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Black sails
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Jeu 27 Oct 2016 - 1:20
Fly

feat Marco Adriano (Spas) - Gangsta.
«Si tant de gens meurent avant d'avoir appris à vivre, c'est parce qu'ils vivent comme s'ils ne devaient jamais mourir.»

Surnom ♦ Fly.
Âge ♦ 34 ans.
Date de naissance ♦ 21 octobre.
Lieu de naissance ♦ //.
Nationalité ♦ //.
Occupation ♦ Antiquaire + Trafiquant d'armes.
Pouvoir ♦ Identification.
Symbole ♦ Une montre à gousset, sur le coffre duquel est gravé dans le bronze un ancien planisphère.

mental

Mama, just killed a man
Put a gun against his head
Pulled my trigger, now he's dead
Mama, life had just begun
But now I've gone and thrown it all away
Mama, ooo
Didn't mean to make you cry
If I'm not back again this time tomorrow
Carry on, carry on, as if nothing really matters


Il trinque, shoot. Un verre.
19 h sonne. Le glas sonne.
Barrer la porte. Clore le pré. S'y barricader, comme la vulgaire laideur du monde humanisé. Visage
Démagogue.
Perdu à travers le rideau de poussière, il se noie, la tête penchée vers l’arrière.
Un respire.
P’tain.
Ce que le feu peut être bon. Il descend, coule à flot.
C’est l’Odyssey prenant le large.
C’est devant lui
En lui
La houle pompe à ses tempes
L'écume d'un autre temps.
Autre mœurs, autre lui

Peut-être n'est-ce que l'alcool qui le grise et l'embarque, voiles déployées, vers cet horizon utopique que ses yeux trop bleus - trop gris - tentent stupidement de retrouver. Vieux paysage jauni, effrité, par les années. Photo d'époque.
«Et zut...»
Comme il exècre à se souvenir.
Admire l'usure élimer ton bureau antique. Ça te confortera dans la solitude de ton commerce.
Admire les pendules chanter l'heure tous en chœur.
Admire les lames émoussées des cosaques traîner sur ton mur trop grand.
Admire la boutique respirer les millénaires et les souvenirs.
Respirer le parfum des histoires
Enfouies sous des couches d'héritages artificiels.
Ce sera mieux que le négatif de tes pillages dépassés.
Toujours mieux.

Il aime à se croire vivant lorsque les dernières existences ont quitté son royaume de vieillesse délaissée. Lorsqu'il peut s'avachir sur les fauteuils capitonnés de la prohibition, jouer avec le chien de son arme et buter un vase de porcelaine qu'il juge sans avenir. Ramasser les monceaux d'une antique mémoire éventrée. Puis étouffer la pièce de ses poumons noircis. Il aime à se mirer dans les glaces victoriennes, effleurer sa vieille balafre en riant d'une douleur oubliée. Vague remous - lointain - du temps où le clebs qu'il est léchait la crasse des rues afin d'en faire scintiller l'arrogance des injustes.

Quand le silence des objets ne suffit plus à polir l'usure de son âme, quand le jeu du mauvais acteur ne lui permet plus d'ignorer son récit, il quitte la scène inanimée par la porte arrière et rejoint l'antre des errants, des loques et des timbrés. Il fait danser les oubliés, reprend son histoire en y cherchant les indices. Quelque chose à quoi se raccrocher.
Quelque chose d'autre que ses rires dépravés.
C'est sûrement trop demandé. (Ou très mal amené.)
Les lieux qu'il pille en quête d'éclats et d'étoiles à aimer ont déjà été sondés. Jusqu'à la poussière des sombres recoins.
Il est fini, le temps où il pouvait passer en grandes pompes devant les vies d'espérance aliénée.
Sa carcasse se roule dans les ordures en prenant la peine d'y soigner son smocking - son unique smocking - sans se soucier des regards, des mots armés et des gestes de pitié.

