Tubercule Tubérisé Tubérosité Tuberculée : éclot sous l'incantation de mon ire d'enfant.
tu peux te faire reine des verveines, chausser tes limées racines, même par dessous ton manteau vert sombre l'odeur du terrible mot continue de s'étendre sauge sauge sauge plante grimpante d'odeur flétrie des feuilles trempées dans l'eau bouillie : s'infiltre, contamine, masque l'agréable saveur réconfortante de ses tournesols meurtris. fond sous sa langue telle une pastille sensée soigner la désagréable poussée des verrues bleutés en lui en lui en lui vert sombre bleu ombré glauque comme le vert-d'eau du marécage dans lequel s'est enlisé votre relation. en lui en lui en lui rien ne peut stopper la floraison, rien ne peut compromettre la douleur de ses pustules couleur nuit. (grossissent grossissent jusqu'à étouffer Jaakoppi, il ne reste plus que de la place pour Jaak)
C'est étrange comme il en veut à Heart Tom Léa Pastel Surtout à Heart mais pas assez la belle trahison belle, parce que pleine de boutons d'or -boucles- d'un amour feutré et mutin qui s'est faufilé en catimini dans les mensonges riant ces derniers. Elle a tout pour elle (l'enfance de son coté). C'est si difficile de détester l'exact reflet de nos plus communs désirs si facile de haïr la représentation de nos secrètes dévotions. Roses comme vos lèvres étirées, la commissure des tiennent a ployé sous l'amertume de ta nature : pétales érodés du magnolia fané.
comme eux pire qu'eux (adoration roulée en boule dans ses plus sombres tiroirs) Parfois, dans le but de s'endormir plus vite il s'imagine une autre toi, toujours les même longs cheveux, toujours la même mystérieuse voix, ta connaissance distillée au travers des pages encore en friche de son esprit, vos mains à l'unisson plongeant dans la chaleur du terreaux. Il s'imagine à son tour, polir de majestueuses racines, il aurait fait un bel arbre non ? ses feuilles toujours ensoleillées, mais voilà tout s'est écroulé et sans tuteur, ses branches fragiles ont ployés à la faveur du reflet de la belle lune dans le marais plonge plonge plonge sa souche va s'abreuver à la source couleur de lait.
racle de ses doigts le fond de la terre noir, lampe torche connectée posé dans un coin. Une petite ligne mal rangée, une délimitation autour de son précédent délit : cruauté d'un sécateur assoiffé, le voilà à perpétrer sans remord un nouvel interdit. Il ne pense qu'à la floraison tu sais, montrer à tout le monde qui tu es, et même si tu retires tout avant, au moins t'aura-t-il forcé à rappeler ta source que, fourbe comme tu es, tu tentes de camoufler sous ta cape tressée de cette sauge enivrant son odorat de dent-de-lion sentimentales (lorsqu'elles devraient être bestiales). (non il ne veut pas avouer les herbiers, les tiroirs fermés à clefs, les moments de tendresses fantasmés qui lui servent à alimenter, rediriger, la trahison de son cœur en une potion amère comme sa rancœur qui porte ton nom.)
Invité
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Lun 18 Déc 2017 - 14:14
je déteste la nuit car le froid ronge mes os, trop nourrie de soleil ma peau frissonne sous les baisers de la lune. mon sang n'est pas froid mais c'est tout comme, et j'ai besoin des chatoiements de l'aube pour me sentir en vie. la vie c'est toi qui me la vole. prédateur des sèves ou parasite de jardin, je la connais si bien cette espèce (un humain) j'espère que tu t'es bien repu au phloème de mes sauges car de mes doigts xylèmes je vengerai la nature bafouée. mon coeur brûle de haine pour vous les hommes : je veux vous sauvez mais vous ne savez que me décevoir. (race pourrie jusqu'à la moelle je ne dirais point animaux pour vous décrire car moi-même je me sens plus fauve qu'humain) je me noie dans ma colère comme dans une mare sans fond, les eaux noires m'engloutissent et il n'est point de nénuphar auquel me raccrocher. je suis lasse et je vous maudit.
