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trois nuits par semaine |salome
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Jeu 12 Oct 2017 - 21:28
salome bateson
Avatar original de Michael Liepke
Surnom  /
Âge 26 ans.
Date de naissance 21 Mars
Lieu de naissance Détroit.
Nationalité Américaine.
Occupation Vendeuse dans une friperie.
Pouvoir Émotion.
Symbole Rouge à lèvres baveux.
caractère
J’ai laissé à ma Salome quelques larmes fanées, un peu de sang sur le rebord de ses lèvres épaisses, quelques regrets aussi pour plomber son petit cœur tout desséché. Et quand son corps se met doucement à trembler, je ne sais pas si j’ai juste envie de la frapper ou de l’embrasser. Elle s’égosille. De la joie extrême, du plaisir pur de l’existence, à cette satisfaction rare et inespérée qui l’émoustille et me fatigue, de son impatience constante, les dodelinements de sa tête pour ses quelques pensées qui frétillent. Et elle a de ces éclats de rire si rauques, pour un tout un rien, une gestuelle corporelle nonchalante, sans grâce sinon celle de la pacotille. Ce grain, l’ouverture de ses bras vers le ciel qui lui laisse entrevoir, un temps seulement, que tout devient possible. Elle a cette façon oui de s’épancher longuement, à renfort de mon chou en veux-tu en voilà, et les mots se pressent du haut du carmin de ses lèvres se bousculent dans le vide de cette articulation approximative. Lorsque je lui dis, je la revois encore rougir de son propre empressement. Mais c’est une manie d’occuper l’espace, de tout tendre toujours vers l’expansion. Mais je me souviens surtout de ma Salome qui ne vit que pour les drames, de ma Salome victime et coupable, de cette accusée juste bonne à railler, humilier, berner, tromper, bafouer. De cette femme au comportement si misérable trop prompte à mépriser, d’aimer follement, d’haïr éperdument, de passer de ce tout au rien, de la beauté au néant. Et je suis fou, fou de ces cris, d’une haine qui m’oppresse, de la souffrance folle qui s’abat sur le monde, qui s’y noie. Cette bouche qui vomit ses horreurs, sa douleur, à travers cette voix éraillée qui n’en finit plus de me hanter. Le monde se tait, brutalisé. Salome a juste besoin de se déverser, et dans ses flots, ses propres abymes grondent ; c’est son existence toute entière qui se renverse, dénouée, abandonnée à cette démesure, ce goût de l’exubérance ridicule.
La vie est belle et cruelle à la fois, elle nous ressemble parfois.[indochine]