Fly marche comme une ombre, longeant les rues les pensées vides, les yeux perdus. Mains dans les poches, il fredonne des airs inconnus (ou peut-être fume-t-il), dodeline de la tête et se dandine les pieds sur les pavés. Fly compte les heures comme s'il comptait la caisse. Celles perdues, celles volées, celles empruntées, celles flambées, celles gagnées, celles blanchies. Fourrant sa tête entre les étoiles, il mine de rêver et en sourit béatement. Comme il est bon de s'imaginer meilleur, humain - terriblement humain - et grand. Comme il est bon de se croire invincible et spécial. La vie n'a peut-être pas de sens, mais elle a l'amère présomption de nous le faire chercher. Ce sens a deux balles pour lequel il faut aimer. Chérir. Périr.
À défaut de se casser la tête contre cette énigme en béton - invisible mais en béton - Fly laisse les autres prétendre le trouver à sa place. Et quand ils se fracasseront l'âme contre les récifs de cette ironie, il sera là, avec ses chiens et ses balles, à offrir la chance d'en finir avec la vie. Cette idée assurément tarée. Ce concept foncièrement crétin. Cette entité platement débile.
C'est forcément pour prévenir une quelconque folie qu'il n'espère en rien peindre de rose son récit. «Comme ça mourir n'aura aucun sens et je ne lui en prêterai aucun.»
Ni importance. Ni réticence.
Quelle condescendance...
L'adversité des choses est l'absurdité de leur existence.
Mais ça, Fly l'éprouve en permanence.

But I'm just a poor boy and nobody loves me
He's just a poor boy from a poor family
Spare him his life from this monstrosity
Easy come easy go will you let me go
Bismillah! No we will not let you go - let him go
Bismillah! We will not let you go - let him go
Bismillah! We will not let you go let me go
Will not let you go let me go (never)
Never let you go let me go
Never let me go ooo
No, no, no, no, no, no, no
Oh mama mia, mama mia, mama mia let me go
Beelzebub has a devil put aside for me

For me

For me


histoire

Living easy, living free
Season ticket on a one-way ride
Asking nothing, leave me be
Taking everything in my stride
Don't need reason, don't need rhyme
Ain't nothing I would rather do
Going down, party time
My friends are gonna be there too

I'm on the highway to hell
On the highway to hell
Highway to hell
I'm on the highway to hell


boîte à souvenirs

Nom ♦ Stevenson.
Prénom ♦ Florian.
Avatar ♦ Corvo Attano.
Nationalité ♦ //.
Occupation ♦ Corsaire pour les Anglais au temps de Napoléon. (Ex flibustier.)
Il levait l'ancre et son cœur à la fois. Au rythme des flots bondissant contre la coque, au mât de misaine à la voilure gonflante, il admirait, la fierté bouillonnant à ses tempes, l'Odyssey quitter le port, à nouveau libre d'embrasser les eaux. Le navire était la plume du poète, grattant le papier mouvant de la mer de bavures de bois et de fer. Il ne laissait rien dans son sillage, si ce n'était les frégates tricolores croisant son chemin, éventrées sans remords, vulgaires baleines d'où s'écoulaient les entrailles fumantes de poudre et de sang des corvettes françaises.

Peut-être le souvenir de ses vieilles années sans consignes ni lois remontaient à la surface, venant le narguer du miel des pillages et de la douceur de la peur. Il avait insufflé ce vin exquis de frayeur avec un amusement enfantin, un sourire carnassier peint sur son visage balafré, et désormais, le voilà qui se retrouvait enchaîné à une cour ampoulée, où les fraises et les postiches se côtoyaient avec une hypocrisie sans faille. Un clébard payé afin de tuer les autres chiens. Payé en échange de sa vie, vil traître des eaux.