dans l'obscurité des nuits sans fin j'entends tes doigts qui rongent la terre à se repaitre de mes tubéreuses, les ongles enfoncés dans les racines comme si elles étaient ma propre chair. le prédateur deviendra proie sous l'amertume de mon venin. j'allume la lumière. je te vois et je m'en veux tu sais. je m'en mordrais les doigts (et jusqu'à l'os). jaakoppi je contemple déçue les mortes floraisons à tes pieds, car toi je pensais que tu avais encore un peu de ces tournesols morts dans le coeur des autres hommes.
qu'est-ce que tu fais là, jaakoppi ?
mon ton a l'amertume des lauriers roses mais vois-tu jaak, je ne te traiterai pas en enfant.
je me fiche de tes petits mots mais tu n'as pas le droit de toucher à mon jardin.
ne le sais-tu pas jaakoppi ? je suis fille de la nature et non pas fille de l'humanité. je pensais avoir nourri dans ton être ce petit coin de forêt. je pensais que tu m'aimerais assez pour m'épargner ta cruauté. il semblerait pourtant qu'on ne puisse se défaire de notre nature profonde, et la gangrène dans tes gènes commence à te gagner.
Jaakoppi
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Mer 10 Jan 2018 - 9:56
Et la lumière fut, découpe en ombres inquiétantes et malsaines son délit, peut-être même caricature en monstre malingre Jaakoppi. de la terre jusqu'aux coudes et même sur le nez, son regard sauvage en dit long sur l'imperméabilité de sa caboche en cet instant.
J'y ai déjà touché et j'y touche encore ! Ses mains continuent de trifouiller la terre en signe de défis, Si tu veux pas que j'y touche tu as qu'à être touché par mes mots !! ça veut juste dire que t'es qu'un monstre sans cœur si ça ne te fais rien comme les autres !
Parce que lui lui ça lui fait quelque chose Lorsqu'il les écrits de cette calligraphie d'enfant qu'il souhaite blessante se blesse lui même pour la coucher sur les feuilles volantes. Tu n'as pas idée Sauge, il a l'impression d'être le seul à souffrir de cette situation, il n'a pas envie d'être le seul. A deux tout est toujours beaucoup mieux. (d'autre son désolé pour lui mais ceci et la pitié ne lui inspire qu'un vide insipide)
Le pré-ado s'acharne sur ton terrain, il a dix ans maintenant mais ça ne veut pas dire qu'il est plus mature qu'à neuf. Il ne sait même pas ce qu'il attend de cette entreprise. Il n'a pas vraiment envie de te traiter en sorcière Sauge, les sorciers lui il les aimes bien, ça le faisait rêver.
Mais trop de mensonges il faut croire, trop d'illusions dans son entourage et lorsque tout s'effondre il ne reste que le goût amer de ce qui fut de ce qui aurait pu être et surtout de ce qui n'a jamais été.
Qu'elle s'approche donc, qu'elle ne fasse qu'un pas qu'elle ose vouloir venir lui mettre une rouste elle n'en a pas le droit Elle n'est pas humaine c'est une m a g n o l i a et les m a g n o l i a n'aiment pas les humains, Tom Léa Pastel le confirment bien,
Heart est différente Heart est un cœur égoïste qui a enroulé celui de Jaakoppi autour de son petit doigt avec le fil doré des imaginations foisonnantes et de la simplicité enfantine. (il lui pardonne au fond, pour ne pas sombrer plus bas) Mais toi Sauge, avec ton petit air pincé, tu es comme les autres, comme les vilains garnements de la cours de récré, la lassitude en plus. Pourquoi tu n'as rien dis avant toi non plus ? Pourquoi s'amuser à jouer aux humains ? Il ne comprend pas c'est si drôle que de les regarder tourner en rond pendant que vous détenez les réponses à leurs questions ?