Elle se voit, Salome, avec le vermeil délavé qui colle à ses cheveux emmêlés, à sa peau saturée, à ses lèvres molles que chemine le carmin abimé de son rouge de la veille. C’est comme le sang entre ses dents, le sang de sa vie d’avant. Avec rage elle ouvre grand sa gueule devant le miroir, au même moment d’un geste précis son doigt presse la détente…
Et c’est le son d’une bizarrerie française qui explose ce soir entre les murs de son appartement et qui raisonne entre les gens. Tous ces gens. Alors Salome sait avec colère qu’elle vaut presque rien, mais que cette nuit le monde lui appartient et qu’il danse à son rythme.
La provocation dans le déhanché, en se retournant tout brusquement, elle ne tient vraiment plus en place. Un peu décalée, elle ne sait pas si elle est ivre d’alcool ou de cette foule qui s’enjaille autour d’elle, de cette chaleur qui l’étouffe mais elle se sent vibrante, pas de poésie, parce qu’elle est pas aussi jolie ; non, c’est les mots qu’elle ne comprend pas, hurlés par la chanteuse du groupe qui la rendent dingue.
Et on ne sait plus si elle danse, Salome, si elle zigzague, si elle joue les équilibristes, mais elle dandine elle bascule, se déverse, et rien vraiment ne lui résiste. Rien sauf le poulain et son charme ténébreux que la lune éclaire d’un jet de lumière depuis le ciel, et qui tombe là, dans un hasard qui ne peut en être un, jusque dans son minable appartement, jusque sur la tête de son ange. Alors elle s’approche avec cette insolence, jusqu’à sentir le souffle de la fumée d’une cigarette.
-On fume pas ici.
Et elle ne dévie pas ses yeux, surtout pas, alors qu’il lui lance son rictus à deux balles, celui qui obsède, qui fascine, qui rend fou.
-Désolé.
-T’embête pas, c’est pas ta faute, tu savais pas.
-C’est quoi cette musique ?
-Les ritaa mitsukoo. C’est du français, t’aime pas ?
-Je parle pas français.
-C’est pas grave, moi non plus. C’est quoi ton nom à toi ?
-Sidoine. Et toi t’es Salomé.
-Comment tu me connais ?
-J’te connais, c’est tout.
-Tu danses ?
-Non, pas là-dessus.
-C’est pas grave, t’as qu’à juste me regarder.
Et son sourire aguicheur rayonne sur ses lèvres, rondes comme le monde. Lorsque son buste se penche d’avant d’arrière, lorsque les mouvements alanguis écartent le tissu de son chemisier, qu’un sein se dessine, qu’elle surprend coquine son regard tantôt lubrique tantôt froid tantôt narquois, elle sait déjà que ce sera lui ou rien. Elle s'écrit alors :
-Tais-toi !
-Mais j'ai rien dit.
-Non mais tu penses, c'est pire.
-Et à quoi je pense, là de suite ?
Mutine, ses lèvres s'effilent, coup de hanche après coup de hanche sa minie jupe en cuir remonte lascivement sur ses cuisses. Et elle chante en se taisant, se tourne, parade, badine. Une bouffée d'air frais lui vient de l'extérieur, balaie l'odeur du tabac et soulève celle de son eau de toilette bon marché. Ca sent fort et c'est si entêtant. Plus loin, on a baissé le son, il ne reste que quelques douceurs dans la pièce ; andy. Son mamelon déborde encore.
-Baisable.

***

-Sidoine. J’ai peur du cancer.
Il suspend son geste, dévisage la fumée qui s’élève au-dessus de leurs têtes sans oser la regarder. Il voudrait savoir au juste si elle a peur que le cancer le frappe ou si elle craint surtout pour elle-même. Il voudrait connaître oui jusqu’où va son égoïsme. Et puis ça lui paraît soudain ridicule. Qui dit ce genre de choses comme ça de nos jours ? Bien sûr qu’on sait ce qu’on risque. Est-ce que ça veut dire qu’on prend vraiment ça au sérieux. Mais Sidoine n’en fait toujours qu’à sa tête à elle. Doucement son bras s’étend et d’une faible pression il écrase sa clope dans le cendrier sous le lit. Il comprend pas bien d’où ça lui vient, au juste. Il articule machinalement.
-Tu vas pas mourir du cancer.
-Qu’est-ce que tu en sais toi ?
-Parce que t'es le genre de nana qui traîne sa couenne jusqu'à quatre-vingt dix ans facile. Même si t'attrapais le cancer, tu lui botterais les fesses. C'est ce que tu fais.
C’est pas mignon, c’est stupide. Salome le sait maintenant. Sidoine surestimes trop de choses, Sidoine prend trop tout à la légère. Il a le cœur vagabond, et l’impassibilité cruelle. Il suffirait qu’il demande pour le savoir. Salome ne lui aurait pas caché que le tabac revêtait déjà dans ses idées l’odeur aseptisée de l’hôpital, des traitements qui ne se finissent plus, de la fin, du désespoir de la perte, de la messe dans la fraîche matinée d’un jour quelconque pour beaucoup d’autres, du corbillard silencieux, de la nature ensommeillée comme si le monde entier avait pu l’espace de quelques heures porter son deuil, jusqu’à la fragrance désagréable des fleurs détestées ; des chrysanthèmes fleurissant éternellement la tombe.
-T’es bête. On attrape pas le cancer, on en meurt. C’est tout.

