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Miloslav. Tomorow never comes |
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| | Dim 14 Jan 2018 - 14:53 | | Miloslav Iegorov Avatar Trafalgar Law. One piece. Surnom Milo par ses connaissances peut habitué aux surnom russe, Slava par sa famille. Âge 20 ans. Date de naissance21 Février 1997 Lieu de naissanceSaint-Petersburg. NationalitéRusse. Occupation.Enchaine les petits boulots quand l'argent commence à manquer. Pouvoir Création. Symbole Survivre à un accident de voiture. | caractère Milo, c’est le mec au fond de la classe qui passe son temps à dormir en cours ou à dessiner, quand il ne sèche pas tout simplement… Il est difficile à approcher pour ses camarades de classe, il sourit presque jamais. C’est difficile de trouver un sujet de conversation : le sport ? Il n’aime pas le foot, mais suit avec assiduité les compétitions de curling (il y en a plus qu’on pourrait le penser). Les cours alors ? Hum il passe plus de temps en dehors d’une salle de cours que dedans. Ah ! Les glaces ! Tout le monde aime la glace ? Oui, c’est vrai, il aime la glace, il aime bien tout ce qui est sucré même, on ne dirait pas comme ça, mais c’est un grand gourmand. D’ailleurs demandez à ses quelques amis, c’est un gouffre sans fond pour tout ce qui est gâteaux, pâtisseries, sucreries, ça ne doit pas aider que ses parents tiennent une boulangerie/pâtisserie…
Milo c’est l’ami que vous ne penseriez pas avoir, et puis finalement un jour, il vous parle, ou vous lui parlez et ça colle bien. Alors il commence par vous parler de plus en plus de tout et de rien, de ses passions (vous découvrez beaucoup de choses sur le curling) de ce qu’il déteste (c’est vrai que la géographie, c’est un peu nul quand même). Il vous initie à la cuisine Russe. Et un jour il finit même par vous montrer ses peintures et ses sculptures. Parce que oui vous découvrez que, en plus des sports sur glace et des gâteaux, il aime par-dessus tout l’art. À partir de ce moment-là, il vous traîne dans tout pleins d’exposition, vous explique qui est Anish Kapoor. Et c’est en général à ce moment-là que vous en avez marre, que vous vous dites que ce n'était pas plus mal avant, quand il ne vous parlait pas, alors vous commencez à prendre vos distances, vous l’évitez en cours, c’est pas trop compliqué vue qu’il n’y vient pas beaucoup. Et un jour finalement vous le croisez dans les couloirs et il ne vous regarde même pas, et ça vous soulage de plus entendre parler de curling, vous aimez bien la géographie vous en plus. Les pâtisseries vous manquent un peu parfois, c’est vrai.
La solitude de Miloslav, c’est sont carburant, il a l’habitude de vivre seul, de ne s’occuper que de lui, alors il a du mal souvent quand il s’agit de s’occuper de quelqu’un d’autre. Il en fait soit trop, soit pas assez. À force d’échec, il perd un peu le goût du risque et finit par ne plus vraiment tenter. Tant mieux s'il se fait des amis, tant pis s'il reste seul.
Le problème quand on se ferme aux autres en étant introvertie comme Milo c’est que parfois ont est submergé par nos sentiments. Il ne suffit pas de grandes choses pour que notre rythme cardiaque s’emballe où que nos yeux se remplissent de larme. Une véritable sensibilité d’artiste comme dirait sa mère. Du coup quand ça devient juste trop, il attrape un crayon, un bout de papier et ça va mieux.