Jaakoppi n'a jamais aimé le concept de dieu tout puissant qui d'un œil éteint regarde le monde en flamme, il trouve ça suffisant de se permettre de prendre les autres de haut lorsqu'on fait de la rétention d'informations. Pas de soucis alors, lui, sait à présent, et il compte bien vous faire redescendre sur terre, à commencer par toi qui semble adorer celle-ci tout en délaissant les humains qui la foulent chaque jour que l'univers fait. (au moins le Dieu chrétiens a la miséricorde d'aimer toutes ses créatures pareillement)
je ne suis ni reine ni humaine mais mes phalanges seules peuvent écorcher la terre. comme je déteste tes doigts souillés du terreau de mon jardin si précieux, éden bienveillant qui se serait voulu berceau de ta connaissance. jaakoppi à dix ans te voilà atteint de la maladie qu'on appelle l'humanité, poison ou parasite, l'enfant de la nature notre mère qui a retourné vers elle son fer. j'ai honte jaakoppi, d'avoir cru que le mal était lavé dans tes veines. j'oubliais mille ans de tares ne peuvent être nettoyés par mes mains de verveine.
debout, lâche mon jardin !
debout, c'est peut-être là l'essence de votre problème ; animaux bipèdes à la tête dans l'empyrée, si loin que vous en oubliez d'aimer la terre. vous les hommes (il était trop tard pour dire eux), animaux politiques perdus dans le brouillard de votre prétendue supériorité. vous pouvez sonner des vêpres plutôt que d'écouter le soir, mais à faire taire la forêt vous en perdrez votre essence.
et toi alors tu as un coeur ? à t'en prendre à des êtres qui ne peuvent pas se défendre au lieu de venir me parler !
tu es bien un homme jaakoppi ; car vous n'avez jamais été brave. j'ai un coeur frémissant à l'orée des saisons et battant en symbiose avec l'origine du monde, j'ai un coeur qui ne flanche pas face à une humanité dévastée. et c'est pour ça sans doute que je compatis plus au sort de mes herbes abîmées, je suis un magnolia à la floraison avorté qui ne saura se consacrer à son devoir : vous aimer.
tu crois que tes mots me toucheront maintenant que tu viens détruire ce que la nature a bâti ?
je m'avance dans mon jardin lacéré et je me sens meurtrie. je ne peux me résoudre à attraper ton poignet, à la peau encore tâchée des moires de ton crime.
Jaakoppi
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Mar 6 Fév 2018 - 21:50
N o n
Debout c'est pour ceux qui possède du courage, et Jaakoppi n'en a pas en cet instant lorsque tu t'avances ses jambes tremblent il aime ce dire que c'est de haine et de colère même s'il n'en est rien. Même si le sentiment présent en cet instant est une étrange amertume, là, face à ton regard froid.
Condamne le donc, il agit en juste. Lui aussi à le droit de se venger, lui aussi a le droit d'être en colère, lui aussi a le droit de crier et de dire des méchancetés parfois lorsqu'il est triste, touché, lorsqu'on est un peu brisé comme Tom Léa Pastel... maintenant Heart pourquoi résistes-tu au sortilège ? Il souhaite que la ronde soit complète. (a ses yeux c'est vous qui êtes tous bourreaux par votre silence et lui parmi d'autre, l'agneau)
Il est celui qui a coupé le fil entre vous deux mais te blâme de l'avoir laissé faire sans rien dire sans rien dire... pourquoi une telle omerta de votre côté ? Il ne demandait que la vérité et aussi d'avoir le droit de rêver mais au creux de vos mains vous avez noyé le premier et abandonné le second à la dissolution. (est-il trop tard ?) Il ne bouge pas d'un iota. Il reste là, les mains plantées dans la terre, le dos courbé, son visage froissé redressé pour affronter ton regard.
Tu devrais pourtant, c'est de ta faute, c'est de votre faute à tous, si ça te blesse tant mieux ! si ça te fais chier même tant mieux ! si ça, si ça te détruit tant mieux ! Mes mots ne te touchaient déjà pas avant de toute façons ! T'es qu'un imposteur comme tous les autres. Si c'est l'unique moyens de te faire pleurer ne serait-ce qu'un peu...un peu.... et te faire poser des questions....sur tout le mal que vous faites par votre silence.Alors....alors....alors quoi donc ? Alors.....je continuerais à retourner tout ton jardin s'il le faut !