***

-Va te faire foutre, va te faire foutre !
Elle pourrait reculer ; il aimerait tellement qu’elle recule. Mais il sait pour la connaître qu’elle n’est pas de ce genre. Et elle continue de s’avancer, ses petits pas pressés, son doigt qui se dresse entre eux, son ridicule index comme témoin de son regard qui brûle, la fièvre qui fait dégouliner la sueur sur son front, le diable dans son corps. Mais Sidoine est usé par cette frénésie qui tourbillonne autour de lui, qui l’effrite ; il en perd le fil.
-T’es qu’un minable, un minable. Tu vaux que dalle. Tu crois que j’ai besoin de toi ? Tu crois ? Va te faire foutre, Sidoine. Toi, ta putain de demande en mariage. Qu’est-ce que tu croyais, que ça allait juste se passer comme ça, qu’on aurait une vie bien tranquille. Putain, Sidoine, putain. Réveille toi, on vit pas dans un conte de fées. Putain, Sidoine, je t’ai dit que je voulais pas de ça… JE TE L’AI DIS JE TE L’AI FOUTREMENT DIT.
Il ne retient pas sa main. Pourvu qu’elle se taise. Et lorsque sa paume s’abat sur sa joue, il regrette presque instantanément. Mais c’est trop tard pour Salome. Ca lui rappelle des choses qu’elle ne se souvient pas avoir vécu et dont elle ne veut pas se souvenir. Et la sensation de sa joue qui brûle peut-être est décuplée mille fois. Il lui semble que c’est toute sa peau qu’on arrache. Elle s’écroule contre le canapé. Elle se souvient de la peur, mais la peur s’enfuit, refoulée. Plus jamais.
-Tu fais chier, Salome. Tu fais chier !
Mais elle s'en moque, mais elle n'écoute plus, plus rien que la douleur qui s'écoule sur tout son visage. Et c'est tout son corps qui la fait souffrir, qui se réveille après plusieurs décennies d'oubli. Comme si c'était seulement possible. Elle pense, m'en fous.
Lui voudrait déjà s'excuser, mais un malaise le retient. Il ne sait pas si c'était l'oeuvre de la fatigue, elle l'excède après tout. Au fond, il se persuade qu'il n'y avait pas d'autre façon de la faire taire. Son ego brisé pourtant clame le contraire. Il était si sûr d'eux, ne supporte pas cette idée qui germe depuis longtemps maintenant ; elle s'échappe. Avait-il été naïf ? En vérité, c'était la faute de personne.
Le silence se prolonge. Il ne sait pas quoi dire, alors amorçant un pas, il s'approche. Vivement, Salome lève les yeux. Furibonde, elle tend sa jambe et lui donne un coup dans le tibias, puis un autre pour le tenir éloigné.
-Dégage.
Elle l'avait aimé le matin même. Il ne savait pas au fond que son coeur avait été tout retourné, son âme savonnée, ses idées brouillées apeurées. Il ne s'était jamais douté que l'engagement aurait pu sonner à ses oreilles comme une trahison affolée.
-DEGAGE JTE DIS !

***

Ses boucles dansent paisiblement sur ses épaules, et là, au large, le bonheur transpire doucement le long de ses lèvres rosées, de ces sourires ravis qui me déchirent le cœur de jalousie et d’envie. Et quand je me vois, je sais que c’est moi. Moi cette pauvre fille, et elle qui a tout eu, ce que j’avais, ce que j’ai perdu. Comment pourrait-il ne pas l’aimer alors que la vie fragile danse déjà sous les courbes arrondis, que sa main, sa grande main coule doucement sur la coquille remplie de cette promesse d’espoir et d’avenir. Et rien n’a changé pour moi, sinon qu’il est trop tard pour tout, pour lui dire de revenir alors qu’il construit sa vie, alors que je me traîne et me lamente quelque part où tout le monde m’ignore et me devine à la fois. Sidoine tu deviens si grand et je me sens si désespérément pauvre de toi. La vie était si belle avec toi.

