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A P O T H E O S E • Calum
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Dim 15 Oct 2017 - 22:02

Apothéose
You
& Me
Les rythmes pulsent,
Les corps compulsent,
Les désirs charnels.

La chair se contorsionne
Sur le son d'une piste de danse qui se tourne
Se retourne,
En boucle.

Une petite boîte,
La sueur qui se glisse sur la peau,
La moite grâce d'une sauvagerie éternelle,
Que les rires et les baisers se chargent de perpétuer, ritournelle.

Les rythmes pulsent,
Les corps compulsent,
Les désirs charnels.

Notre bel.le éphèbe ondule
Sous la lumière confuse,
Un joint dans la main,
L'autre déjà sur son sein.

Habillé.e
Comme un gars aujourd'hui,
Son corps ciselé,
Moulant sous son débardeur à peine couvrant ;
Et ce slim hérissant déjà,
Le désir de la chair qui à la musique s'entremêle ;
Et les plaisirs d'une drogue éphémère.

Les éclairages qui vrillent
L'esprit
Le regard
Qu'il emprunte à chacun,
Hérésie des sens et de la perception
Et déjà, la sensation doucement humide,
D'un baiser sans retenue,
(Et de l'alcool qui lui monte à la tête.)

Narcisse se colle
Se décolle,
Enchaîne les danses,
Les cavaliers,
Les cavalières,
Volant à chacun un brasier de ses lèvres fines,
Doucement humidifiées.

Les notes erratiques lui pulsent
Les tympans
Les nerfs
Les plaisirs,
Mais quelque part iel s'ennuie,
Ils ont tous le même goût.

Narcisse éclate de rire,
Rauque et sensuel,
Mélodieux et éphémère,
Alors qu'un partenaire se colle
Sans aucune retenue,
A son corps
Désirant
Désiré.

Mais la fleur antique a déjà
Une autre cible ;
C'est l'heure de partir à la chasse, mon beau Narcisse,
Et de se trouver une passe,
S'élever vers la Beauté,
Et les désirs charnel, carnés.

Des frissons et des corps
Dans une valse érotique ;
La déraison résonne, sonore.
La musique erratique,
Les sens éclectiques,
Les désirs érotiques,
Et l'odeur des corps qui s'unissent,
Narcisse l'a déjà repéré,
Son Adonis d'un soir.

Plantant là le danseur
Laid
Qui le voulait,
Iel se dirige
(Iel sautille d'un regard à l'autre comme un.e enfant)
Iel se déhanche d'un baiser à l'autre comme un.e adulte,
Vers le bar où se trouve
Sa cible,
(Il est beau,
Mais je ne dirai pas, « mon Dieu ».)

Le barman le connaît bien,
Et pas qu'un peu dirait-on,
Lui offre son shooter,
Lui offre son verre,
Et lui fait ce signe qui lui indique,
Sa dette envers lui,
(Qu'importe tu es beau mon petit, nous réglerons cela au lit.)

Narcisse lui lance ce léger regard
D'une transparence transcendantale,
Un peu coquin
Un peu mesquin
Tu seras le prochain, mais dans le viseur ce soir,
J'ai déjà quelqu'un.

Quelqu'un,
Quelqu'un,
Qui donc
Pourquoi ?

Les volutes de la drogue embrasent,
Les nerfs de son cerveau que harassent,
Les pulsions,
Les désirs,
 « Bonjour,
bel homme. »

Iel lui dit ça,
C'est moche, pourquoi ?
Mais ses cheveux châtains,
(Noisettes,)
Soyeux,
Lui donnent déjà
Envie
De passer ses doigts dedans,
Douceur de soie d'une cascade d'or vénitien ;
Pourquoi donc s'encombrer de paroles,
S'entourer de formalités,
Quand les corps finiront par se découvrir,
Et la pudeur, éclater ?

Narcisse lui
Tourne autour,
Ou simplement, en fait le tour ;
Iel lui offre ce verre pris un peu plus tôt,
(Je t'offrirai une petite gourmandise, pour régler mes dettes.)
Le lui tend ;
Passe son bras derrière son dos,
Frôlant de sa peau
Les frissons d'un corps diaphane,
Le désir d'une nuit nymphomane.

Narcisse ne
Fait même plus attention,
A la signification
De ses gestes
De ses mots
De son regard,
Pourtant vide de toute lueur hagarde,
Transparence qui ne laisse que voir,
Les tréfonds bouillonnants de son âme,
Et du Corps qui veut s'élever,
Encore,
Encore,
Encore plus,
Encore plus haut.

Iel,
Porte son shooter à ses lèvres,
Dont la chair rouge, pâle et pulpeuse embrasse,
Doucement le bord de verre transparent,
En un baiser temporaire.

Le liquide lui brûle le gosier,
Descend,
Coule,
Trace le chemin comme brûle le plaisir,
En sens inverse,
Métamorphose des sensations,
Et déjà sa raison lui fait collision.

Et iel se penche vers l'Adonis aux cheveux noisettes ;
L'alcool et la drogue valsant fiévreusement dans ses veines,
La sensualité coulant sur sa peau ondulant,
Se retient de goûter sa peau en attendant
de voir si le bel homme
accepte son verre.