Entends-tu le crie de l'animal humain blessé par dessous les ronces verbales dont il essaie de se parer bien qu'elles soient de papiers. Jusqu'au fin fond d'un cyprès il s'est laissé porté, et il n'a pas aimé ce qu'il y a ressenti une peine vieille....vieille comme il n'y en a pas deux, si loin, si proche, un cyprès qu'il a lui même déjà croisé. Un arbre de malheur comme de calme Jaakoppi prie la tempête la prochaine de l'arracher et tuer d'un coup sec, l'arbre et la mémoire dérangeante qui l'habite. (le visage) (il ne veut pas penser au visage) (mais il est là les soirs même lorsqu'il ne se souvient pas) Jaak sait à présent qu'il pourrait, oui il pourrait demander à d'autre d'être la tempête qu'il ne peut pas être et qu'il fantasme. mais, alors que ses doigts s'enfoncent dans l'humus sombre Il ne sais pas s'il pourrait porter le fardeau de passer chaque jour devant l'emplacement et de ne plus y voir que le tronc scié à la base, petit à petit, années après années, pourrir et prendre la mousse. Qui sait, si les regrets ne viendraient pas pulluler comme autant d’insectes. Et que ce passe-t-il s'il a altérer à jamais les souvenirs par cette demande égoïste ? Qui sait si une fois adulte et munit des armes qui lui font défaut à présent ne regretterait-il pas un choix aussi radicale ?
Tu sais Sauge L'enfant se mord la lèvre inférieur, retient des larmes qui sont autant des ambassadrices de sa rage de gamin que de sa perdition. Personne ne souhaite avoir autant mal, mais si ce que le livre dit est vrai, alors ce n'est pas lui qui a du avoir le plus mal jusqu'à présent. (est-ce que l'on peut dire stop à ce genre de chose ? Non on ne peut pas, comme il ne pouvait sûrement pas dire non aux blessures qui sont allées jusqu'à l'habiter avec une force si puissante que le voilà de retour sous de plus doux traits.) Alors tu sais Sauge... s'il ne peut pas fuir sans regret, s'il ne peut pas ignorer sans être piqué à vif, s'il ne peut pas appeler au soutiens de sa seule famille, il espérait au moins avoir l'aide de ceux qui savent, déjà tout ça, déjà tout ce qu'il faut, de ceux qui comme dans un certain jeu aurait dû dire : "It's dangerous to go alone, take this" mais sont restés tu sans jamais prévenir.
je m'approche jusqu'à poser ma main sur ton épaule embrasée, pourtant je ne saurais resserrer mes griffes de peur de te casser, encore une fois. je suis en colère mais j'ai le coeur étouffé de lierre, asphyxié de regrets et d’amertume.
ne sois pas ridicule.
n'y avait-il pas dans ses mots cette peine vieille comme l'humanité ? je sentais naitre cette douleur de l’ignorance qui à la fin des siècles crevait encore mon être. jaakoppi est un de ces myosotis éclos à l'ombre des arbres morts que je n’ai su protéger de la grêle. alors peut-être que c’est de ma faute car je ne serais jamais capable de t’aimer comme j’aime la forêt. je croyais jaakoppi que nous étions fait de la même sève, et que lorsqu’enfin le temps aura arraché l’écorce rêche de mon ressentiment, je pourrais sauver les hommes, comme toi, chasser les mauvais rêves et laver le sang qui souille les fleurs nouvelles. c’est étrange comme cette sagesse que j’arbore a fait de moi une chimère de naïveté : loin de la forêt je pensais être une de ces mauvaises herbes qui poussent entre deux dalles de béton (aucune herbe n’est mauvaise pour qui a les yeux grands ouverts). le soleil m’a nourrie et a fait de moi un monstre d’optimisme. je soupire.
tu sais jaakoppi, je pensais te protéger. alors peut-être que c’était la mauvaise manière, que c’était maladroit, mais est-ce que ça mérite d’être attaquée ?
je ne sais pas si je suis encore en colère. je ne sais pas si je suis triste. je suis juste lasse, peut-être. engourdie. j’aimerais m’allonger dans la terre et me reposer, attendre de ne faire qu’un avec le sous-bois. ça fait mal d’être humain, c’est vrai, et dans tes cris rauques je retrouve une bestialité blessée qui me touche un peu. à trop vouloir vous protéger, j’ai peur de devenir comme vous : un animal a la tête dans les nuages et bien trop loin de la terre. une bête égoïste qui oublie sa mère, la lacère de ses griffes et la déchire de ses crocs. c’est absurde. il n’y a rien en moi qui me rapproche des hommes.
je ne vais pas pleurer.
est-ce que j’ai le droit de pleurer ? est-ce que ça me rendrait plus humaine ? j'ai plus d'un siècle désormais, et un millier de doutes.