Avec le temps, la fin de la puberté et des joies des hormones en folie, Miloslav a apprit à être plus affirmé, plus sûr de lui. Il ne se sent pas à fleur de peau la moitié du temps, au contraire, il s’est entouré d’une carapace épaisse et presque impénétrable. Il reste relativement seul, ne se lie pas vraiment avec les autres. Il trouve son bonheur dans la tranquillité, un peu (beaucoup) glandeur sur les bords. Du haut de ses 20 ans, il ne sait toujours pas ce qu’il fera « plus tard ». Avec un peu de chance, plus tard, n’arrivera jamais. En attendant, il traîne dans presque tous les événements culturelle de la région, passe de temps en temps la nuit dans un bar ou une boite à la recherche d’un homme avec qui passer une nuit (deux s'il est vraiment doué), pas de femme, ses tentatives de lycéen lui ont prouvé plus d’une fois qu’il n’était vraiment pas intéressé (et puis viens cet étrange souvenir dont il a prit soin d'en effacer chaque second dès que l'occasion lui a été présentée )
Si Miloslav pouvait avoir un vœu, se serait que le monde s’arrête de tourner, qu’il puisse rester un jeune homme un peu perdu de 20 ans qui aime dessiner, peindre, sculpter et rêve un jour peut-être de pouvoir montrer au monde ce qu’il sait faire de ses dix doigts. |
histoire Souvent je mens pour me donner de l'épaisseur Comme des centaines de manteaux que j'mets pour faire couler la sueur Car ici il fait pas chaud et tous ces sauts donnent la chaleur Avec un tout petit gout de faux qui laisse le tout fade sans saveurs
Sur le bord de la Neva, Miloslav a ses petites habitudes, sur un bord d'herbe près des quais bétonnés, là où passent les cargos et les bateaux de plaisances. Il y passe du temps à observer les oiseaux et les poissons. Il les dessine comme beaucoup d'autres avant lui, pas avec le même talent, pas encore. Un jour il verra son nom trôner sous une toile dans une des innombrables collections de l'Ermitage, dont les bâtiments se détachent en face de lui. Il se le répète sans cesse et s'applique deux fois plus à retravailler l'ombre du bateau sur sa feuille. Il a 15 ans, il devrait être en cours, mais il préfère de loin être ici. Quand il fait trop froid pour rester dehors, il parcourt les couloirs du musée. Depuis qu'il y a mis les pieds la première fois, en sortie scolaire à 6 ans, il a fini par en connaître tous les recoins. Il pourrait se charger des visites honnêtement tellement le labyrinthe immense des salles lui est familier.
Miloslav a 16 ans, il a passé toutes ses vacances comme bénévole au musée de l'Ermitage ou dans la pâtisserie de ses parents pour les aider, il décore les gâteaux et s'occupe parfois de la caisse. Le samedi soir c'est curling évidemment, avec son oncle et ses cousines. Il est facilement le plus jeune joueur du club, mais ça lui va. Il n'est pas très bavard, ou plutôt il n'a pas beaucoup de personnes avec qui parler, sa famille ne partage pas sa passion artistique, et il préfère manger les gâteaux plutôt que les faires (même s'il sait les faires). Mais au curling il devient bien plus loquace, c'est une nécessité dans ce sport d'équipe où la communication est un des éléments primordiaux, pas de mensonge sur la piste de lancer.
Les 17 bougies de son gâteau d'anniversaire le nargue, il aimerait juste le manger, ne pas avoir à sourire aux amis devant lui, des inconnus plutôt, il reconnaît des camarades de classes, des cousins éloignés qu'il ne voit que pour la deuxième fois de sa vie. Il attend, prend son mal en patience, ses parents ont passé du temps à cuisiner, à organiser cette surprise, il ne peut pas leur enlever le plaisir de voir leur fils, de plus en plus proche de sa majorité, célébrer son anniversaire entouré d'amis. Miloslav est un peu mauvaise langue, ce sont vraiment ses amis en face de lui, c'est lui l'étranger, l'inconnu. Il ne se sent pas à sa place, il ne se sent pas lui-même. Au lycée, il rit à des blagues qu'il ne trouve pas drôle, il n'a pas l'impression d'être honnête, alors ça le gène, de devoir prétendre devant ses parents, son oncle. Mais il le fait, il rit et hausse les épaules quand on lui dit que sa voisine de classe est amoureuse de lui, il explique avoir une autre personne en tête, ne précise pas de qui il s'agit.