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Lun 16 Oct 2017 - 17:23

Apothéose ; feat. Narcisse



La musique fait vibrer ton corps, vient le faire bouger légèrement alors que tu es accoudé au bar depuis quelques minutes maintenant, reprenant ton souffle des deux heures que tu viens de passer sur la piste sans même t'en rendre compte, à danser avec il ou elle, à danser sans y réfléchir, à en perdre l'esprit, à en perdre la tête, à en perdre ton nom, presque. Et ça t'a permis de voler un instant, ça t'a permis de t'oublier, d'oublier, d'être dans cet état de transe que tu ne comprends pas trop, mais que tu aimes tellement, l'alcool coulant à flot, vibrant dans tes veines, te transportant.

Alors tu es là, appuyé sur le bar, finissant ton verre, respirant l'air un peu plus frais que sur la piste de danse, les gens un peu plus calmes, comme une douce pause à tes oreilles et à ton cœur, et une voix vient caresser tes tympans, et ton visage se tourne, tes yeux noisettes le trouvent et tu souris légèrement, de ce sourire un peu charmeur, un peu trop sûr de toi. Mais tu as de quoi.

— Bonjour, bel homme, te lâche-t-il à l'oreille.

Et tu es plutôt fier de toi, comme si tu étais au courant, comme si tu savais déjà ; le corps se rapprochant, le bras t'étreignant. Peut-être frissonnes-tu, à peine, alors que son bras te semble froid sur ton corps bouillant, mais ce n'est sûrement qu'une impression. Et tu l'observes un instant, sans hésitation, sans honte ni gêne, ton regard glissant sur la courbe de sa joue, sur son regard si clair, sûrement trop ; il te plaît. Il te plaît, Calum, et tu attrapes le verre qu'il te tend, qu'il t'offre, le portant à tes lèvres sans réfléchir, alors que tu devrais, après tout, tu ne le connais pas.

— Calum, enchanté. A qui ai-je l'honneur ?

Un regard, un sourire, qu'il ne voit sûrement pas. Son regard te perturbe, sa beauté te fait frissonner, tu ne comprends pas trop ce qu'il est, et il te plaît, beaucoup, énormément, sûrement trop même. Et il y a cette curiosité qui vient te chatouiller, et tu aimerais savoir ce qui t'attire chez lui, car tu ne sais pas comment définir cette sensation trop un peu bizarre, comme si tu ne savais pas réellement à qui tu t'adressais, comme si tu ne savais pas trop sur quel pied danser.




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Jeu 16 Nov 2017 - 22:02

Apothéose
You
& Me
Iel s'arrache,
Se détache,
Pour mieux s'en retourner ;
Et déjà passe doucement son souffle dans sa nuque lisse,
Envoûtante,
Délirante.

La douceur de sa peau et la caresse des souffles
S'enflamment éreintent
Le désir qui se naît dans sa poitrine palpitante des
Vies nocturnes d'un essoufflé murmure.


Le bel homme accepte son verre,
Il s'appelle
Calum
En voici un nom singulier,
Qui glisse dans la voix,
S'enroule dans vos tympans,
Et vous laisse désireux,
Extase qui noue les saveurs du soir.

Alors Narcisse le frôle sur sa peau,
Lui caresse
Du bout des doigts,
Les sensations qui vous enivrent,
Vous attirent,
Vous
Font tourner la tête sans répit.

S'ensuivra-t-il une danse des plus
(La proximité)
Semble se poser la question.

La musique continue,
Encore encore encore,
A battre les pulsations
A battre les
Pulsions
Mais Narcisse ne fait que sourire en retour à sa présentation ;
Il est bien poli le bel Adonis,
Calum un nom qui lea fera frissonner le long
De l'échine.

Sa voix presque éther,
Se relève près de son oreille que
Le chuchotement caresse lascivement,
Cette peau que ses lèvres caressent sensuellement ;
« Narcisse pour vous servir. »
Et les notes emportent les rimes de son nom.

(Puis iel s'enfuit avidement sur la piste de danse.)
Des frissons et des corps
Dans une valse érotique ;
La déraison résonne, sonore.
Ses pas s'enfuient,
Effilent,
Suis le rythme,
Transite ton corps dans le monde qui t'enivre,
Narcisse Narcisse,
Que ne puisses-tu te perdre dans les plaisirs,
De la chair
Maintenant que tu ne sais qui je suis
(Ni qui tu es).

Iel est au bord de la piste,
Au bord du gouffre et de l'ennui,
Alors qu'iel se déhanche le bel enfant,
Le corps à peine couvert d'un résille indécent,
Et iel lui offre à lui là-bas,
Toujours accoudé au bar (ou pas iel ne sait pas)
Ce spectacle alléchant.

Ce n'est qu'une question d'instant ;
Iel ne voit pas iel emporte le temps
Emporte les instincts (emporte les désirs passions qui vous enivrent qui)
Pulsent son corps (oh, que tu ne puisses venir me chercher mon bel
Adonis ;
Calum.)

Le déhanchement incandescent,
Brûle le son d'une sensuelle fidélité,
Et la peau lisse à l'air appelle,
La sensation de ses doigts en caresse,
De sa paume en ivresse ;
De sa peau en emphase,
Et la découverte d'une nouvelle proximité ;
Si ce n'était qu'un vœu qui pourrait se réaliser.

Narcisse danse,
Narcisse perd
La raison (au diable les raisons
A l'Enfer les dieux)
Et l'outrage hurle dans un moment d'intense joie
La rage de l'appel qu'une pulsion lance par-delà la piste,
Emmène-moi loin toucher le ciel Calum au charme en
Incroyable esquisse.

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