| Ven 10 Fév 2017 - 18:54 | | novia suárez feat korra - the legend of korra
groupe - myosotis. surnom - nova, novina. âge - vingt-quatre. date et lieu de naissance - vingt-cinq octobre à san francisco. nationalité - américaine et mexicaine. occupation - boxeuse professionnelle. pouvoir - détection. symbole - la douleur. | Novia, ardente Novia, Ton regard perce les âmes sensibles car l’azur de tes yeux n’est pas vide, il est remplit d’une profonde vitalité, Comme une flamme puissante parmi les douces vagues. Méfiante, Tu te recules, tu ignores, tu t’enfermes dans un cube invisible, imaginaire, n’offrant ta confiance qu’à l’instant où tu es certaine qu’un individu est remplit de valeurs. Tu mènes ton quotidien très simplement, la vraie vie pour toi c’est tout qui est visible, tout ce qui t’entoure. Et tout ceci d’invite à explorer à calmer ta curiosité. Entendre le monde se plaindre ça te horripile beaucoup trop facilement et quand tu sais que ça va mal, Tu te déchaines telle une bombe à retardement presque impossible à assagir. T’as juste besoin de te défouler, parfois un peu trop, c’est dur de conserver des cicatrices que tu espères guérir. Tu ne veux plus souffrir Novia. Tu es penseuse mais point rêveuse, car tu réfléchi à beaucoup de sujets tout aussi rationnels que toi. Habile à la perspicacité, ta capacité d’apprentissage est inouïe. Novia, douce Novia, Tu désires si peu de l’attention d’autrui, c’est toi qui en offre quand tu le veux, quand c’est nécessaire. Ton cœur est peut-être lourd, vif, Et tendre. Parfois tu envisages de plaire, d’user de tes charmes, prendre soin de toi de temps à autres, c’est un plaisir qui ne t’échappe pas. | |
y'a des mauvais souvenirs qui un jour te côtoient avec un langage courtois un sourire de pacotille Souffle rythmé, Le brouhaha autour du ring est silencieux pour toi, La sueur dégouline sur ta nuque, tes épaules, tes tempes, Tu esquives les coups, tu en enchaines d’autres minutieusement. Défoulement intense, Tu revois son visage, tu retraces le début de ton existence comme une ligne courbée de malheur, une ligne courbée de malchance.
Ta maman est morte trop vite Novia, Mais tu n’en savais rien t’avais à peine quelques mois. Puis, tu pensais que ta vrai mère c’était cette femme là. Grosse illusion, grosse déception. Ton géniteur t’a juste menti pour tout cacher, Les secrets de famille, c’est blessant, c’est lassant. Mais il cache tout et toi tu essayes de comprendre la signification de sa haine contre toi, Et derrière une femme manipulée, faible, niaise, si elle était cette vraie mère, elle t’aurait sûrement protégé, Tu parles. Elle rampait en silence, sous les ordres, sous les menaces d’un homme violent, elle flippait à mort. Et c’est la faiblesse qui t’a de nouveau condamnée, Novia. T’es le punching ball d’une indigne personne. Les hématomes s’ancrent sur ta peau mate.
Un soir de désespoir, Celui de trop. Trop de violence sur ton corps, t’es de nouveau, une martyre. Qui subit la colère, la douleur, Tu la sens parcourir sur chaque centimètre carré de ta peau, de ta chair. Puis tu revois les coups de fouets, les croix en bois, la corde autour de ton cou. Les images défilent devant toi comme de vrais souvenirs mais des souvenirs lointain qui ne t’appartiennent pas. Ça t’as ouvert les yeux Novia, t’as compris que t’en voulait pas d’une deuxième vie à panser tes plaies, à sécher tes larmes, à te cacher sous tes draps, à t’enfermer dans ta chambre. Tu te barres sans dire sans écrire un mot, pour te rapprocher de ta liberté et elle n’est pas si loin de toi, alors tu saisis cette chance de refaire ta vie, Recommencer tout à zéro.
Te remémorer le visage de cet homme qui se disait être ton père, ça te fait l’effet d’un électrochoc, Ton souffle se coupe une demi-seconde. Tu réalises de nouveau que t’es sur le ring. Tes pupilles fixent les opportunités à prendre, Une seule erreur de ta rivale, une garde qui manque de confiance et cette maladresse va lui coûter cher. Un uppercut. Elle tombe k.o. Victoire pour Novia, le poing levé vers le ciel. olivia - vingt ans - nonne tu les revois devant tes yeux, les religieuses, les croix en fer, en bois, les exemplaires de bibles par centaines et millier sur les bancs en chêne, tu sens l’odeur des bougies, tu sens l’odeur de la poussière, de la roche, des vieux vêtements, de l’antiquité de cette église, tu n’oublies pas le manque dont tu as besoin, le manque d’affection, un enfant sans parents. (c’est pas faux, c’est navrant.) tu respires un air jamais renouvelé, enfermée là, assise sur les marches d’un escalier en colimaçon. tu ressens ce besoin d’aimer, ce besoin de désirer l’être adoré. mais elles reviennent les dames vêtues de tuniques noires et blanches, elles sont là pour te juger, tu vas devoir payer pour tes pensées impures, un drame, surtout lorsque tu as choisis d’aimer une femme, ton pêché est devenu un crime. te voilà leur esclave, martyre, punie par des coups de fouet contre ta chair, (la douleur n’a rien d’éphémère.) alors tu comprends ton erreur, tu abandonnes tes sentiments. mais lorsque tu tentes de panser tes plaies, Interdiction de te soigner, tu dois supporter ces lésions. cette fois, ta punition te condamnera à devenir leur putain de cendrillon. au nom de dieu, elles t’utilisent comme un pantin. désarticulé. et tu n’es plus humaine à leur yeux, car tu n’as plus de parents, car tes actes, tes choix sont contre la nature. alors tu fuis l’édifice sectaire, corde cachée sous ta robe blanche, tu l’attaches à un arbre, il fait presque nuit, mais toi, tu oublies, car maintenant tu l’enroules à ton cou et tu le sens s’opprimer avec lenteur. les yeux clos, tu attends en silence. en comptant doucement. un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept… et le néant. c’est terminé maintenant. (c’est le plus gros des mensonges.) salu c evil triangle ou joy. ceci est un qc (p-e tc ?). bisous. |
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