La musique résonne dans ses oreilles, les lumières du bar clignotent en rythme avec la musique, son verre vide se rempli déjà sous la supervision de Zenia. « A ta majorité Slava ! ». Elle lève son verre, suivi par Miloslav et toutes les personnes autour d'eux qui les entendent. Cul-sec. Elle l'entraîne sur la piste de danse sans attendre, il se laisse faire, ses peurs, ses incertitudes, sa retenue, tout s'évapore progressivement. Il perd vite la notion du temps, les verres s'enchaînent sans qu'il ne les compte. Ils changent plusieurs fois d'endroit, après deux bars ils atterrissent dans une boite où la musique perce ses oreilles et où le peu de lumière empêche presque de voir les visages. Leurs regards sont brillants, ils se soutiennent l'un l'autre pour ne pas trébucher. Il se fait réveiller par un très (trop) aiguë : « Oh ! Pardon ! ». Puis le bruit d'une porte qui claque. Il grogne et ouvre les yeux, sa tête lui fait mal. Il reconnaît sa chambre, la voix de sa mère résonne encore dans ses oreilles. Il veut se rendormir. « Trop tôt » … Miloslav cligne des yeux, il tourne la tête, Zenia, roulée en boule. Par réflexe il attrape la couverture pour se couvrir, conscient d'être aussi nu que le jour de sa naissance. Il essaye de se lever mais s'emmêle dans ses draps et finit les fesses par terre. Le bruit tire finalement son amie de son sommeil, elle ne cache pas son amusement à le voir étaler au sol : « On tient plus sur ses jambes le vieux ? ». Milo se traîne vers son armoire, enfile un caleçons avant de faire face à la fille dans son lit. « Zenka … On … Il s'est passé quelque chose ? Je … ». Il panique un peu, il ne veut pas avoir à s'éloigner d'elle. Il la considère comme sa première véritable amie, elle est la première personne qui semble le comprendre. « Oh mon dieu non ! » Il soupire de soulagement et s'assoit au bout de son lit, il inspire lentement. Son esprit s'éclaircit un petit peu, il arrive à se souvenir de la veille, de leur sortie pour fêter ses dix-huit ans. Il lui manque sans doute des morceaux, il se voit danser, boire, s'amuser. Zenia, elle, semble mieux vivre sa gueule de bois que lui. Un moment de silence puis : «Pas faute d'avoir proposée par-contre, ... me regarde pas comme ça Slava, tu sais que j'ai un faible pour les artistes ! » Elle en rit, lui non. « T'inquiète pas, t'a été un vrai gentleman, tu m'as dit que t'étais plus intéressé par le barman ». Un autre silence, Miloslav a l'impression de vivre dans un rêve, un cauchemar. Il ne sait pas ce que sa famille, ses amis, Zenia, peuvent penser de son homosexualité, il n'a jamais demandé, n'a jamais avoué, n'a jamais voulu savoir. Il n'a pas peur du rejet, pas vraiment, non ce qui le terrifie c'est que leur regard sur lui change. Il a peur du changement, a toujours été horrifié par l'absence de constante. L'inconnue est terrifiante. Zenia doit voir son inquiétude, la tension dans sa mâchoire. « Eh ! C'est cool tu sais ? On n'en parle pas si tu veux, juste … C'est cool okay ? » La gratitude pourrait presque l'étouffer, il ne sait pas ce qu'il a fait dans une vie antérieure pour mériter une amie qui le comprend aussi bien. Il n'a jamais besoin de lui expliquer, elle comprend toujours ce qui se passe dans sa tête.
Moi je l'ai faite, défaite Et ça jusqu'au fiasco C'est la fête de trop ! Regarde je luis de paillettes Et me réduis au chaos
L'accident a eu lieu à peine six-mois plus tard. Une nuit arrosé, la confiance (l'inconscience) de la jeunesse, la fierté (l'idiotie) humaine. Ils prennent la voiture, Milo au volant. Peut-être pour impressionner ce jeune Australien rencontré plus tôt dans la soirée, peut-être parce qu'il se sent heureux. Il ne se souvient pas bien. Les phares de la voiture en face d'eux l'aveugle. Il se réveille seul dans une chambre d'hôpital, sa tête lui fait mal, il a l'impression d'avoir vécus une vie entière entre l'accident et son réveil, des souvenirs qu'il n'a jamais vécus lui viennent, il a l'impression que sa tête va exploser. Ses blessures mettent du temps à guérir (miraculé à ce qu'on dit), il passe trop de temps dans le lit d'hôpital, trop de temps pour penser. Il ne sait plus s'il pleure la perte de Zenia ou de cette femme sans visage qu'il ne se souvient pas connaître. Il ne sait plus s'il a mal à cause de ses blessures ou si c'est la balle dans sa poitrine qui le tue. Il ignore si c'est son père qui était là son réveil ou sa mère. Tout se mélange. Quand Miloslav peut enfin sortir de l'hôpital il achète une valise, y range ses affaires, ses vêtements, ses pinceaux, ses tubes de peintures et prend l'avion. Partir loin, partir et oublier. Oublier le vide, oublier la douleur, oublier Zenia.
Miloslav dérive pendant plusieurs mois, une année passe, il ne sait pas trop ou aller, vivant de petits boulots, autostoppeur sur la route, il ne touche plus au volant d'une voiture. L'univers le fait rouler de villes en ville. Les États-Unis, ce pays gigantesque où tout est possible, séparé par l'océan de la Russie. Loin des yeux loin du cœur dit-on. Il se découvre une faculté étrange, il semble pouvoir insuffler des faux souvenirs aux gens et à lui-même. Il lui faut plusieurs essais pour arriver à un résultat probant.