***

Si le but ultime de notre existence se mesure par la quantité de réussite multiplié par l'indice de bonheur absorbé, alors peut-on seulement être voué à échouer ?

***

« Lâchez-moi ! Vous n’avez pas le droit, lâchez moi... LACHEZ MOI !
-Vous comprenez, mademoiselle Bateson… Ce sont les restrictions budgétaires. Nous sommes navrés. Il est regrettable de partir de cette façon…
-Regrettable ? Je vais vous en foutre du regrettable ! »
Et entre les bras des deux gorilles de la sécurité, un talon cassé, les cheveux ébouriffés, elle est ce spectacle dérangeant que la grande firme aurait préféré éviter. Salome n’a honte de rien pourtant, elle sait seulement qu’elle accuse une injustice qu’elle ne croyait pas mériter. Ce n'était qu'un petit poste de secrétaire, mais tout de même c'était le sien. La condescendance surtout l’insupporte, et cet homme si propre et si rangé dans son costume qui ne sait pas, qui reste si froid, qui ne parle que d’apparences alors que son univers s’émiette au fil des saisons. Elle lui crache dessus. Il pâlit. Elle ne sait pas que son quotidien à lui aussi n’est pas facile.
-Nous vous souhaitons une bonne continuation.
Et cela se termine ainsi. Les vigiles la jettent sur le trottoir ; ils n’ont pas d’autre choix puisqu’elle se débat, puisque ses mains ont déjà giflé leurs joues, puisqu’ils peinent à la contrôler sans se mettre en tort. Alors ils la balancent d’un geste un peu brusque, une main dans son dos. C’est fini. Lorsque Salome se retourne, les grandes portes sont déjà fermées. Lorsque ses poings s’écrasent contre les vitres du building, seul l’écho de ses propres cris lui répond. Les badauds s’arrêtent un instant pour contempler, hésitent avant de reprendre leur chemin comme si de rien était ; ils sont occupés après tout. La rue est presque déserte. Le ronronnement des voitures couvrent par moment sa voix. C’est fini. Et personne ne viendra cette après-midi là lui dire que ça ne sert plus à rien. Le pire est de se dire que c’est légal.

***

« Pourquoi tu n’aspires simplement pas à quelque chose de plus grand ?
-Parce que ça ne me ressemble pas, papa.
-Il faut passer à autre chose maintenant. »
Qu'est-ce qu'il en sait, lui, qu'est-ce qu'il comprend, lui ? Comme si c'était si facile. Mais il est usé, la vieillesse arrive, et il ne se sent pas près à laisser s'envoler sa fille si prompte à se laisser tomber, si prompte à se laisser aller. Il ne sait pas comment il pourra partir en la sachant comme ça. Il sait pourtant que la vie n'est pas éternelle et qu'un jour il ne sera plus là. Il ne comprend pas non plus comment elle a pu laisser partir le seul homme capable de s'occuper d'elle, de l'aimer pour ses caprices et ses colères, son hystérie. Il ne peut que regarder sa fragile stabilité partir en vrille. Ca lui fait mal. Elle aussi a mal pour lui. Elle l'aime tellement lui aussi que c'est le seul peut-être à qui elle aimerait donner le bonheur qu'il mérite enfin, quelques petits enfants qu'il pourrait gâter et cajoler comme il l'a toujours fait avec elle. Dommage. Il lui semble que cela n'arrivera pas.

