eldeweiss allister callaghan
feat todoroki shouto - boku no hero academia
« You either die a hero, or you live long enough to see yourself become the villain. »
Surnom ♦ master of puppies Âge ♦ 28 ans Date de naissance ♦ 5 octobre Lieu de naissance ♦ Providence, Rhode Island. Nationalité ♦ Américaine (d'origine irlandaise) Occupation ♦ pâtissier ; bénévole dans une association pour animaux
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mental
la cigarette s'éteint et tu te presses d'en allumer une autre ; drogué à la nicotine, dans un besoin d'évacuer le stress accumulé. c'est étrange comment tu peux être aussi calme et toujours ressentir ce besoin de fumer; difficile de s'arrêter.
d'ailleurs tu es calme, ce n'est pas un masque, ce n'est pas un mensonge que tu affiches tous les jours.
des mots non prononcés, une nonchalance évidente, un silence prometteur que tu promènes toujours avec toi, comme un petit animal bien dressé, qui ne s'enfuyait jamais.
alors pourquoi fumer ?
impossible de s'en passer. tu n'as jamais pensé à arrêter. l'idée n'est jamais venue faire un tour dans ton cerveau.
l'arrêt de la cigarette durant le travail tout de même; tu es très professionnel. travaillant à l'arrière, sans contact autre que les membres de l'équipe, on ne peut pas voir ton visage ; cette tâche de vin qui recouvre tout ton œil gauche qui pourrait passer pour une brûlure. longtemps moqué, bousculé ; et pleurer, longtemps.
"maman, regarde le monsieur !" ; aujourd'hui, ce n'est plus que de l'indifférence ; tu le sais, tu le sais que tu es laid. qu'est-ce tu t'en fous.
tu aimes à écouter les enfants réclamer à manger ; tu aimes entendre les compliments des habitués ; faire plaisir est l'une de tes principales préoccupation.
philanthrope décomplexé, cela paraîtrait presque à cacher dans cette ère de haine affichée.
un air de distance avec tout, quand tu te sens si proche de tous.
alors comme tu as été détruit, blessé, humilié et que parfois la confiance te manque, tu ne peux pas facilement les approcher, les autres. tu as peur d'effrayer, tu as peur d'être écorché ; encore. tu parais insensible quand c'est tout l'inverse. simplement tu as appris à ne pas sourire trop rapidement, de peur d'être à nouveau trahi.
philanthrope effrayé par l'humanité.
pourtant il y en a à qui tu souris sans te retenir, avec qui tu peux à nouveau montrer ton amour et te faire aimer ; les animaux eux ne peuvent te trahir, ils sont emplis d'un amour éternel et universel. tes collègues de l'association sont ceux qui probablement te connaissent le mieux, mieux que quiconque, car ce sont eux qui te voient sourire le plus, eux qui te voient aimer, eux qui te voient choyer ces animaux en mal d'amour. et toi, toi, toi, pauvre fou, tu te demandes si ce n'est pas farfelu tout ça, si ce n'est pas simplement un moyen pour être un moyen d'être aimé en retour.
tu aimes comme tu voudrais être aimé, mais instinctivement tu lèves des barrières entre toi et les autres. la confiance est à gagner.
"pédé pédé pédé pédé pédé pédé pédé" ; la cruauté des hommes aimés.
histoire
une légende raconte que nos tâches de naissance indiquent l'emplacement de ce qui a provoqué notre mort.
dis, allister, c'est ça ta tâche sur ton œil ? c'est ça ?
comment tu peux le savoir hein ? comment tu peux le savoir que dans ta vie précédente, tu es morte dans un incendie ? bien sûr, tu ne le sais pas. tu es né à nouveau, mais sans pouvoir t'en souvenir. tu es né à nouveau, mais ça aurait été mieux si ça n'avait pas été le cas.
un physique des plus singuliers, mélangeant toutes mutations, provoquant les rires, les moqueries, les hurlements de dégoût. Un physique des plus atypiques, qui probablement, trouvera sa cause dans la génétique.
une seconde chance que tu ignores, et que tu aurais préféré décliner.
élevé dans l'amour de ton prochain, dans le respect tu n'en tiens pourtant pas rigueur. tu pardonnes à tes harceleurs passés ; après tout, la faute n'est pas en eux. Elle est en toi.
Tu grandis bousculé, harcelé et souvent tu pleures de ce physique diabolique. Pourquoi moi?
Mais tu aimes, tu aimes sans condition.
Un jour les insultes ne sont plus que sur le physique, mais on te balance des "pédé" au visage, on n'ose plus te toucher ;
mais tu continues d'aimer.
tu grandis, sans te souvenir de cette première chance, maudissant plutôt cette deuxième.
tu aimes les autres en te détestant toi-même.
tu as eu la chance de rencontrer des gens extraordinaires. ils t'ont fait t'accepter, ils t'ont fait aimer ; aujourd'hui, si beaucoup ne sont plus là, tu continues de les aimer, un regard vers le ciel, et pour eux, tu vas souvent prier.
derrière l'écran
olaaaaaaaaaah
moi clyde
moi amour moi câlin
moi 18
moi bien aimer vous, moi penser venir ici longtemps depuis
moi prépa moi pas là tout le temps mais moi faire de son mieux