On l'appelait Fly. Fly, because he was flying as an hawk, blowing like the wind. Et personne n'abordait son navire sans y laisser sa misérable existence. Esclaves, naufragés ou cadavres, tous avaient le choix. Il coursait sur les mers avec l'aisance de Neptune, riant d'orgueil sur la ligne d'horizon, lorsque, derrière son carnage, nageaient les victimes de ses guerres.

Il avait levé l'ancre ce jour-là et s'il avait su que les rives ne le recueilleraient plus, laissant son corps aux embruns et aux charognards, Fly aurait admiré le soleil descendre sur l'eau, le vent dans les cheveux, et d'une arrogance pédante, aurait levé la tête vers les nuages vespéraux et crié :

«Que la Mort vienne si c'est là son rendez-vous. J'y serai, à point nommé, pour lui offrir mon sabre et mon navire, le feu aux voiles et le corps de mes ennemis aux mâts. Et les vautours se griseront de ce buffet. Elle pourra, alors, m'emporter.»


Ye haven't an arm, ye haven't a leg, hurroo, hurroo
Ye haven't an arm, ye haven't a leg, hurroo, hurroo
Ye haven't an arm, ye haven't a leg
Ye're an armless, boneless, chickenless egg
Ye'll be having to put a bowl to beg
Oh Johnny I hardly knew ye.


derrière l'écran

Allô, au chaud. Haha. /MEURS

Jeune femme cynique et étrange, aussi craintive qu'un petit suricate. Mais j'aime parler avec les gens hein. Fuyez pas... Sinon, je suis fervente de science-fiction et d'inquiétante étrangeté. De malaises et d'humour noir.
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Jeu 27 Oct 2016 - 1:45
BIENVENUE
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Jeu 27 Oct 2016 - 2:07
LES SURICATES C MES ANIMAUX PRÉFÉRÉS
TON VISU EST GÉNIAL ET JE SAIS QUE JE VAIS T'AIMER JE TE RÉSERVE UN LIEN UN RP JPP
Johan Heisenberg
 
myosotis
myosotis
Johan Heisenberg
Black sails  YHY5zYV
Messages : 1011
Pouvoir : manipulation
Symbole : pomme.
Occupation : étudiant et casse-couille.
Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
Jeu 27 Oct 2016 - 11:29
BIENVENUE (cutie)FLY. Burgerpants
JE KIFFE LA VIE ANTÉRIEURE DE TON PERSO OH LA LA.
c'est quoi tout ces new membres fab' qui débarque ?? Onionsan
bonne chance pour la suite. ♥️♥️
Invité
 
Invité
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Sam 29 Oct 2016 - 7:20
Merci vous trois. ♥️
Vouiiiii les suricates sont fantastiiiiques !
Burgerpants
J'ai toujours rêvé de faire un corsaire huéhé. 8D

Du coup, j'ai terminé ! ♥️
Regal Holmes
 
myosotis
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Regal Holmes
Black sails  O7aNzTL
Messages : 199
Pouvoir : évolution
Symbole : livre
Occupation : Lycéen
Avatar(s) : Sugawara Kôshi (Haikyu) - Nanako Dojima (Persona 4)
Sam 29 Oct 2016 - 13:09
Validation

Hey Fly (Je sais pas si tu sais voler, mais en tout cas, tu me donnes des ailes avec ton style dans ta fiche 8D). Tu me vends tout autant du rêve avec les vavas que tu as pris, Marco & Corvo ♥️♥️ just right

D'ailleurs, vraiment merci pour tes références musicales (Bohemian Rhapsody, Highway to Hell & Johnny I hardly knew ye), je t'aime déja ♥️ spaz kermit

Enfin bref, j'ai déjà hâte de voir comment tu le fera évoluer. Gambare~ happy noya

Donc je te valide sans plus attendre, bienvenue chez les Bleus (les meilleurs c;), mon cher Fly. ♥️ Rick Look

Tu peux faire ta fiche de lien.
Tu peux faire ton portable pour spamme tes potos.
Tu peux faire une demande de rp.
Et surtout bien t'amuser avec nous tous ! ♥️
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