***

La nuit est belle, les étoiles presque hautes dans le ciel, et Salome les paupières closes respire enfin le parfum de la ville. Une fine pluie dégouline sur ses vêtements trop cheap, et l’édifice de sa chevelure quelque part se désintègre le long de son visage. Même comme ça, il y a ces soirées-là où on se sent désirable. L’alcool réchauffe tendrement les cœurs, et soudain ses pas s’accélèrent, ses paupières qui étouffent sous le maquillage trop lourd se soulèvent pour voir les silhouettes titubantes de quelques amis qui ont le privilège ou la chance de compter vraiment. Rapidement elle avance, dépasse les rires ; ils ne sont plus si jeunes mais la joie déborde encore. Le quotidien est loin cette nuit-là. Le son des talons fins retentit sur les pavés des trottoirs avant de disparaitre dans l’angle des rues, avalé par les ombres des bâtisses, et en tournant un peu sur soi-même c’est évident ; tout se perd. Salome savoure alors la moindre petite impression, la moindre sensation qui consiste à se perdre vraiment. Une bouteille vide éclatée par terre, quelques selfies l’air de rien, des déclarations trop longues, elle se rappelle Salome les sentiments précieux qui la font tenir. Il y a toujours ceux après tout qu’on aime encore. Et alors que ses sourires crèvent son visage de mille plaisir, elle entend son nom répété en boucle, hurlé dans son dos. Elle ferme alors les yeux pour mieux la voir : l'ovation.

***

« Salome ! Salome ! »
Les quelques passagers sont déjà partis, elle est la dernière à sortir aujourd’hui, mais elle n’a pas peur pourtant. Le visage familier de sa sœur aînée se dessine sur le quai, sa bienveillance réconfortante aussi qui lui crie déjà viens te blottir, alors elle s’y précipite. Cela fait si longtemps depuis la dernière fois. Les enfants ont bien grandi dit-elle, et la vie est plus douce ici qu’ailleurs. Marc s’empresse de lui prendre sa valise. Les doigts de sa sœur s’égarent déjà sur les petites rougeurs de sa figure. Et elle y croit tellement fort. Il fait déjà beau après tout.
« Tu as bien fait de venir. Tu seras bien avec nous. Foxglove, ce n’est pas très grand mais ça reste confortable. »



souvenirs effacés
Distinctement, la froideur dans ses yeux bleus, ses beaux yeux bleus, renversants, étourdissant de beauté, de cet azur, cette limpidité lisse, si claire, si éteinte, si dure. Une lueur marmoréenne dans son regard, gelé, gelé.
Son souffle lent.
Un petit bout d’étoffe là, si doux si doux dans sa main, alors qu’elle sait, Salome, qu’elle reconnaît, se souvient de la tendre sensation du cachemire contre la pulpe de ses doigts.  
Et cette main invisible qui hante ses nuits, le souvenir de cette main ferme, puissante, de l’intensité contre sa peau.
La panique, la terreur qui embrase sa peau, étouffe son souffle.
Sa tête qu’on soulève lentement, si lentement, presque tendrement. Ces lèvres inconnues se mouvant, des mots des mots mimés qu’elle ne comprend pas dont elle ne se souvient pas, seulement la gestuelle, la gestuelle lente, trouble, obsédante de ces lèvres fines tachetées de sang, puis, enfin, au bord de la défaillance le souvenir de la douleur, fulgurante, atroce, étourdissante, tonitruante -du choc.
Son crâne abandonné contre le marbre.
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Prénom  Vanessa.
Nom  Elmer.
Âge 36 ans.
Occupation Starlette des années trente.
Moi

♥️♥️
Jae
 
magnolia
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Jae
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Avatar(s) : OCs masculins de Tofuvi
Jeu 12 Oct 2017 - 21:46
Je suis à genoux.