Jaakoppi
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Mar 22 Mai 2018 - 20:19
ne pas être ridicule ? cette main posée n'est ni ferme, ni tendre. Il n'arrive pas à percevoir l’émotion qu'elle est sensée lui faire ressentir, le calmer ? mais il bout de colère. Il hoquète et ravale sa vexation, le feu aux joues. En quoi est-ce ridicule, c'est ses sentiments, c'est sa douleur, c'est ses mots d'enfants. C'est tellement blessant d'entendre que tout ça c'est ridicule, l'expression de ses émotions. Lui le vie, il aimerait juste que vous le viviez aussi, puisque vous ne semblez pas comprendre, si vous le viviez aussi, peut-être comprendrez-vous ? mais encore une fois Jaakoppi n'est qu'un enfant, et vous, des adultes qui n'avez plus le temps ni la patience pour ce genre de ridicule, pourtant si intensément vécu.
elle soupire même d'ennui, Jaak baisse les yeux sur la terre retournée, l'herbe arrachée, les bulbes plantés avec approximation par ses douze doigts débutant. Il voulait juste faire passer un message autrement que par les mots puisque ceux-ci ricochent contre ta peau. Mais ça aussi, coule et s'enfuit, pourrit sous terre, dans ses yeux froids il n'a vu que sa fatigue. Ni pardon, ni remord, ni amour, ni rien, juste un long soupir, il n'y a que ça. C'est vrai après tout, elle s'en fiche de tout ça
je pensais te protéger est-ce que ça mérite d'être attaqué ? je ne vais pas pleurer.
Il se redresse d'un coup, debout comme tu le souhaites, mais vaillant à ton encontre. D'un coup de poignet terreux il pousse sèchement ta main de son épaule, il pleure l'enfant terrible, il s'écrit puisque apparemment lorsque c'est simplement écrit, ça ne vaut même pas de réponses.
On ne peut pas protéger ce dont on se fiche !!! Tu te fiches de mes mots tu l'as dit toi-même !! Si tu te fiches de mes sentiments bah tu te fiches de moi aussi !! Raconte pas de salades Sauge tu oses encore mentir et tu demandes mon pardon comme s..comme si je te le devais !!! Comme si les myosotis vous le doivent !!! D'abord Heart, puis toi !! Pourquoi...pourquoi vous vous faites passer pour des victimes !!! Si vous-v, si c'était aussi chiant et difficile y avait qu'un écrire un manuel et nous laisser avec !! Mais même ça vous êtes pas capable !!! tellement pas capable que c'est même pas un magnolia qui l'a écrit le manuel !!! c'est un humain !!! un humain qui aide les réincarnés alors que c'est même pas son job contrairement à vous ! c'est vous qui êtes ridicule !!!! et non je vais pas me taire !! j'en ai marre de devoir être gentil tout le temps ! Moi aussi je veux qu'on me dise pardon !!! Jamais personne me dit pardon ! On me dit toujours d'être compréhensif et d'excuser tout et tout le monde !!! Tu ne vas pas pleurer OK tu as raison parce que ça te touche pas !! rien te touche !! t'es pas humaine après tout !! t'es froide comme ta terre en hiver !!!
Il crie il hurle le vilain, il ne tape pas du pied mais tout comme, il fait sa crise de gamin, il est honnête vois-tu Sauge il ne te cache rien, et tant pis si c'est pas bien, il hurle sa douleur de ta trahison. Il hurle parce qu'il attendait quelque chose venant de ta part, s'il n'attendait, rien si tu ne comptais pas autant, il n'en ferait pas un si grand torrent.