mérite pas ce contacte entre ton corps et le mien. Je risquerai de t’abîmer encore Amélia. Tu sais que, Je t’aime. Mais tu sais que j’ai promis de renoncer à toi. (J’ai du mal à tenir une promesse détestable.)
- Tu dois être heureuse… Tu mérites tellement de vivre cette deuxième chance comme il le faut…
(Contrairement à moi.)
Mes lèvres effleurent ta joue quelques secondes, sans réfléchir, j’aurais pu les déposer sur tes lèvres mais j’ai tellement peur te les déchirer avec ma pourriture qui se dégage de tout mon corps. Je me recule de toi et d’un pas en arrière, mon pied se pose. Un bruit étrange retenti, le bruit d’un frôlement de plastique contre le sol. Mon visage se baisse. Je vois l’objet qui se trouvait avant dans ma poche et je tente de l’attraper en tendant la main vers le sol. Tu la vois certainement, cette lame de cutter conservée dans son cadre plastifiée bleu électrique. La honte tombe sur mes épaules et je le retire de notre vu en le jetant le plus loin possible en direction de la forêt. Je reste un moment immobile. Je me rappelle pourquoi j’étais venu ici. Encore influencé par mon envie de disparaître, Je me sens encore comme un tas de déchet devant toi. Ma respiration est irrégulière, mon épaule gauche me fait mal avec mon mouvement trop brusque dans le vide pour cacher cette arme insignifiante.
- Je… Je… je ne sais vraiment pas quoi dire là… Actuellement…
Le retour de Joy le timide, Joy le honteux, le bègue au visage rougeâtre, le débile désintéressé et ennuyé, le mec qui baisse la tête pour se montrer le plus sombre que possible.
- J’suis con…
Con et désormais je ne vais pas fuir et partir, te laisser seule et peu importe où nous sommes arrivés, dis-moi tous les mots dures ou doux qui te passent par la tête, Je serais là pour écouter et hocher la tête car je te donnerai toujours raison. |
hrp : :/ |
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| | Sam 17 Déc 2016 - 21:50 | | Constantly, boy you played through my mind like a symphony There's no way to describe what you do to me je n'ai plus la force pour lutter, pour t'embrasser ou même te repousser je reste immobile quand tu me serres dans tes bras, quand tes doigts de glace filent sur mes joues pour me faire frissonner quand tu reprends ton souffle quand tu parles quand tu te rabaisses quand tu pleures sur mon épaule et même quand tes lèvres se logent à la place de tes mains je suis immobile car je ne sais pas quoi faire car tu dis continuellement que tu ne mérites pas le bonheur et que je le pense un peu aussi mais qu'il serait ignoble de te le dire alors je suis poupée de cire car de toute manière cela fait longtemps que tes doigts ne me brûlent plus un pas en arrière le craquement familier du plastique je plisse les yeux pour apercevoir la source et un cutter que veux-tu que je te dise joy un soupir résigné et j'essaye d'effacer mes propres larmes ((j'ai mal au crâne je suis fatiguée)) je veux rentrer à la maison je veux aussi me loger dans tes bras pour ne plus jamais avoir froid que tu me dises les trois mots mais on sait très bien que ça ne se fera jamais je considère que ce n'est plus mon problème, fais ce que tu veux avec ce truc et tes veines. si tu veux te repentir, sois heureux. car ça se voit que regal ne veut que ça. je suis fatiguée joy, ça m'a lessivée. je suis consciente que c'est douloureux, mais on s'habitue. encore désolée si je t'ai heurté.il faut que tu comprennes joy que je ne serai plus là pour supporter le poids de tes tristesses que dorénavant, je ne serai plus maternelle avec toi que je ne me soucierai pas de si tu es malade ou non il faut que tu comprennes joy qu'en disant que tu avais appris à l'aimer lui tu m'as perdu moi si tu as réussi à apprendre à l'aimer, alors tu peux très bien apprendre à m'oublier. concentre-toi sur lui, je te le répète. aime-le profondément. je ne veux plus éterniser tout ça, car on se fait juste du mal. alors une dernière fois joyje dis ça avec respect merci d'être venu me voir. merci d'avoir éclairé la zone sombre de mes souvenirs. merci de m'avoir aimé, merci de m'avoir appris à aimer. merci pour tout, désolée pour tout. de ces malentendus, que tu en arrives au point que tu veuilles crever.à mon tour je fais un pas en arrière et je tente juste de de m'en aller |
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Symbole : pomme.