En vrai je ne sais pas ce que je peux dire d'autre. On a envie de tout citer on sent ce qu'on lit c'est époustouflant. A la hauteur de l'auteur haha. J'ai hâte de voir la suite wshhhh. ♥
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Jeu 12 Oct 2017 - 21:57
je pense que je n'aurais jamais assez de mots pour qu'un commentaire égale ta plume
elle est toujours si belle, et je suis vraiment ravie que tu sois ici !!
je me suis régalée MERCI BEAUCOUP
bienvenue ♥️♥️
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Jeu 12 Oct 2017 - 22:01
cette plume bordel
je
sous lcharme total
Vito
 
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Vito
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Jeu 12 Oct 2017 - 23:44
j'ai pas les mots mais franchement toi tu les as
je ?????
c'est magnifique omg
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Ven 13 Oct 2017 - 0:50
Youhou ♪ merci pour votre accueil ça fait plaisir.
Vous me faîtes rougir en plus ♥️ je suis joie, et ravie que ça vous plaise.

monsieur => juste pour te dire que je suis contente de pouvoir relire ta plume aussi, ça fait plaisir et en plus ça faisait (presque) longtemps. ^__^
Johan Heisenberg
 
myosotis
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Johan Heisenberg
trois nuits par semaine |salome YHY5zYV
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Occupation : étudiant et casse-couille.
Avatar(s) : izaya orihara (durarara!!) - dave strider (homestuck) || martin conte - conor doherty
Ven 13 Oct 2017 - 15:28
o m g.
SALOME EST MERVEILLEUSE !!!!
kermit pls
tu écris si bien, toutes ces images, c'est magique. tu as un don.
bienvenue parmi nous !! ♥️
Hiro
 
myosotis
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Hiro
je découvre toute cette technologie :fascinated:
Messages : 202
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Symbole : Le son d'un grelot sous la pluie.
Occupation : en recherche d'emploi
Avatar(s) : Nicolas Brown (Gangsta) // Kuromitsu (Kurozuka)
Ven 13 Oct 2017 - 16:12
Les imgs et la plume sont à fondre. (je - fond.)
Bienvenue bbchat ;;
Cecil
 
magnolia
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Cecil
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Avatar(s) : le batteur / la reine - OFF | baptiste radufe (irl)
Ven 13 Oct 2017 - 17:36
Coucou beauté fatale, Salome me fait tomber à la renverse.
Je vais répéter ce que les autres disent, ta plume est sublime ; à cela près que je vais préciser qu'elle l'est toujours et toujours plus chaque fois que je te recroise. Bienvenue, j'ai hâte de voir Salome sur le terrain. ♥️
Invité
 
Invité
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Dim 15 Oct 2017 - 0:58
ohohoh vous êtes choux ♪ Je vais plus me sentir bientôt xD merci à vous tous !
(Cecil tu m'as reconnu :o à bientôt sur le terrain alors j'espère ♥️)

Oh et accessoirement je crois avoir terminé. Enfin, je pense que l'important a été dit. Oui, je me suis pas présentée, je suis malheureusement atteinte de flemmingite aiguë des fois, mais ça vous n'avez pas besoin de le savoir ~ bonne lectuuuuure ♥️♥️
Jaakoppi
 
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Jaakoppi
Crève
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Occupation : I play Pokemon GO everyday
Avatar(s) : Mob & Ritsu / mob psycho 100%
Dim 15 Oct 2017 - 10:02
Validation

Bienvenue Salome !
Que dire...quelle plume magnifique ?! vraiment ton style est tellement maitrisé j'avais l'impression d'être plongé dans un excellent livre, ah j'étais triste lorsque c'était fini !!! Salome est un personnage tellement authentique et touchant c'est vraiment époustouflant comme tu as bien réussi à mettre en avant dans ta fiche le côté très "émotionnel" qui est hyper organique. J'ai hâte de te voir Rp bbchat !!

Tu peux faire ta fiche de lien, ton portable pour spamme tes potes et même un petit journal pour te faire plaisir. Pas besoin de recenser ton ou tes avatar(s) mais si tu le souhaites, tu peux te choisir un (ou deux) visuel réel et le rajouter dans le bottin irl. Si tu recherches des partenaires de rp, n'hésite pas à faire une demande.

Et pour conclure, amuse-toi bien sur le forum !
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