Foxglove Valley, une ville qui fait parler d'elle pour ses événements surnaturels, un espoir pour Milo de faire enfin taire et effacer ses souvenirs parasites qui ne lui appartiennent pas. Un espoir, le dernier. Peut-être un jour arriver à être soi-même. Foxglove donc, une ville prometteuse pour lui. Il n'y rencontre pas le messie, ni le salut. Juste une petite librairie dans un coin de rue et un homme, assis dans un fauteuil. Son sauveur. Milo cherchait à comprendre sa folie, à expliquer ses visions. « Je peux vous aider ?! » Le ton est presque agressif. « Hum. Je cherche quelque chose sûr, hum.. Les souvenirs ? Des visions, ce genre de choses » Le fort accent russe ne doit pas aider à faire passer Milo pour un garçon sain d'esprit. Il doit avoir l'air fou, mais après tout il a l'impression de le devenir. La conversation fut étrange. Nai, à la fois colérique et d'une aide précieuse, il semble comprendre la souffrance de Milo ou au moins en avoir pitié, suffisamment pour lui expliquer, lui raconter : les souvenirs, les hellébores. Il n’est pas fou, ou plutôt si, mais un remède existe, un remède à porté de main. Plus de souvenirs
Pour la première fois Milo à l'impression d'être devenu lui-même. Il prend soin de se faire effacer chaque seconde des souvenirs de cette prétendue vie antérieure. Il n'en garde qu'une aversion profonde. Il ne veut jamais plus avoir à subir ça. Ses souvenirs intempestifs disparus, il se demande s'il doit utiliser son pouvoir pour faire disparaître sa culpabilité, et si Zenia n'était pas morte ? Et si elle avait juste décidée de couper les ponts entre eux ? Loin oui, mais vivante. Il hésite longtemps, mais n'arrive jamais à trancher, à sauter le pas. Elle ne le mérite pas. . souvenirs effacés If this is real Why don’t we feel A little bit more
Une tombe, il sent la présence d’une main dans la sienne, une petite main d’enfant
It’s all that I’m asking … It’s all that I’m asking for
Ça ressemble à une chambre d’hôpital, les murs blancs, le sol blanc, les draps blancs. Même les rayons du soleil qui traversent les fenêtres ont l’air délavé. Ça fait mal à la tête, comme une gueule de bois, mais en pire, le monde est flou, il tourne, s’arrête, et repart dans l’autre sens Ça engourdit tout son corps, son esprit, il patauge dans un potage de sensation. Il a mal, partout et nul part. Il respire mais ses poumons brulent. Il se sent mort pourtant il est vivant. Tout ça l’empêche de se concentrer, toutes ces choses qui l’entourent et l’oppresse, et le soulage, il ne sait pas trop. Il entend une voie, distante et proche à la fois. Il essaye de l’entendre, de la reconnaître, de la comprendre, d’y répondre.
- … « Mourir ! Mais à quoi tu pensais … ! » « La peur de ma vie. » « C’est cette fille qui a mauvaise influence…» « … T’interdire de la revoir »
Sa bouche est pâteuse, c’est désagréable, il a soif.
- « ‘Pa … » Il tousse, il a l’impression de s’arracher les poumons
- « Papa elle va bien ?
So if I wanna run and hide Would you be there for me
Le bruit d’un réveil le tire de son sommeil, il ouvre les yeux, s’assoit au bord du lit, il n’a pas envie de se lever
_ « Reste … Dis que t’es malade, c’est la FAC, tout le monde s’en fou »
La voix de la raison … Il éteint son téléphone, se recouche et embrasse la fille devant lui. Ca devrait le déranger, passer une mâtiner sous la couette avec une fille qu’il ne reconnaît pas. Sauf que non, il se sent juste heureux … et un peu excité (ce qui, quand il y pense le perturbe beaucoup parce que l’idée même d’embrasser une fille le met mal à l’aise)
If I'm gonna let this slide Can we find something new
-« Papa, papa ! Dis encore comment elle était maman ! »
Il sourit à l’enfant devant lui, le prend dans ses bras et lui embrasse la joue
-« Belle, la plus belle de toutes, comme une princesse »
Il sent qu’il y a beaucoup de chose qu’il ne dit pas, qu’il retient sa langue. Il ne sait pas ce qui se cache derrière cet oubli.