Occupation : étudiant et casse-couille.
Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
| Sam 24 Déc 2016 - 0:35 | | afraid without you(amélia) ♪ | Ce n'est plus ton problème, si une lame s'appuie contre ma chair, que l'écarlate s'écoule contre ma peau, que mes larmes brûlent et rougissent le blanc de mes yeux, Cela restera le mien et certainement celui de Regal... Je sais absolument que nous sommes encore que des enfants qui ignorent encore les secrets de la vie. Petit, ma mère m'a tant parlé de l'amour, Que ce n'est pas si facile que cela à acquérir, qu'il y a des jours où on trouve cela si beau, si réchauffant, que notre corps en devient si léger qu'on pourrait croire à un enchantement, Mais qu'il y a des nuits où c'est plus dur, que parfois notre cœur peut hurler, que c'est souvent douloureux à encaisser, lourd à supporter. Amélia, peut-être que grâce à cette triste expérience, je saurai enfin me repentir. Peut-être grâce à toi, j'éviterai toutes mes erreurs, mes gaffes, mes fautes, mes connerie immatures. Peut-être que tu vas me rendre plus adulte. Peut-être que dans un avenir lointain ou proche, (Tant de peut-être.) Tu seras si heureuse que je serai tellement ravi pour toi, Tout s'effacera, C'est ton bonheur qui compte après tout, même si je n'en serai pas la raison, cela sera plus simple pour moi, De t'oublier.
Alors c'est fini. La page de notre récit se tourne. Cette fois si ce ne sont pas les rideaux de la scène tragique qui tombent. C'est la conclusion de notre histoire larmoyante. Alors tu te retournes pour partir et moi je devrais rester planter là, me taire, oublier. Mais désolé, ça ne se passera pas ainsi. Certes nous allons vivre chacun dans notre coin, sans se soucier de l'un et de l'autre. Tu m'as remercié. Ça m'allégit d'un poids à porter, (J'en oublierai mes envies de cutter contre mes veines.) Et moi ? Je n'ai su que te dire de la merde. Je voudrais juste me rattraper, même si, toi vas certainement vouloir m'ignorer, Mais je refuse de retourner au point de départ. Et si la fin du monde avait sonné que nous étions les seuls survivants ? Est-ce qu'on continueras à s'ignorer éternellement ? Se serait insensé, ridicule, ça serait jouer l'enfant jusqu'au bout. Alors j'attrape doucement, délicatement ta main, sans mauvaise intention.
- C'est surtout à moi de te remercier... je pense que grâce à tous ça, (à toi.) Je vais pouvoir y arriver...
Je te tiens si légèrement que tu pourrais me lâcher sans utiliser de force, Nos doigts s'effleurent à peine. Je souffle un coup avant de te regarder droit dans tes yeux doucereux.
- Mais... est-ce que tu penses que j'arriverais à me pardonner ?
Je baisse un peu le regard, si intimidé par toi, Et je tente le tout pour le tout, Peu importe le malentendu que cela pourrait causer, nous n'avons rien à cacher, restons simplement, tous les deux, sur de bonnes bases, oublions la douleur, tu m'as dis qu'on fini par s'y habituer...
- On prend tous les deux le même chemin pour rentrer... J'vais pas te laisser toute seule non plus.
Alors mon corps s'avance à tes côtés. Et tant pis si sur le chemin on aura rien à se dire,
Nous avons déjà exprimer tout ce qui pesait sur nos cœurs. |
hrp : dsl c pas terrible. :(( |
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