That we'll never forget That we'll never forget
Du sang, le sien ? Il ne sait pas, derrière lui, un enfant se cramponne à son t-shirt, se cachant derrière lui comme il peut, ses pleures étouffés par le tissus Devant il voit un homme, ou une femme ? Il ne sait pas, une arme à la main. Ah … Ça doit expliquer le sang et la douleur au ventre donc … C’était bien son sang donc. Il entend une sirène au loin, la personne armée s’enfuit en courant. Il ferme les yeux. Ça fait mal
| Avatar Matt Smith. Prénom Mikael. Nom //. Âge 30 ans. Nationalité Américain. Occupation Père célibataire, une activité à temps plein. |
ShezzaPfiou, que dire ? Pas grand chose en réalité. J'ai découvert ce forum en cherchant ci et là de partenariat en partenariat, honnêtement je me souviens plus exactement comment je suis arrivé ici. J'ai mis du temps à me décider à m'inscrire parce que cette année (scolaire) je suis peu disponible (première année de médecine, et oui je suis maso) et j'ai peu de temps libre. Mais j'avais vraiment envie de me lancer. C'est un peu égoïste, je mettrai sans doute du temps à répondre, je sais. Mais si vous voulez quand même bien de moi je serai plus que motivé à faire en sorte d'être actif le plus possible ps : en plus vous avez des wankuls ! |
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| Messages : 800
Pouvoir : création
Symbole : gâteau d'anniv'
Occupation : I play Pokemon GO everyday
Avatar(s) : Mob & Ritsu / mob psycho 100%
| Dim 14 Jan 2018 - 20:22 | | Milo' passion curling ptdr
BIENVENUE BBCHAT
Alors tout d'abord t'en fais pas du tout pour l'activité elle est vraiment pas requise à plein balle ici donc tu peux te sortir ça de l'esprit comme préoccupation.
Bon courage pour la suite de ta fiche de ce que je lis c'est déjà super intéressant ! Il y a beaucoup de détails sur l'ancienne vie et pourtant on n'a pas les cartes les plus importantes en mains que ça soit nous ou Milo du coup. Hésite pas à venir sur le discord si tu as des questions ou pour rechercher un parrain/une marraine parmi les hellébores pour ton personnage ! (où à les contacter par mp mdr) |
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| Messages : 139
Occupation : Libraire // Animateur d'une radio louche
Avatar(s) : Cecil Palmer - WTNV
| Mer 17 Jan 2018 - 10:40 | | ALORS BJR, Tout d’abord je tombe en pâmoison devant cette fiche. Trafalgar Law en visu ? Aled mon pauvre coeur. Ah Russe en plus et en utilisant l’alphabet cyrillique JE… sache que ça m’a fait grande impression, genre comme un biscuit dans un bel emballage ! Il vient m’apprendre le curling quand il veut. En plus j’aime trop ce genre de personnage un peu beauf aux premiers abord, que tu aurais tendance à juger et puis BIM yes viens on va disserter sur Anish Kapoor (du gout, du bon gout par ici). Et puis je trouve ça extrêmement touchant son côté sensible, cette peur de vieillir, cette peur de l’avenir et de se dire qu’on est dans un point charnière entre l’enfance et le fait de devenir un adulte, et qu’on préférerait rester dans ses petites chimères mais que tout le système te mets la pression parce que Hey, attention t’as 20 ans maintenant.
BREF, j’ai hâte de voir ce personnage en Jeu, je l’aime deja bcp ! Bienvenue sur BM ! |
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| | Dim 21 Jan 2018 - 17:42 | | Merci beaucoup tous les deux Je suis rassuré quand à l'activité alors ! *pfiouuu* Oh lalala trop de compliment J'ai la pression maintenant pour vous faire plaisir ! Je vais essayer de finir ma fiche cette semaine, sinon la semaine prochaine (oui à part le dimanche pas beaucoup le temps de passer) Merci beaucoup en tous cas pour vos gentils mots tous doux. |
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| Messages : 64
Pouvoir : détection
Symbole : Chat noir
Occupation : Libraire
Avatar(s) : Yuri Plisetsky - Yuri on Ice
| Dim 21 Jan 2018 - 21:02 | | - current mood:
BIENVENUE À TOI! Ton perso est génial, hate de pouvoir RP |
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| | Jeu 25 Jan 2018 - 19:30 | | coucou !! ta fiche est très bien, je ferai un commentaire plus construit après une petite correction si possible ! rien de grave, c'est juste qu'on aimerait que tu précises un peu le symbole si possible. il se passe beaucoup de choses à la survie d'un accident de voiture on aimerait que tu choisisses vrmnt un élément ! je te donne des exemples, mais si tu trouves autre chose tu fais comme tu le sens : le mal de crâne du réveil, le bruit de la voiture qui dérape (ou les voix des gens autour quand il est dans le mal le plus complet ?), le fait qu'on le dépose dans le brancard- voilà voilà un truc qui inclue peut-être davantage les sensations ?? n'hésite pas à nous poke sur le discord si ça te semble abstrait, nous sommes ouverts à tes questions bon courage pour l'edit !!! |
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